lirik lagu panamhero – vajra
[intro]
la vague a tout rasé sur son p-ssage
tout les arbres sont arrachés
et le sol est mis à nus jusqu’à la roche…
[couplet 1: mcmoon]
je, je, je pars des abysses
symbole de trucs tristes
je suis une onde ou une catastrophe destructrice
je suis souple et j’ondule
je n’m’abat que dans le vacarme
je suis un géant bleu mais je ne suis pas un avatar
j’frappe, j’frappe, j’frappe rapidement
sournois, je suis pas honnête
appelle moi godzilla, je suis bien connus des j-ponnais
tu veux me harponner, mais ya pas de quoi tire :
je suis le plus dangereux de tous les dangers aquatiques
les brouettes transportent des débris sur 3 roues
les sinistrés ont vu bleu
mais je donne du taf qu’a la croix rouge
crois-moi, j’lésine pas sur les moyens
j’engourdis les hawaïens et j’engloutis les îles b-sses
je laisse des traces jusqu’au journal de pernaut
je trouve que me prendre dans la gueule
c’est pas se noyer dans un verre d’eau
a cours d’offrandes, je me retire
j’entraine vos souvenirs nulle part
on fait des calculs pour me prédire mais on ne m’calcule pas
et j’vous donne du mal, restez sur le qui-vive
pourtant mon origine est l’origine de tout c’qui vit
c’qui vit, c’est vous avec vos frissons sous l’pied
certains n’ont eu le temps de voir que l’horizon s’soulever
[pont 1 : mcmoon]
la première est affolante
la deuxième j’me mélange au sable pour plus de violence
j’empêche les ventes, puisque de récolter
je glisse entre deux morts comme dans un décolleté
-foudre-
[couplet 2 : italik]
je suis né dans l’ouragan d’un œuf d’élec-tricité
du courant, je vais ressu-scité
alchimie et vélo-cité
j’grave les obélisques, electro-phoenix
symbole de colère, que le ciel me bénisse
je déchire les nuages, sur moi les mots glissent
les hommes me craignent, m’admirent et me maudissent
je suis le vent et le bruit
brise la pluie, trait de lumière dans la nuit
je suis l’origine du feu, de la suie
je suis la lueur et le fracas qui la suis
j’tombe sur tout le monde tel une averse
m’entende même ce qu’il m’aperç-oivent pas
j’crois pas que dans ce monde, j’ai une force adverse
je n’observe pas, je frappe -foudre- au hasard
ton abris, j’le bazarde sous crachin, sous blizzard
j’détruis, je suis plus la bête de vandale
la main de zeus comme ascenseur social
j’envoie des décharges, des charges létales
on m’invoque en transe, en dance tribale
les amoureux sont m-s-ch-stes
il kiffent quand j’donne des coups
ils s’excitent, s’incitent, s’estiment
deviennent intimes avant qu’ce termine tout
tourmenteur des astres aériens
ma vitesse fascine les terriens
vif comme un goutte d’eau sur la vitre
tu peux t’appeler bolt, ça ne changera rien
j’perce quand je veux, je suis déjà célèbre
perd pas d’temps, les nuages s’élèvent
cardiologues, chirurgiens célestes
j’fais violence quand cette terre m’énerve
je suis le divin ou présage funeste
j’vous verrai morts comme j’vous ai vus naître
j’vous verrai morts comme j’vous ai vus naître
[pont 2 : italik] x2
mes doigts fins t-tillent la planète
capricieux sous nuages pas net
jette la ferraille, fais belek
elec-trique, j’ai l’élégance d’adramelech
-foudre-
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