lirik.web.id
a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

lirik lagu rochdi – les aventures du chien errant

Loading...

[paroles : les aventures du chien errant]

[couplet unique]

quand t’es tout seul, tu sens l’temps qui passe tout doucement
pris dans la mélancolie, j’vis qu’pour mes poésies en ignorant les faux mc’s, qui mériteraient un coup d’fusil
une douce musique, une mélodie, pour soigner mon esprit pourrit
ami du vide, j’écris la nuit, ravi quand surgit la rêverie magique
ma vie s’dessine sous lignes d’un vieux stylo bic
j’ai rencontré une jolie fille, que dis~je une vraie princesse
malheureus~m~nt c’n’était qu’un rêve
mais j’l’ai aimé jusqu’au réveil
mon dieu, qu’elle était belle
on a dansé, j’l’ai embrassé avant d’plongé dans ses yeux verts
aussi profond qu’un requiem, il a d’la chance celui qui l’aime
qu’elle soit jolie, qu’elle soit vilaine
moi j’ai cherché comme un ???
mais l’amour est une chienne, demande à frédéric wilhelm
lorsque ta reine se fout des sentiments qu’t’éprouve pour elle
ça fait d’la peine, mais c’est la vie, et elle est pleine de balivernes
pense à tous ceux qui vont mourir, à ceux qui ne passeront pas l’hiver
c’est dans la savane parisienne, que j’ai aperçu ma sirène
sur un boulevard près du 6ème, au alentour de saint~michel
dans mon esprit c’est la misère, comme dans une ruelle haïtienne
j’sais pas quoi faire, philosopher comme avicenne, ou simplement mener une vie saine
avant qu’mon cœur ne s’arrête de battre, moi j’ai choisi d’me battre, comme un putain d’aristocrate
r.o.c.h, ma voix s’balade, sur la rhythmique d’une instru crade
ça me rend malade, y a trop pédales au hit~parade
et c’est pas grave si y a pas d’maille, on aime le rap
demande à mike, paname style, le meilleur groupe c’est : krystal
ceux qui se tapent derrière l’mic, on a la dalle, comme des chiens errants qui ont la rage
et on t’arrache le micro volontiers, pour conquérir le monde entier
j’ai faim comme un juif de sentier, qui a envie de se faire un tas de billets
ça va saigner, on t’a grillé
j’ai enfilé mon tablier, pour m’appliquer, sortir 5 albums d’affilés
ramène une tasse, j’la fais crier, sans la payer, j’me casse et j’me fais pas prier, rien à cirer
j’ai juste un mic à déchirer, un stylo bic et du papier comme m’évader, loin du pavé
poser mes rimes avant d’canner, un flow carré, pour se bagarrer avec le beat
comme les trois chevaliers d’ma clique
ma vie c’est : ma musique, mon stylo bic et son appétit abusif
j’écris toujours mes poésies quand vient la nuit, l’ombre dans la ville, embrasse le rêve et la magie
demande à majid, on a déclenché la machine
dans un escalier avachi, j’ai arrêté d’fumer du sh~t
l’esprit lucide, j’me fais plaisir avec mes délicieuses rêveries
mystérieuse mélodie des faubourgs de paris, les amours de ma vie
j’ai rencontré une fille, qui en a rien à foutre de ma vie
la petite maline, elle a dû croire que j’avais du fric
elle a goûté ma bite, avant d’partir pour aller voir son petit ami
ça m’a fait rire, tant pis pour lui
t’avais qu’à pas jouer au mari l’ami
les filles faciles, le sont à vie
l’amour ou l’s~xe, devine ce que j’ai choisi
à ton avis, j’apprécie les laveuses de chibres et les suceuses de pines, mais pas celle qui ont la chatte moisie, j’ai déjà envie de vomir
moi j’vis la nuit comme un vampire, perdu au fond d’une ruelle vide
mais où est l’fric ? certainement pas dans ma musique
pourquoi dormir ? quand tous les jours tu peux mourir
j’ai trop d’poésies à écrire, pour m’arrêter ainsi
j’dois dire aussi, que j’ai pas envie de partir, et que ma mère n’a pas à souffrir, mon cœur se pince dès qu’elle sourit
et encore une nuit d’insomnie, mon existence est insolite, étrange et pleine de poésies
j’vis pas dans la misère en somalie ou au mali
j’habite une rue d’paris, et dieu merci, un jour on soulèvera bercy
par ce qu’on est les meilleurs mc’s
y a pas plus fort que nous, tu peux chercher dans n’importe quelle té~ci
et j’sais c’que j’dis, j’m’appelle rochdi
j’vais pas t’mentir, j’ai jamais été un bandit, et encore moins un faux reur~ti
juste avec une ligne j’incendie, toute une assemblée d’faux mc’s
moi j’ai jamais voulu être un gangster, mais un poète avec l’œil de l’esthète
j’ai pas d’oseille, j’ai pas d’espèces, pas d’carte american express
et j’rap mes textes comme un expert
on veut monter plus haut qu’l’everest
et les vrais restent, mais les meilleurs partent en premier
ilyes mon frère, repose en paix
maintenant michael peut sampler
et même sans blés, la musique nous a rassemblé
tant qu’on a la santé, personne pourra nous arrêter
même si parfois, au bord des larmes, j’ai si souvent envie d’pleurer
alors j’combat comme un guerrier
faut pas s’noyer dans la re~biè, un peu d’eau fraîche et du perrier
toujours discret, dans mon terrier, au sous~sol dans mon escalier
j’suis pas marié, la solitude, telle est ma destinée
j’veux respirer, pourquoi m’tirer ?
partout où j’vais, j’ai la gueule d’un étranger
paris ma ville, ma bien aimée, c’est là qu’ma vie doit se dérouler
j’ai trop airé dans des entrailles la nuit
quand j’ai été dégoûté, dans un coin à rouler un joint ou l’été quand j’ai été bourré
j’croyais être fort, j’mettais gouré
j’aime pas frapper, pour ensuite voir le sang couler
la voix enrouée, j’avais l’esprit dans la fonsdé
stick après stick, j’ai savouré
mon cul posé sur l’tabouret, à mitrailler se p’tit cahier
toujours dehors, la nuit tombée quand ça caillait
j’ai vu des bouffons racailler, brailler, jouer les chauds avant d’se tailler pour tout raconter aux poulets
y a ceux qui portent plainte, et ceux qui se taisent et vont braquer
sous la pression tu peux craquer, et toucher l’fond comme un cracké, un toxico, un détraqué, un cas social
partout où t’es, t’as comme l’impression d’être traqué, d’être observé
la mort me guette, j’suis obsédé, faut qu’on puisse sortir nos cd
une clope, et une feuille ocb, un bout d’résine pour s’envoler jusqu’au brésil
un flow précis, faut que ça grésille, j’te balance un missile
à l’intention d’ces imbéciles, qui savent pas qu’dans les rues de paris
ils restent encore des vrais mc’s, y a vraiment trop pd qui signent
c’est pas possible, moi j’encule sec les maison d’disques
et j’représente c’qui se passe ici
au cœur des rues du paris, j’suis pas vito andolini, ou un autre mafioso venu d’sicile
mon cœur est celui d’un artiste comme leonardo de vinci
j’aime pas les gens qui portent l’insigne
partout où j’vais, j’laisse pas d’indice
on baise les flics, et les indiques
t’inquiète y en a pas dans ma clique
michael, joubinn et madj
voici mon effectif
derrière le mic c’est : rochdi
solitaire comme un détective
je sais qu’tu kiff
ma vie une poésie, chaque jour qui passe ??? ma ligne de vie
alors devine pourquoi j’écris ?
c’est juste pour apprendre à mourir
philosophie, j’vous remercie, vous avez construit mon esprit sur des fondements solides
faut j’avance plus vite qu’un bolide, que j’me relève et qu’j’réagisse
la vie est courte et tout est relatif, alors écoutez c’que j’ai à dire
j’suis un esclave, trop souvent asservi
c’est la sère~mi dans les esprits obnubilé par ness~bis, celui des jeûnes de la té~ci qui s’entretuent pour des centimes
s’enlisent jour après jour dans la bêtise
les sauvageons de mes deux, j’leur p~sse dessus, tout ce qu’il y a au fond d’la vessie
embrasse ma bite avant d’venir ici, pour foutre la merdre, pauvre imbécile, t’as rien compris comme d’habitude
mais dieu merci, j’ai l’écriture comme léopold sédar senghor a revendiqué sa négritude
je n’suis qu’une ombre des petites rues, tu pourras lire se ma figure
la vie est dure, donc j’en place une pour l’héroïne et ses piqures
et pour la sagesse d’épicure
moi j’me nettoie dans mes ratures, au bout d’mes doigts la pourriture
dans l’ancre de mon stylo plume
et j’m’arrête plus et j’en veux plus
le destin, c’est d’la roulette russe
et rien n’est sûr, j’ai besoin d’air pur
j’dois approfondir mes lectures, pour m’enrichir j’ai pas d’excuse
j’m’en bats les couilles de ta lexus
et des mecs sucent, et jouent les durs, faut les brûler toutes ces ordures
j’vous p~sse au cul, j’ai pas d’or pur et j’me torture
la nuit j’dors plus, l’esprit tordu, faut qu’j’avance plus vite qu’une tortue
écrire des poésies qui tuent, et d’où sors~tu ? du coin d’ma rue et j’vous salue en espérant qu’ça vous a plu
mais en attendant j’continue, pour ceux qui ne sont pas convaincus, mon but c’est d’vous faire mal au cul, avec un style qui tue
y a trop de saloperies qui circulent, beaucoup d’rappeurs sont ridicules et s’la racontent en plus
fils de pute, tu salis l’art de l’écriture
on y croit dur, et on bosse dur, dégage~toi et ton imposture
on vous encule, remballes tes putes, et ta voiture, et ta dégaine qui pue
les vrais mc’s reviennent en ville, et fils va y avoir du grabuge
ça vous amuse de jouer les durs ?
protège ton cul, les vraies cr~pules, les chiens d’la rue attendent pour te bouffer tout cru
c’est un combat, le rap français est dans l’coma
tout le monde croyait qu’il était mort
t’inquiète pas il respire encore
mais à cause de tous ces connards, qui font d’l’oseille sur des bobards, y a qu’des trappettes et des tocards
mais en bas y a encore des rats, qui sont pas prêts d’quitter la cave
et qui aiment le rap du fond du cœur, et nique sa mère si ça paye pas
on va per~ra jusqu’à la mort, faut rester fort
les adversaires, on les dévore, on les dégomme et on les balance dans l’décor
tous ceux qui s’empiffrent comme des procs
on confectionne du vrai hip~hop, de la musique pour les b~boy
comme à l’ancienne, la belle époque
moi j’en place une pour tous mes potes
un stylo bic, un beat, un poste
une feuille et un stick de sh~t, une clope
attention, tu deviens vite un tox’, si tu déconnes
t’as plus d’école, un peu d’musique pour qu’je décolle
cocaïne, cannabis, alcool, j’en ai ras le bol
on a la dalle comme al capone, on a les crocs jusqu’à la mort
comme un chard~clo qui dort dehors, on veut de l’or
y a trop d’escrocs qui veulent carotte, et ensuite s’cachent comme des marmottes
c’est pas d’ma faute, la poésie agite mon corps, j’ai pas d’modèle, j’ai pas d’mentor
c’est pas fini, j’en veux encore, j’écris mes rimes quand tu t’endors
et j’me sens fort, en cas d’renfort, mes gars sont là, prêts pour l’effort
pour la bagarre, derrière le mic, y a mes négros djoubinn et mike
appelle madj, on va casser du faux mc, c’est garantie
l’ombre dans la ville vient déclencher la guerre civile
le vrai hip~hop est de retour à paris
fais pas l’mytho, fais pas l’cain~ri
c’est pas l’ghetto d’new york city, c’est l’caniveau d’place d’italie
à porte d’ivry, la tess bédier près du périph, le fief de madj et djoubinn
ici on crache sur le shérif, et on rap comme des fous à lier, des chevaliers
j’représente la rue chevaleret
avec mon pote michael, demande à gang, y a pas de problème
ramène une tasse et on la baise
tu crois qu’tu pèses, mais t’es qu’une merde
un p’tit bouffon qui se la ramène
nique ta mère !
j’ai pu voir la bêtise humaine, maintenant je ne vis que pour mes poèmes, la misère et la vie d’bohème
j’ai découvert que la sagesse faut la vouloir pour la connaitre
j’étais parti à sa conquête, me voilà aujourd’hui poète
c’est ma passion pour être honnête, avec une bouteille de moët
un peu d’air frais pour m’aérer la tête
une mélodie venue du ciel, confectionnée par dieu lui~même
j’ai la lumière du lampadaire, dans les ténèbres de ma ruelle
une rêverie parisienne
j’ai vu des femmes, de jolies demoiselles aux visages d’une beauté cruelle
j’suis tombé amoureux d’un rêve
et j’sais pas si j’me relèverai
c’est vrai qu’elle était belle, une jeune sirène pleine de mystères
une princesse, délicieuse et fraîche
dans ses yeux verts, plus meurtriers qu’un revolver, y avait les plus grandes merveilles de la terre
de la planète entière, qu’elle aurait pu anéantir, j’te le garantis en un éclair
j’vais pas de mentir, elle était belle
et ses seins et ses fesses étaient plus fermes que de la pierre, aussi légères que de la mousse sur de la bière
j’ai jamais vu une fille pareille, au premier regard, j’étais déjà amoureux d’elle
et maintenant dans ma tête, c’est le bordel
y a rien à faire, dès j’me réveille, j’pense à elle, à ses caresses à te faire tomber à l’renverse
entre ses cuisses c’était autre chose qu’une partie d’baise, comme j’suis galant, j’ai claqué l’pèse
j’lui ai fait l’amour comme une bête, quand elle suçait, elle avalait mon sperme
putain mon frère, ma raison se perd
pris dans l’ivresse, en plein hiver, cette fille c’était toute ma richesse
dans paris, j’erre en solitaire, du coucher au lever du soleil
les nuits s’enchainent, seul sous la lune, d’une autre planète, faut j’me réveille
tout est fini, ce n’était qu’un rêve
j’marche dans le 13, travers la seine, vers le 11ème, sous les étoiles, les idées noires
j’ai envie d’boire ce soir, m’enivrer d’la saveur du désespoir
j’en ai entendu des histoires qui s’finissent mal
souvent la vie est une pétasse, qui te fait mal
j’vais à pigalle, au cœur d’ce paname infernal
là où les hommes sont des pédales, des travelos dégelasses, qui s’font enculer pour la maille
devant un s~x~shop, une grosse salope se fait racole, par une bande de racailles
en face d’un chard~clo sur la paille
j’ai mal au crâne, ça sent l’sida, dans la savane
la décadence du macadam
dans les ruelles du bas d’montmartre
j’vais dans un bar, le noctambule pour être exact
j’te l’ai déjà dit, j’ai envie d’boire ce soir
en plus j’ai pris d’l’oseille sur moi
j’aimerais bien baiser une pétasse
j’commande un verre de sky’ près du comptoir
une meuf me matte, une tête de chienne, une grosse paire nibards
un décolleté de bâtard
elle m’fait des sourires comme une garce
moi j’te cache pas, qu’j’ai déjà la barre
elle vient vers moi, commence la tchatche, commande à boire
on dirait qu’elle connait l’barman
elle me dit qu’elle crèche à deux pas d’là
pendant j’enchaine les verres de sky’, j’veux l’impressionner j’sors la maille
mais t’inquiète pas, j’sais très bien qu’c’est une tapin
si j’la fais bien, j’vais la baiser jusqu’au petit matin
elle est pas belle, mais elle est bonne
on va chez~elle, c’est dans la poche
avant d’se lever, elle téléphone
en m’regardant comme une cochonne
j’ai tisé un peu trop d’alcool, mais j’vais te la baiser comme un porc
elle ouvre la porte, on est dehors
son appart est juste à côté
dans une ruelle qui pue la mort
j’arrive dans l’hall, y a pas d’lumière
mais devant moi, j’vois la forme d’un corps
c’est alors qu’la salope s’approche, en faisant un signe discret à l’homme
qui d’une voix menaçante m’aborde, et m’dit :
~ balance l’oseille mon pote, et ferme ta gueule avant j’m’emporte
le ton est sec, la voix est forte
j’suis dans la merde, j’sais pas quoi faire
en plus le sky’ me casse la tête
~ faut j’me répète ? balance l’oseille au lieu d’trembler comme une tapette
j’arrive même pas à voir sa tête, moi dans la mienne c’est le bordel
sans réfléchir j’balance une baffe à la pétasse, qui tombe par terre
sans dire un mot, le mec en face sort ses mains des poches de sa veste
dans la droite y a un revolver
là soudainement, j’pense à ma mère
quand j’reçois une balle dans la tê….


Lirik lagu lainnya:

LIRIK YANG LAGI HITS MINGGU INI

Loading...