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lirik lagu roar (battle rap) – esope vs. rotka

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[round 1 : esope]
il a dit qu’il allait m’tuer alors qu’il bég~ye sur mes sk!lls : ça, c’est le ”talalalent”
et qu’en un round il s’extasie : ça, c’est la drogue qu’on étale à la langue
si vous voyez rotka s’figer, c’est la pression, c’est pas la latence
il a dit qu’il allait m’tuer ? en plus de pas rapper dans les temps, tu parles à l’avance ?
t’es d’un b~n~l, attends, j’ai trop d’rap à t’apprendre
t’as même pas sorti ton gun que ma multi’ fait “ratatapan”
puis j’suis en face de toi, tu vas tirer sur quoi, l’rugbyman ?
toi qu’as pas l’droit d’balancer tes balles à l’avant
un mètre quatre~vingt~dix, ouais ? mais, dans l’cercle, je reste son tuteur
on s’est mis en cypher pour que tout l’monde guette quand tu pleures
d’t’façon, même si y’a pas d’rond, j’t’explose le bide : ça, c’est les restos du cœur
parce que, tes face cam’, là, c’était à r’voir
à peine t’agitais tes mains, c’était “au r’voir”
t’as fait un rêve : t’étais un roi
t’as fait un cauchemar : t’étais à roar
j’vais l’tordre dans tous les sens, j’sais même pas combien d’fois tellement il est multi pliable
c’est un peu le p’tit reuf que je plaque dans cette futile finale
j’ai d’la peuf’ et j’le taille, le mutile, minable
ce soir, j’ai ramené plein de neuf et j’te parle de multi~syllabes
il a dit : “la concu’ est dans mes rétro'”, la mienne est dans deux miroirs
j’ai le flow, la maîtrise, rime et tech’
le niveau d’lamanif, cheef et même aparzite, rik et nem
à moi tout seul, j’suis un demi roar
mais, tu verras : ce battle, c’est presque une baise sans romance, tu vas être à bord d’état d’âme
et comme, les barres, c’est ma came, j’prends la rime, la next, la r’commence
j’ai dit “aborder ta dame”, comme quand j’texte ton ex aux gros eins’
pour du s~xe en pov en provenance d’aix~en~provence
toi, t’as fait que des battles en vidéo, et tu t’sens monter ? ça, c’est l’effet d’la came
t’as ramené ton gang, t’as fait bouger tes membres comme si c’était d’la vibe
mais j’vais tellement t’insuffler d’attaques
qu’ils vont s’boucher l’ouïe vite comme si c’était d’la marque
grosses coupures comme si c’était d’la maille
la carotte est cuite en un round comme si c’était d’la tarte
t’as un cv bas d’gamme
remballe tes battles serrés face cam’ dans des ligues où t’as payé ta place
face à mes mesures, il n’était pas d’taille
j’ai aucune leçon à r’cevoir d’un mc qui a fait son parcours en télétravail
[round 1 : rotka]
esope, fais pas la star, t’as jamais rien prouvé, jamais t’as coupé d’grosse tête
ni d’bout d’sh~t, t’as juste affronté bucci à “ta mère la best”
et puis, tu crois qu’les mc connus t’ont approuvé parce qu’ils ont peur qu’tu fasses leur fête ?
c’est juste que, dans l’clash, on préfère baiser nos putes de face plutôt que d’les prendre en levrette
donc, ouais, j’aurais préféré défendre mon titre contre un gars qui en vaut la peine
on aurait moins d’vues sur youtube mais j’préfère l’anti ou erel
aucun des gars du lc n’aurait rechigné à l’appel
esope a fait la star, il a vesqui’ mes appels
ce fils de pute se sent plus d’puis qu’il a signé en label
donc, promis, ce soir, j’vais l’balancer comme les arabes dans la seine
parce que, ouais, sur ton intérêt dans c‘battle, j’suis sceptique, gars
battle un mec qui a rien à gagner, ça m’excite pas
ça m’énerve même donc, dans c’battle, tu vas être mon exutoire
j’vais t’taper dessus, tu vas finir marqué comme un ex lutteur
tellement qu’tu vas vouloir te suicider comme ton ex tuteur
j’vais t’mettre tellement d’penaltys dans la tête, j’serai le best buteur
puis tu t’prends pour superman dispo’ à toute heure
mais, après c’battle, tu vas finir comme ta mamie en 45, yo : tondue comme lex luthor
parce que, ouais , j’battle un mec qui fait la starlette
t’es au bout d’mon gun sur la target
bâtard, guette, t’as voulu m’ghoster de fou
t’avais peur de perdre à la cam’ sans le contrôle de foule
moi, j’ai jamais eu peur de toi ; sur scène ou en live, ma passion, c’est mon fioul
t’es un fils de pute qui choisit ses mcs ; moi, je choisis au hasard, comme les jugements de jude
c’est vrai qu’à “ta mère la mieux”, t’es habitué à t’faire bouffer les couilles
pour ça qu’j’ai gravé ton nom dans la douille
de la balle qu’j’vais loger dans ton crâne, comme deadpool
fallait bien que quelqu’un se dévoue, le dérouille
je balance aux égouts ta dépouille
t’as vesqui’ l’rendez~vous d’peur qu’j’te souille
pourtant, t’as asséché ma plume, ma gribouille
parce qu’y’a qu’une pute qui, devant esope, mouille
bref, “esope l’illégitime” serait son nom d’chevalier
il rentre en boîte car elle appartient à papa sinon il s’ferait recaler
entre mes punchs et mon flow, tu te sens tenaillé
à c’qu’il p’, tu joues comme le barça : ouais, comme l’équipe remaniée
esope l’esclave, j’laisse tes chaînes dérailler ; ce soir, j’suis l’patron, tu n’es qu’un salarié
pourtant, c’est moi qui crève la dalle, qui bouffe d’la viande avariée
j’bouffe de plus en plus, gros, mais j’suis jamais rassasié
parce qu’en bouffant esope, j’bouffe maras, comme si j’mangeais l’cheval et son cavalier
j’suis l’renard qui rentre dans l’poulailler
mais, pas d’souci, il n’faut pas s’inquiéter
j’laisse la porte entrebâillée pour que, de loin, vous m’voyez
défoncer c’type, comme une seringue dans l’bras d’un festivalier
[round 2 : esope]
j’vais l’complimenter par pur altruisme
croyez pas qu’les face cam’ c’est des trucs faciles
s’il est face à moi, c’est qu’il a fait un tournoi et qu’il est plus d’bas d’liste
et, comme il est allé au bout, bah, ce soir, il prend d’la bouteille : ça, c’est urban peace
j’te tue, sale fish, c’est pas si facile, garçon
un round pour te stop, c’est une signalisation
j’vais cut toutes les lignes, c’est une scarification
le jury t’enlève des points, c’est une cicatrisation
et on me met ce keumé’ sur la table ? il est aussi con qu’tous les teubés sur la quatre
à chaque fois qu’tu parles, t’entends “t’t’t’t'” comme s’il pleuvait sur l’appart’
ton seul moyen d’avoir d’la présence, c’est de gueuler sur la track
moi, après c’battle, j’suis main event grâce à next level qui va m’référencer premier sur la carte
il est temps pour toi de mettre les voiles, t’as des angles pétés d’attaque
tu crois que dire “fils de pute, pédé”, ça tape ?
si on censure tes insultes par des étoiles
y’aurait plus d’astérisques dans tes couplets pas fats que dans les rayons b.d. d’la fnac
hein ? si on censure tes insultes, t’écris sur quoi ?
qu’t’es en cuir sur l’quad ? t’es cuit d’surcroît
dans l’détail, t’as qu’un titre sur toi ; moi, j’ai tellement d’médailles
tes frères gitans deviennent riches s’ils font l’cuivre sur moi
batofar dans les gènes, battle rap dans les veines
quand on vient dans l’event, on est vingt
y’a du vin dans nos verres, tous les frères se soumettent
et, ta mère en sous~vêt’ : tous les frères s’en souviennent
elle fait style elle a d’l’éthique, elle maîtrise fort les codes
mais, dans son cul, y’a eu plus d’équipes que dans un freestyle de freeze corleone
elle fait des messages d’une chaleur solaire
j’ai ses mains dans l’dos comme un chauffeur scolaire
elle pousse le bouchon et elle vide nos vins
elle a tourné dans des films qui ont bien plus de “x” que des calculs avec des chiffres romains
barz, lignes de mères et t’es du~per’, toi ; droite du terroir
j’mets la carotte dans une boîte et tu perds roar
hé, baisse la cam’, j’vais mettre ce blaireau à terre
cet héros a r à faire dans l’affaire du r~o~a~r
j’comprends pas le principe, c’est ni un rappeur tenace
qu’a v’là les prouesses ni un tacleur qu’a de l’inspi’
il est juste venu lâcher des menaces, j’suis venu tenir mes promesses
c’est la différence entre un clasheur et un battle mc
[round 2 : rotka]
ce soir, le combat sera sanglant, il sera sans gant
t’es p’tit donc il sera sans grand
pour moi, il sera sans grand danger
les cadavres de mes anciens adversaires, je compte bien enjamber
ce soir, j’suis venu engranger, je suis même venu engendrer
j’ai p’t~être vingt piges mais, dans l’battle rap, j’ai déjà enfanté
pour beaucoup ici, j’suis l‘messie mais j’suis pas né en janvier, j’suis encensé
hier soir, j’ai niqué ta mère, j’ai croisé ton daron dans l’salon, j’lui ai dit : “enchanté”
puis j’vais tous les buter et j’suis vraiment pas désolé, j’vais les désosser
j’suis sûr que, quand le juge verra leurs performances de merde, il va m’innocenter
c’est vrai qu’j’suis un minot sans press’
mais, toi, t’es un connard d’opportuniste comme raiola mino sans “t”
tu vas prendre une balle d’une gâchette qu’un innocent presse
bref, vous allez voir un innocent tuer car j’envoie elvis au sanctuaire
va t’faire interner, va t’faire mettre
t’es pas un fan de l’inter né mais tu mets mille ans à l’faire, mec
j’parle de percer, hein
pas d’sortir tes punchlines de compliments incertaines
parce que, ouais, pendant cinq ans, tous les suceurs du grand esope attendaient l’retour de leur maître
pour eux, t’es un dieu mais, moi, j’suis irrévérencieux, ça fait trois mois qu’j’attends d’te la mettre
cinq piges qu’on attend qu’l’esclave esope descende des cieux pour qu’on puisse le voir renaître
mais désolé d’décevoir ses fans, messieurs, parce que, ce soir, esope battle contre son maître
j’te roule dessus avec une caisse sans essieux pour continuer ma conquête
je suis pas coquette, j’suis pas surcoté
toi, t’es pas poète, frérot, t’es juste coké
alors, avant d’faire la starlette, tapette, accepte od
parce que, ouais, t’es qu’un mec sans couille qui s’prétend sieur
tu t’prêtes en sueur à des concours de bûcherons où tu prétends scier
tout ça pour rentabiliser tes chemises dégueulasses que tu prétends sied
j’vais fracturer ta gueule de prétentieux
parce que chaque punch, chaque point t’amène proche des cieux
chaque punch, chaque point t’amène proche des dieux
chaque punch, chaque point t’amène proche d’être vieux
parce que, ouais, après chaque punch, tu t’plains et ça crève les yeux
tu sais pas encaisser les critiques
pour ça qu’dans tes rounds, c’est gun barz et générique
au milieu des phases de tes adversaires, on entend tes cris d’vic’
j’te jure, tu peux t’en passer, hein, comme un verbe au prétérit
donc arrête de faire des guns barz, crari t’es un gangster
sinon j’te fais graille mes nine~nine comme un général d’hitler
parce que, ouais, moi, j’veux faire kiffer mes khos et mes ‘zins pour qu’ils m’quittent pas
toi, tes phases passent sur les têtes des autres et des uns comme une kippa
ouais, moi, j’veux passer sur des chaînes et abuser des lois
esope l’esclave, toi, tu cherches à briser tes chaînes, moi à briser des rois

[round 3 : esope]
c’est qu’un fan qui rêve d’avoir le number de marshall’ombre, faut qu’on l’unfollow d’la ligue
sur le meuble de son salon, y’a nos photos d’famille
mais tu seras jamais comme nous et t’as la haine, boy
tu voulais imiter l’agressivité d’maadou, la hargne de bgl
mais t’as pas les mêmes codes, t’étais à ça d’réussir
mais j’vois qu’tu t’es aussi foiré en voulant r’copier la taille de n’joy
il est venu ici en scred’ chercher une victoire qu’il a pas
défendre une ceinture qu’il a pas mais devant les fans qu’il a pas
qui ont payé ‘vec l’argent qu’il a pas, j’lui fais perdre la dignité qu’il a pas
là, il cherche le soutien qu’il a pas, des amis qu’il a pas
il va r’partir dans l’appart’ qu’il a pas, pleurer dans les jupes de la femme qu’il a pas
tout ça parce qu’il a pas à critiquer l’talent d’esope qu’il a pas
et j’peux ressentir son seum, ton cœur est rempli d’peines : ça, c’est un chant d’prison
j’m’en fous du cas rotka, j’suis venu carotte k comme le plan d’fillon
j’t’ai pas encore mis au parfum, c’était qu’des échantillons
il a mes deux rounds en travers d’la gorge : ça, c’est des ganglions
la barz agriculture est alléchante, disons
que j’cultive l’idée qu’j’suis champion en enterrant la carotte de mon champ d’vision
j’te coule, j’te creuse, j’ai ce côté œuvre d’art même si je l’ouvre peu
à force de sniffer des rails : dans ton nez, y’a des concerts de groupes reubeus
t’avances pas, tu restes à tes stations
donc j’fais une croix sur toi et j’te brûle avant l’couvre~feu
t’es pas sur ton terrain, les barres : ça, c’est l’camp nou
tu peux pas imiter nos voix, t’es pas canteloup
t’es juste cette brebis qu’attend le loup
j’parlais aux mc en coulisses et même oliver twist arrive à voir l’écart qu’il y a entre nous
on a plus l’temps, gros, là, j’vais rage
j’continue à puncher pour l’goal~average
j’regarde nos niveaux et ça donne un bête schéma
s’il va au rc, il en sera l’giroud ; si j’y vais pas, j’en serai l’benzema
des lignes sortent de mes doigts mais c’est toi l’pantin débile
en plein déclic, j’ai pris roar comme un tremplin terrible
j’m’en bats les couilles de ton titre
il est pas à la hauteur de l’histoire que j’suis en train d’écrire

[round 3 : rotka]
ce soir, j’t’attaque de face comme le drone à caracas
d’ton personnage, j’enlève le masque qu’ton mascara cache
j’te mets des coups d’poing jusqu’à c’que ma montre vingt~quatre carats casse
pour montrer à tout l’monde qu’ta fame repose sur ta mala, ton apparat cash
j’vais dévoiler la mascarade qu’ta baraka masque
tu nous casses les couilles comme un gosse avec des maracas
ce soir, j’suis violent comme un mec qui démarre un casse
j’te mets des coups d’pied comme un mec qui démarre un cross
mes punchs t’font une douleur atroce ; à trop s’fier à tes rappeurs qui débitent
tu r’prends leurs punchs pour les atrophier et leur sucer la bite
moi, j’veux garder ma ceinture dans mon armoire à trophées comme l’anneau du hobbit
donc, ce soir, je vais t’”apostrophier” comme un mot en fin de ligne
mes punchs servent d’appât pour mettre esope au bout d’ma ligne
parce que, ce soir, j’suis un métro et, toi, t’es la pauvre femme qui s’fait violer au bout d’mes lignes
parce que, ouais, depuis l’début, j’joue avec toi comme avec ma psp, ouais
alors arrête d’nous casser les couilles comme une pie espiègle
j’te fais sauter dans ma main comme une pièce~pièce
penalty dans ta tête, j’mets en liesse pirès ; ce soir, j’te fais disparaître comme skrillex puis res
puis, dans ton dernier clash, tu dis qu’tu tapes lezko, maadou puis espiway
mais, quand j’t’ai eu au téléphone, gros, tu m’as dit qu’t’avais plus peur de rotka que d’espiway
et j’peux l’comprendre, sept piges qu’tu fais du battle rap mais on a l’même nombre de battles : j’arrive pas à piger, moi
alors qu’j’ai commencé y’a peu d’temps depuis chez moi en pyjama
certes, c’était pas dans le même schéma
mais, en quatre mois, j’ai plus de victoires et plus de palmarès que toi
c’est vrai et c’est assez triste, j’arrête ta carrière ici, j’te renvoie aux assédic
j’en ai assez dit, nos lettres parlent d’elles~mêmes, t’es en d’ssous d’moi comme le c et sa cédille
d’t’façon, tu devrais être sous tout l’monde dans la carte et, ça, c’est dit
parce qu’un title shot au lc, ça s’mérite
on a pas eu l’temps d’te voir choke ou d’t’épuiser dans tes lignes
nous, on enchaîne les battles tous les mois, comme les enfants pour les prêtres intégristes
donc nous fais pas croire qu’t’es venu cracher la haine qui t’habite
à c’qu’il paraît, maadou a encore des rayures sur la bite
et puis, toi, t’es une plume précise ; moi, une plume qui tape vite
et puis, tu m’diras, t’as rédigé tes phases durant tes années sabbatiques
mais ça fait quatre ans qu’avec maras tu les as écrites
donc retourne chez p~h faire un putain d’démenti
ta dégaine de nanti ne t’donne aucune garantie
donc avoue qu’t’es mon esclave : comme ça, jamais tu n’auras menti
parce que j’reste ton roi donc jamais tu n’auras mon titre


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