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lirik lagu roar (battle rap) – dam’s vs. crapaud

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[round 1 : cr~paud]
ok, yo, moi, c’est l’cr~paud et, pour ma première scène, on m’donne dam’s, la “pépite du battle”
mais, au dernier lc, parano t’a tellement sucé qu’c’est devenu ta call girl
les juges avaient la langue sèche dès l’apéritif à force de boire ton foutre sans fin
mais normal pour un belge de voir dam’s au positif puisqu’il vient d’un groupe sans gain
et ils t’ont direct mis sur un piédestal mais, moi, j’suis l’pire des vandales
j’suis venu montrer l’grand écart entre ces poids lourds : ça, c’est jean~claude van dam
et puis t’es malaisant comme aladoum qui fait une descente au ski
j’vise toujours plus haut avec des lignes trop exquises
j’deale des rimes mais hors d’question que j’les vende aux p’tits
car j’atteins mon but à chaque fois comme lewandowski
et, chaque fois qu’j’rappe, ma légende grossit
j’enchaîne tellement les rounds que, bientôt, j’serai représentant chez audi
j’suis pas un o.g. ; mes rimes, c’est mon art et j’travaille comme un moine shaolin
toi, t’es l’espoir qui va comprendre que la chute sera vive
t’es comme jérémy lin
on t’a vu briller une fois mais, c’soir, tu n’entendras que : “ciao lin”
et puis c’gars~là n’a qu’un battle en ligne
toi, t’as pu kiffer mes quatre clashs
pas facile pour moi d’faire valoir mes angles d’attaque
mais, entre deux herbes, j’reviens à la charge comme un rattatac
et puis t’veux faire le gangsta ? mais tu viens d’une bourgade et tes voisins t’connaissent pas
tu peux pas m’battre, j’suis comme hitman : dans l’crâne, j’ai autant d’lignes qu’un code barre
on n’a pas les mêmes stat’, ton nombre de clashs ? j’en ai l’triple en victoires
tu n’peux rien faire car, comme ton bled de merde, tu n’as pas d’bar
et silence quand ça tourne, ici, c’est mon dojo et j’en suis le shogun
ma voix fait trembler tes défenses comme les chants de dortmund
non mais, sérieux, qui m’a ramené cette pute aussi fade ?
c’est injustifiable, là, y’a mon flow qui divague
face à ton style si minable, c’est moi l’king, yo, de la multi~syllabe
j’suis un p’tit con impertinent comme si y’avait six fabe
mixé à du jazzy bazz, bienvenue dans mon univers
où ne fleurissent que de jolis vers, où j’écrase les mc d’un pas comme gulliver
comme harden, j’fais d’ce battle une recette culinaire
j’débarque avec l’art de la guerre comme si j’étais jupiter
tu peux plus fuir d’cet enfer comme si t’étais lucifer
donc qu’est~ce tu comptes faire ? espèce de rappeur lambda wack
t’es comme cette pute aux poches vides face à son mac
j’suis joey starr devant son macaque, en gros, tu vas prendre ta claque ; time
[round 1 : dam’s]
quand j’ai vu l’affiche du roar, j’me suis dit : “ça y est, bienvenue dans l’arène du tigre”
j’vais venir avec des bars, j’vais venir avec du style
j’voulais venir la rime aiguisée, j’attendais un adversaire de taille pour ce face~à~face
j’voulais rentrer dans la fosse aux lions mais, là
j’me retrouve dans un arbre à chat
le cr~paud, j’espère que t’as pas préparé des flips, garçon
parce que j’vais pas faire de blague sur ton nom, parce que t’es pas un cr~paud, t’es un chaton
tu mérites pas d’être ici, casse~toi, tu piques la place des autres
t’es qu’un vulgaire chat d’gouttière perdu dans la cage des fauves
j’voulais faire la peau d’mon opposant pour en faire un tapis d’salon, qu’en une seule barre, ma rime le shoote
mais, manque de pot, t’es un chaton, tu seras juste mon tapis de douche
avant d’poser tes couilles dessus, faudrait qu’tu sortes de d’ssous la table
tu fais toute genre de f~ll~tion, toi, t’es prêt à tout pour la gagne
tes couplets sont mauvais, n’espère pas que la foule t’acclame
on retiendra ta prestation comme scar retient moufassa
j’vais tellement te mettre dans le rouge, on pourra plus enlever le sang sur la scène
ça sera si violent qu’au montage final faudra qu’on censure la scène
tu vas pas rentrer vivant, bien sûr qu’ma rime tabasse la tienne
t’as les chevilles qui enflent et qui enflent mais t’arrives pas à la mienne
c’que tu fais, c’est facile, tu prends pas d’risque : que des blagues sur les mères, comme ça, t’es sûr de pas t’louper
j’te l’ai dit : t’es pas un cr~paud, t’es un chat, tu veux pas t’mouiller
tu fais le malin en face cam’ mais, là, t’as peu d’aisance sur scène
tu t’prends pour une étoile montante mais j’vais t’faire redescendre sur terre
on est venu voir des lions rugir, pas écouter des chats qui ronronnent
tu t’vois comme la révélation, moi comme un adversaire qu’il me reste à vaincre
c’qui nous différencie, c’est qu’j’suis arrivé fin prêt et qu’toi t’arrives près d’la fin
[round 2 : cr~paud]
ok, j’imagine que tu voulais qu’ta mère reste dans l’anonymat
j’peux comprendre, tu veux pas qu’les gens sachent qu’pour être sur une photo, elle a besoin d’un panorama
ou bien qu’elle achète ses s~x~toys à castorama
enfin, cela ne nous regarde pas
mais, bon, j’ai entendu dire qu’y’a pas qu’chez l’gynéco’ qu’elle atteint l’nirvana
paraît même qu’elle n’en peut plus de n’mettre qu’un poing comme saitama
elle en veut plus, on y met tous du sien comme un genkidama
enfin, cela ne nous regarde pas
mais, bon, femme cultivée, alcoolique sodomite, ses passions ? art, tise, ~n~l
comme rodin, elle confectionne ses propres gods dans l’argile, ça, c’est d’l’artisanat
enfin, cela ne nous regarde pas
mais, bon, elle s’fait défoncer en vitesse contre les murs, on l’appelle “ayrton senna”
elle a eu tellement d’blacks en elle, on dirait l’wakanda
et, à force de ça, elle a eu tellement d’bleus dans la chatte qu’on s’croirait dans un commissariat
enfin, cela ne nous regarde pas
parce que, bon, moi, j’veux pas perdre mon plan cul comme ça
donc j’espère juste que ta mère ne nous regarde pas
parce que j’veux pas la perdre, cette p’tite conne
elle essaye de garder sa féminité, elle y veille comme simone
mais, dam’s, tu peux demander à cheef
mais ta mère est plus facile que la vanne sur la “chiffe molle”
mais elle gagne bien avec le s~xe, hein, et j’te parle pas de p’tites sommes
c’est devenu la patronne des bitcoins tellement, chez elle, les bites cognent
mais c’est pas gratuit, hein, j’m’énerve parce qu’elle a fait quelque chose de très discutable
j’suis au courant, gros : damien était une femme, à la base
mais sa mère a fait des expériences sur lui dans un minibus sale
pour transformer sa fille en pseudo rappeur afin de l’appeler “dam’s”
mais il a tout pour réussir, il en a déjà le blaze
il ne lui manque plus qu’les rap sk!llz pour être à la page
par chance, aujourd’hui, ils t’ont mis contre un maître de stage
pour qu’face à moi, ce trans’ se forme plus vite qu’optimus prime
j’fais même rimer mes times
puis, non, j’m’arrête pas comme donald qui déraille
mon buste a flexe parce que j’connais la vibe
et cette ligne te passe au~d’ssus d’la tête comme un pegasus airline
mais c’est pas grave, c’soir, tu rentres dans la légende en écartant les jambes
mais pas comme michael jordan
plutôt comme clara morgane, vu la manière dont j’t’ai retourné avec style
j’crois qu’c’est l’moment de dire : “time”
[round 2 : dam’s]
tu vas encore dire qu’on s’en fout du gagnant
qu’le plus important, c’est faire partie des grands sur la scène
mais, moi, j’pense que t’as peur du class~m~nt
j’pense que tu dis ça parce que tu sens qu’tu vas perdre
t’as peur de la défaite parce que t’as trop d’orgueil
t’es venu jusqu’ici pour te vendre comme un colporteur
tu t’aimes, ça s’voit qu’tu t’aimes
depuis qu’tu t’es croisé dans l’miroir, tu t’aimes
d’un amour épatant
tu t’offres des roses et des pivoines, t’hésites à t’présenter à tes parents
le soir, tu t’astiques le zob et tu avales
à ton mariage, tu seras tout seul, t’auras une robe et une cravate
mais tu t’prends pour qui, connard ? tu t’crois sorti d’la cuisse de jupiter ?
ta gueule, toi, t’existes à cause d’une cuite de jupiler
t’es qu’un têtard non désiré, t’essayes de l’nier mais, dans l’fond, tu l’sens
j’pense que tu te donnes beaucoup d’amour pour compenser qu’t’as été conçu sans
malgré tout, tu vis au crochet de tes parents, surtout celui d’ton père, il a une sacrée droite
votre relation est dégradante, depuis tout p’tit, tu lui casses les noix
il s’dit qu’vous devez bien avoir un truc en commun mais il voit aucunement quoi
il sait reconnaître un bon whisky d’un mauvais mais il s’est toujours pas reconnu en toi
vous êtes tellement différents, il a commencé à douter de ta mère et sa fidélité
après une grosse dispute, il est parti en ville
faire des tests de paternité
et, là, coup d’tonnerre, la sentence fut irrévocable
savoir qu’c’était vraiment lui ton paternel, ça lui a brisé l’moral
ton père te renie, ta mère te déteste ; de toute la famille, t’es le fardeau
à ton anniversaire, c’est à ton p’tit frère qu’on offrait des cadeaux
tout ton entourage te méprise, j’ai pas les mots pour l’exprimer
mais comment t’expliquer que même ton chien veut t’faire piquer ?
adrien le cr~paud, tu portes fièrement le nom de tes ancêtres mais ça te mènera nulle part
t’assumes ton nom d’famille mais ta famille, elle, ne t’assume pas ; time

[round 3 : cr~paud]
eh yo, yo, yo, moi, j’fais du old school sh~t, yeah, comme un gramophone, j’suis imprenable comme l’acropole
ils veulent qu’on s’tape, boy, pas d’problème, j’m’en accommode
mon bodyguard, d’t’façon, c’est rotka, galbé comme une armoire et pas commode
t’es là pour meubler le battle, comme le psg à barcelone
puis tu comptes faire quoi contre le disciple de la bonne école ?
dans c’cours, ma plume va plus haut qu’la tienne, comme hermione avec ron
donc arrête de t’voiler la face, dam’s, t’es pas une femme musulmane
t’as autant d’chance pour la gagne qu’maadou a d’chance de capter la précédente phase
et, même si cette tarlouze est amicale, on arrête les plaisanteries
car, si j’sors l’douze de mon ~rs~nal, on verra si t’en ris
et tu crois qu’t’es calibré pour l’évènement, mais arrête ton pipo, mon enfant
car, si tu m’prives de mon neuf, j’en ramènerai deux dans l’dos à la ronaldo à milan
et, là, j’vais dissiper toute confusion, on a beau être deux cons, y’aura pas de fusion
et, ça, c’est ma transition pour introduire le style du roi des cons
parce que, moi, j’suis venu faire un trou dans c’game à la hache comme jack nicholson
t’es l’valet des voyelles, j’suis l’roi des consonnes
t’as pas compris, fils : j’suis l’roi des cons, son
t’as cru pouvoir pacter avec le roi des cons mais j’vais te compacter
t’arrives chaud bouillant, j’refroidis ce con, tu finis congelé
donc, qu’on s’le dise, frère, t’es pas mon confrère, t’es juste un con, frère
je cerne ce con dans mon round car ça t’concerne
tellement d’flow dans mes verses que t’en traînes à mes pieds comme des converses
comprends ce concept, c’est la fête quand ce con fait tilt
et t’as rien à faire ici, comme des confettis
et, dans cette configuration, tu n’es qu’un con qui fait d’la figuration
et c’est pas un conquistador, t’es juste un con qui s’adore
j’ai conquis ta mom puisque j’concocte de belles métaphores
et, pour écrire, ce con s’aide de google donc aucune chance que j’te concède le battle
parce que tu ressembles à ce con d’serge, et même si ce con allume un cierge
pour qu’dans l’battle rap on te consacre, tu n’en resteras qu’le concierge
eh ouais, y’a du flow chez ce con, pendant qu’j’envoie la grêle, lui n’envoie qu’des flocons
normal qu’il puisse rien faire si ce con dort face au faux con
et t’as autant d’impact qu’une merde de pigeon
pour ça qu’cette pute est confiante dans cette opposition
et t’penser affronter le king con sans conséquence
j’suis le roi des cons et t’es la reine des trans’, plus jamais t’espères faire partie d’ma concurrence ; time

[round 3 : dam’s]
le cr~paud, j’te l’ai dit : j’vais pas faire de blague sur ton nom, j’trouve que c’est facile et de’jà fait
“j’vais pas faire de blague sur ton nom” : j’ai menti, c’est pas vrai
tu vas en baver, la grenouille, j’vais pas du tout te respecter
j’lance un pavé dans la mare, j’attends qu’le plouf te laisse blessé
tu rêves qu’on étudie tes textes en cours de lettres
on dissèquera plutôt tes restes en cours de svt
tu crois qu’t’es bon, qu’tu fais du sale mais, peu à peu, le doute s’étend
y’a que sur ton p’tit nénuphar que t’es l’meilleur de tout l’étang
tes phases sont pas terribles, t’as pas de vrai texte qui cogne
t’as du flow mais tu racontes de la merde, t’aurais dû t’appeler “crazy frog”
tes couplets sont pas si bons, tu fais plus de bavures qu’la police
j’vais faire une croix sur ton nom, tu sais, comme sur celui de malcolm x
t’as pas c’qu’il faut pour m’abattre, tu fais pas l’poids, sale avorton
tes couplets sont comme ta mare : ça stagne et c’est pas profond
tes rares punchlines sont wacks et ça m’gêne
les phases de cul sur les mamans sont ton seul puits de ressources
moi aussi, j’pourrais parler d’la tienne
dire que j’plonge dans son bassin, lui bouffe ses cuisses de grenouille
mais j’le ferai pas, j’dirai pas que j’nique ta mère et ce à juste titre
parce que, ta mère, tu la mérites pas, t’es qu’une espèce de pute de fils
j’te prends sur le fond et la forme, la faune et la flore
pendant qu’tu parles sur des femmes qui sont pas là, j’préfère t’exploser la glotte
t’es arrogant mais t’as pas d’courage, aucune chance que tu brilles de milles feux
t’es pas un cr~paud, t’es encore un têtard : une grosse tête avec une toute petite queue
ceux qui croient en toi sont stupides, connard, tu vas rentrer bredouille
on est venu voir des lions rugir, pas écouter le chant des grenouilles
tu peux oublier tes rêves de gloire comme le cr~paud oublie ses rêves de princesse et s’assagit
la seule princesse que t’approcheras se trouve dans la pièce : son p’tit prénom, c’est “aparzite”
tu mérites qu’on t’remette les idées en place, de t’faire tamponner en somme
p’t~être que, si t’embrasses ma main droite, tu pourras te transformer en homme ; time


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