lirik lagu nuelma – parkinson
[couplet 1]
depuis tout p’t-t j’compte les grains qui s’écoulent dans le sablier
ils disent de moi que je suis complètement influençable
j’essaye juste de mesurer la chance qu’on m’a donné à sa valeur
ça avale
quand quelqu’un peu modifier les règles à sa manière
j’aimerai éguiser ma lame autant qu’l’arête de ma plume
elle me permet de déguiser ma flamme, et combler mes tas d’lacunes
j’avoue je l’utilise pour faire tomber les bas des femmes surtout celles aux yeux couleur azurs
voilà qu’j’m’enferme dans ma chambre à réviser une année d’plus :
mon père m’a dit c’est les hommes qui étudient qu’on arrete plus
ok j’avoue
j’ai échangé des cafés-clopes contre des vodka redbull
et je continue de baiser des saletés d’putes
frère j’me bourre le crâne
plus avec des bouts de hash
mais avec les cours d’la fac
et j’repense à mon père qui m’a donné de quoi manger plus de 2 repas sur 3
j’lui ai rendu comme j’pouvais, mais je ne dors pas pourtant
appellez une ambulance
à travers cet écran d’fumée
mon âme sort je la vois déambuler
crier sur tout les toits
autant en finir
avec cet élan d’fureur
[refrain] x2
-j’en ai marre de p-sser des soirées dans un parking, stone
ma vie c’est de faire un château d’cartes avec un parkinson
[couplet 2]
remballe tes amicalités
j’parle beaucoup d’amour parce que je parle peu d’mes qualités
j’ai mal à l’idée
que devant des amitiés j’me suis mis à saliver
j’ai p-sser un sale hiver
entre les putes, et les potes qui m’racontent des balivernes
j’en ai marre d’l’ivresse
mais il est vrai, que c’est grâce à elle que je parviens à me livrer
y’a que mon frère que j’appelle frère
la seule personne qui sait me faire plais’
il m’a appris qu’en temps de guerre y’a pas toujours de fairplay
on écris des versets
avec ce que les armes ont bien pu déverser
j’rêve d’atteindre honneur et paix sans avoir à souiller ma personne
attendre mon heure m’effraie, dit moi qui s’en aperçoit?
accompagné d’mon frère, mon âme s’apaise
a tout c-sser, à nous deux on n’avait qu’ 100 pesos
le plus dur c’est d’se perdre soi
alors j’ai beau perdre tous mes amis, jamais, je ne me déçois
j’les vois, s’agiter pour d’la devise
mais moi, j’prefere rester un type pauvre que devenir un pauvre type
j’suis au courant que j’ai dormis
plus de nuit dans ma voiture
qu’avec certaines de mes copines
j’te promets qu’j’écoute la mélodie que âme compose
pourtant c’est contre les femmes que mon coeur complote
merde.. je me demande ce qu’il comporte
[refrain] x2
-j’en ai marre de p-sser des soirées dans un parking, stone
ma vie c’est de faire un château d’cartes avec un parkinson
[couplet 3]
par ici j’vois régner la loi du plus fort
j’hallucine, j’crois rêver, c’est la folie qui m’porte
après toutes ces conneries, j’crois que j’ai gagné du repos
s’arrêter pour méditer c’est bien la dure pause
on fuit nos vices du p-ssé
en vrai ils m’collent sans aucune raison
comme un ancien ivrogne qui boit du jus d’raisin
depuis ma tendre enfance
ou du moins depuis que j’ai de l’éloquence
je cherche des réponses
et pour ça je tente de p-sser sous silence
ce que l’état répand
et ce que les tarré pensent
tu sais c’que c’est quand les gens te laissent
depuis l’époque des dents de lait
tu t’en fous des sentiments tu ne rêves que de dentelle
j’suis en quête d’ident-té comme devant des leurs
j’ai vu des putes courir, les attaquants s’conservent
j’aurai pu mourir en attendant qu’on m’serve
[refrain] x2
j’en ai marre de p-sser des soirées dans un parking, stone
ma vie c’est de faire un château d’cartes avec un parkinson
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