lirik lagu noir lotus – black-out
[paroles de “black~out”]
[refrain: nab et nosdraeb]
ils réécrivent l’histoire, en arrachent plein d’pages, ne s’en cachent même pas
leurs amnésies sont sélectives, permission d’black out
ils commettent plein d’crimes, ils nous laissent plein d’traces, on s’en fâche même pas
un tel déni est collectif, permission d’black out
la vie est une flamme, l’espoir est un rêve et parfois une lumière
pour repousser l’froid, faire sauter la ville il suffit d’allumettes
j’envie les ténèbres, il y fait très noir, j’me sens comme chez moi
j’en ai des flashbacks, on dirait le pays après un black out
[couplet 1: nab]
j’crois qu’en aiguisant mes rimes j’peux atteindre la vision d’arima
si j’y arriverai, seul l’avenir nous le dira, mais l’temps joue contre moi
réfléchir seul dans l’noir n’apporte que des conclusions macabres
tuer des gens c’est plus écolo qu’faire sauter des pipelines
déter comme [?] j’viens changer la timeline, aux yeux d’mes rêves j’suis un soldat
le bien et le mal, le rouge et le noir, tout se confond dans mon coma, hey
enfant maudit par l’feu, 4~5~1, gravé sur l’code~barre, je n’suis pas heureux comme montad, mon flow un python cracheur de flammes
[refrain: nab et nosdraeb]
ils réécrivent l’histoire, en arrachent plein d’pages, ne s’en cachent même pas
leurs amnésies sont sélectives, permission d’black out
ils commettent plein d’crimes, ils nous laissent plein d’traces, on s’en fâche même pas
un tel déni est collectif, permission d’black out
pour repousser l’froid, faire sauter la ville il suffit d’allumettes
j’envie les ténèbres, il y fait très noir, j’me sens comme chez moi
j’en ai des flashbacks, on dirait le pays après un black out
[couplet 2: nosdraeb]
les armes fument, les balles fusent, des villages forment des mirages
l’histoire s’écrit, les pages se brûlent, rien n’sert d’attendre miracle
j’gratte des seize, c’est qu’des jets d’encre mais j’ai du sang sur l’visage
des colonies et l’esclavage, est~ce là mon héritage?
j’suis un homme blanc hétéro, est~ce de ma faute? j’suis ni fier de mon peuple ni de mon drapeau
bâti sur sang et la poussière des os, on ferme les yeux et on critique les autres
conscience aveugle, zéro cond~mnation, je tiens pas à les croiser j’suis dans la profanation
brûler des livres pour nos programmations, couper l’savoir et ses propagations
les ouïghours, l’amérique et l’afrique, plus l’péché est grand plus l’est le cashprize
j’ai les armes j’prendrais tout, déter comme un colon en ’92 (bâtard)
j’comprends mes questions, j’comprends ma mission c’est pas d’la fiction hey
j’comprends la fiction, j’comprends la diction, permission d’black out
[refrain: nab et nosdraeb]
ils réécrivent l’histoire, en arrachent plein d’pages, ne s’en cachent même pas
leurs amnésies sont sélectives, permission d’black out
ils commettent plein d’crimes, ils nous laissent plein d’traces, on s’en fâche même pas
un tel déni est collectif, permission d’black out
pour repousser l’froid, faire sauter la ville il suffit d’allumettes
j’envie les ténèbres, il y fait très noir, j’me sens comme chez moi
j’en ai des flashbacks, on dirait le pays après un black out
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