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lirik lagu niaks – destinée / testament

côtoyer la guigne j’ai l’habitude, fais mes études dans l’bitume
libérable toujours têtu réinsertion faite dans l’p~stu
c’est bylka prod l’institut, connexion m~rs~ille / castellane 7~8
le mental à l’ancienne, j’suis bloqué à l’époque de l’express~d
j’dois faire mon trou évitant de s’faire trouer en temps qu’écroué
mais j’viens de sortit j’ai les crocs et j’peux pas laisser graille ces kwed
des épreuves bravées à la chaine c’est la chienneté
mais moi sur l’pavé j’fais un salaire de chef
et si un jour j’fais disque d’or ils diront qu’j’suis dans l’shour
mais ces fils de putes diront pas que j’bossais quand ils dormaient profond
faut coffrer, s’lever tôt pour l’instant on fait l’taff
laisse les scanner en vuitton c’est plus tard qu’on fêtera
j’ressens rien dans c’qu’ils disent pourtant ils prétendent tous rapper la rue
mais mes bonvieux qui y sont n’ont pas le temps, que~bra ou taff la pure
ils ont rien à perdre à part l’temps pour faire des hebet
n’envisage aucune guerre avec eux, faut leur mettre dans la tête hein
j’suis bloqué dans c’monde, comprends pourquoi j’suis parano
là ou tous mentent, veulent l’os~ma mais jamais l’bien d’un autre
il a voulu testé, il a vu passer l’quatre anneaux
quatre bastos après ils ont gâté sa vie, une dans la tête en cadeau
l’studio c’est mon labo, l’instru j’la guetteh
a part que c’est des bonvieux qu’j’vi~ser et pas des shlaguitos
c’est mes semblables ils ont subi en bal comme christophe khider
moins on en parle et plus c’est rentable, donc la juge dit à qui l’tour
j’fais que du rap d’vécu et j’resterai cru jusqu’a c’que j’ve~creu
on s’melange pas avec eux font les sombres quand ça tire ils défèquent
y’a peu d’hommes beaucoup d’fakes, on s’en fou tu marches avec qui
j’en suis là qui l’aurai cru, j’poursuis ma vie avec guigne
si la guigne me lé~co la baïda y est pour
pour quitter hess~life certains ce sont mis dans des bier~bour
on retrouve pas ton frère la kav~pou bah tu vas payer pour
j’peux pas voler de plots à ses putes ils bossent avec les porcs (shekem)
un pure produit d’teref j’ai l’jeuh j’vois qu’les interêts
tu t’fais niquer même dans tes rêves on l’sait mais on t’laisse faire l’terrible
j’suis pas venu en paix j’suis parterre faut ma paye
y’a qu’en mettant profond ma bite qu’on se souviendra comment j’m’appelle
si ça pète tant mieux, si j’buzz vient pas j’repars tapper
a pied j’faisais des bars tabac s’il payait j’repartais l’tapper
j’ai d’la frappe tarpin bonne tamponnée la bp
des parpaings s’mangent chaque jours ici babylone n’en peut plus
siete~ocho mantes la jolie val~fourré
j’peux pas t’citer autre chose que la rue elle m’a fourrée
teref…
j’suis dans la dounia constamment, les sous j’les course darment
conscient que c’est consternant, mais j’ai faim j’suis sorti d’cinq ans récemment
j’fais du hard~gore mon rap a l’image de mon parcours
la rue j’la connais par cœur, vu les plus futés perdre la vie, finir fou ou prendre perpet’
on ressort pas libre du parquet, c’est les arrivants la barquette
moi pas connaître perm, l’hiver sous parka à pousser l’parterre
la rue c’est fait pour les hommes, ceux qui affrontent l’épreuve solo
comme un détenu pour des années, avec ou sans arme le même soldat
la prison une petite mort, laissez~moi dans mon linceul
me mélange pas avec n’importe qui en cellule, j’t’ai baffé j’garde pas mon seum
solide mais le cœur il saigne, j’ai payer l’prix cher des faux amis
tu veux savoir qui t’aime, purge des années, là tu pigeras y’a qu’avec dieu qu’on s’allie
ça m’a été un mal pour un bien c’est là~bas que j’ai commencé à saler
on veut tous le salaire de salah mais avec qui gardera sont simplisme
comme youssef d’orly tellement pleuré j’ris quand j’suis éprouvé
c’est dans les abysses profondes qu’mon inspiration est trouvée
dans des affaires qui font rhaff mais rentables donc rien à faire
la rue m’a eu c’est la mort pas l’hebs qui m’fera lâcher l’affaire
t’oublies j’viens d’mantes la fitna là où les petits grandissent en vitesse
moi j’veux la dolce vita mais pour l’instant je saigne la vie d’tess
peu d’solidarité c’est devenu sodome et gomorrhe
un mélange d’saddam et d’gomorra c’qui passe dans ma tête est gore
correcte tu l’es pas ton corps sera troué
même si tu t’caches dans l’ventre d’ta mère dounia va faire qu’j’vais te trouver
j’ai trop fais d’haram en enfer j’ai des trophées
j’vais pas étoffé mon cv mais tu comprendras que j’ai tout fait
j’suis pas ces bouffons l’braquo nous a donné à bouffer
les jaloux du bonvieux j’leur souhaite la mort étouffée
tu m’dis je t’aime mais serais~tu là si j’prenais une peine à deux chiffres ?
y’aura qu’mama j’sais d’temps en temps j’frelon pour ramener l’sh~t
elle ira faire la chiennes comme la plupart des grosses peines
vieux baveu aux assiettes prépare les chanteurs gospel
gérer l’parlu c’est un caspip faut tout faire sinon on voit casper
on rentre dans la banque en casse~b, avec une dalle plus grande que la casté
j’suis dans la dounia constamment, les sous j’les course darment
conscient que c’est consternant, mais j’ai faim j’suis sorti d’cinq ans récemment

- lirik lagu niaks

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