lirik lagu metah – hanoa winter tour marseille
[paroles de “hanoa winter tour m~rs~ille”]
[intro]
hm~hm
provokind, why you’re so serious ?
hm~hm
[couplet 1]
j’me vois pas éloigner d’ma mère comme si j’ai pas coupé l’cordon
trop d’fierté, pour ça que j’floute mes émotions
et tout s’rait plus facile si j’pouvais tout dire en chanson
17 ans, rien à fêter, mais j’bois du moët & chandon
j’aurais pas dû trainer, j’aurai dû changer d’atmosphère
j’me calme avec mon teh, j’suis en manque d’oxygène
ici, j’me sens à part, c’est pour ça qu’j’ai la prose qui gêne
j’petit déjeune avec les plus criminogènes
il est tard, j’ai les yeux rouges et mon ‘sin vide la ballantine
j’ai que des mauvaises poussettes, mais j’connais l’vice des chayatin
mal à la vie, rien qu’ça entasse les p’tits soucis
nous, les flics, on baratine, on prie, on croit au paradis
[pré~refrain 1]
pardonnez~moi, j’suis pas comme les autres et je l’sais
j’mets l’ocb sur les plaies quand je saigne
et à trop l’inhaler, j’vais faire un ulcère
[refrain]
tout est noir, j’en ai fait un pour revoir les couleurs
que j’étouffe mes douleurs et que j’me refasse en dollar
quand dans ma tête, c’est l’orage, dans la caisse un gros nuage
j’trempe les mains dans l’engrenage, j’suis enfermé comme un taulard
[post~refrain]
j’ai pas l’cœur à la fête, tous ces mauvais souvenirs, j’écris
le soleil brille, mon ciel est gris
j’cours après les loves, j’en paie le prix
le sommeil coûte cher depuis que j’la fume, j’ai maigri
[couplet 2]
des fois ça m’parle, j’sais pas quoi dire
j’m’en bats les couilles d’la vie d’autrui
raconte des légendes de cartel quand ça pète, ils font les autruches
on veut tous sortir du quartier car dramatique sont les stories
ça peut venir pour t’éclater ou bien t’saboter comme coluche
à l’affut des shmit corrompus, y a l’code sécur’ sur télégram
et faut que j’rentre plus tôt pour payer ma dette à l’état
la haine est véritable, les procédures sont illégales
j’ai pas d’shooter, j’ai mis l’livreur sous l’intégral
ça toque à six, tu t’prends la saisie dans les dents
si t’as tout zingué sans les gants, tu vas dormir que d’un seul œil
même si j’suis plus dans l’bâtiment, en france, j’suis typé trafiquant
j’me brûle en regardant l’soleil, j’me refais comme un hustler
[post~refrain 2]
trop longtemps que j’galère on m’a dit : “hatem, là, c’est l’heure”
moi, j’peux tout renfermer jusqu’à qu’mes émotions se meurent, moi
jusqu’à qu’mes émotions se meurent
et temps en temps, j’pleure, un peu trop d’blessures sur le cœur noir
[refrain]
tout est noir, j’en ai fait un pour revoir les couleurs
que j’étouffe mes douleurs et que j’me refasse en dollar
quand dans ma tête, c’est l’orage, dans la caisse un gros nuage
j’trempe les mains dans l’engrenage, j’suis enfermé comme un taulard
[post~refrain]
j’ai pas l’cœur à la fête, tous ces mauvais souvenirs, j’écris
le soleil brille, mon ciel est gris
j’cours après les loves, j’en paie le prix
le sommeil coûte cher depuis que j’la fume, j’ai maigri
[outro]
hm~hm
hm~hm
hm~hm
hm~hm
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