lirik lagu mentalités sons dangereux – ça reste incitant
– l’inkonea
si tu respectes pas tes écrits vaut mieux prendre sur toi
fait gaffe à ton récit si tu veux pas atteindre le surpoids
-ssure-toi qu’à chaque fois qu’tu poses, tu fais ça bien
on a trop entendu ces avertiss-m-nts
reste gentil, fait pas l’caïd, ici t’as pas ta place
reste -ssis, prend la porte, rêve pas d’avoir choisi ton camp
un continent, c’est c’qu’il faudrait pour enfermer
si les keufs continuent à arrêter pour une broutille
la tolérance zéro, leur façon de fonctionner, à c’qu’il parait
en plus de ça, il y a zéro politesse
a coup d’karcher dans les ‘tess, la politique à sarko
et ça s’étonne que le pavé d’la france a c-ssé le carreau
en autres termes, une manifestation
qui mettra terme à une résolution
celle d’ouvrir sa gueule pour s’exprimer sans pudeur et sur un son
– dady.s
j’vois qu’c’est d’jà mon tour, tous t-ssés dans la case départ
mais j’vois personne aux alentours, alors on s’tape des bars
la rangée d’vautours nous tape des r’gards
faut qu’on trace dans cette brume épaisse
dady.s dans la place
c’est pas la plage, mec attache tes lacets
si tu veux pas t’planter la face dans une porte caden-ssée
tous carn-ssiers, faut protéger ses os, zinc
et pas piéger ses soces, pas p-sser à côté des choses simples
car souvent c’est comme dans saw v
entouré d’zombis, vas y laisse tomber
chaque type possède son prix mais c-n-lise la sion-pré
chacun cherche son pied donc -n-lyse tout c’qu’on dit
y a trop d’phases bizarres, mais y a pas d’visage
v’la qu’débarque le blizzard efface mes pas sur l’instru
j’laisse ma trace fissa, mec y a pas d’filles sages
– kema
pas d’solutions contre les forces de l’ordre
ne me dit pas que les matraques forgent l’homme
j’informe ma populace des déchets qu’on sent v’nir
et pour l’avenir on garde la forme dès l’or
qu’on peut démentir l’image stéréotype fabriquée par les médias
et puis dans l’immédiat le beretta séré au slip
en cas de prolongation du mandat
j’préside, précise la pensée de tous les méprisés qui nous ont précédé
j’insiste pour l’estime de tout un peuple
un peuple à bout, certes, mais pas près d’céder
le bilan des pertes est lourd
même chez mes adversaires, protestez-vous
peuple insociable mais sent ça, sans ça pas sensas
aux yeux des mecs jaloux
– d.a.d
j’suis fort …
ouais très fort pour te dire c’qu’il faut faire
malgré ça j’fais l’fier quand il s’agit d’faire c’qu’il faut
on me dit « t’es un frère-faux »
mais personne j’peux satisfaire
alors allez-vous faire foutre, on est tous sur c’planisphère
et on peut rien y faire d’l’enfer qu’ils nous vi-ser
ils veulent que le servant serve, le vice serre
voilà ma france, martinique, maroc, serbie
une seule éthique et maint’nant ma clique, marre
observe bien les bienfaits d’leurs biens
pendant qu’eux, ils disent « bien fait »
nous cond-mnent pour c’qu’on ne fait pas
et ça, ça s’fait pas j’entends tant d’t’en fait pas
mais à force de m’répéter la même chose
on m’la fait ap
– peyen
un p’t-t message pour tous mes frères qu’ont le sang chaud
pour conserver notre sang froid
faudrait plus vivre sous thermo
pas d’second degrés dans mes brûlants propos
le sujet est violent, maso !
climat malsain, pas d’vers tempérés
dans notre vie trop d’nuages qu’empêchent nos astres de briller
vaut mieux avoir des couilles avec une tête super pleine
plutôt que d’se faire c-sser les couilles jusqu’à s’faire mal à la tête
la lune c’est le soleil de mes nuits
j’dis ça parce qu’aujourd’hui ma vie se p-sse surtout la nuit
j’vis décalé, l’r-t-rd m’a fixé rendez-vous
j’suis arrivé à l’heure donc à la bourre du coup
je sais qu’cette sale vie va finir pas m’l-sser
c’est vrai à quoi ça peut servir, comme des pompes neuves sans lacets
c’est quoi l’mieux ? rester le cul entre deux chaises
ou d’squatter sur un banc en attendant qu’une place se libère
dans leur siège sociaux, soucieux souvent
car sachez que je ne veux pas finir dans les bas-fonds du bienveillant
– kacim’baink
serial player, ma voix vient d’ailleurs
———————— visible à mon timbre de voix
j’envoie les —— au vestiaire
t’es né hier, j’ai l’art et la manière de shooter l’son
de toute façon, chacun a sa façon, agaçons
ces tirades de chanson, voilà la leçon
p-ssons, cherchons la guérison
la confrontation de ma division
coopérer, c’est une trahison
dans tes écouteurs t’as des frissons
je bégaie, mais j’ai la pression
et quand ————— pour les mômes, c’est la solution
habitué à trimer, j’ai ———- l’habitude de tuer
pas b’soin d’canoë pour te noyer
moi et mes soces, on sait que tu sais que je sais que
je progresse si on m’agresse
a genoux, c’est pour le un, tu te crois malin, c’est pas la fin
j’prépare l’terrain
un bon couplet, on est ok, trop d’perroquets du karaoké
dans tes clubs privés, des dérivés d’cd, pdg, manager
que j’évite en vtt ———– en lousdé
alors que j’ai pigé et j’ai vidé mon chargeur sur l’ennemi
– zeuta
encore un son sorti de l’ordinaire
peter le score de nanterre à la goutte d’or, dit leur
qu’on est peace là dealer de son ratisse large
entends les dire « c’est qui ceux-là ?»
c’est zeuta, ce vicelard
peu-ra, graff et bizutage
il fout la merde et il se taille
je suis, cette âme en peine, viré de l’inf
je peux plus voir un cahier claifontaine
si les bas-fonds t’aime protège ton dos avant qu’on c-sse ton thème
c’est catastrophique la crise à qui ça profite
tout ça va trop vite, j’ai les crocs fils
dans notre mythologie on f’ra tourner aphrodite
dite-moi si mon flow -ssure
si il dénonce la c-ssure pour sortir sur blessure
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