lirik lagu lost – la vie
[paroles de “la vie”]
[couplet 1]
personne donnait donc j’ai dû m’prendre ce que la vie me proposait
le sommet j’aimerais surprendre, en volant d’mes propres ailes
la vie m’avait trompé d’elle, un travail de mannequinage
donc j’ai dû p~sser sur elle pour faire couler son maquillage
elle m’sourit d’un air trompeur, son mascara, sa mascarade
j’respire le parfum d’son odeur, la tête dans un masque à gaz
elle m’a trop pris par derrière, c’pour ça qu’j’ai l’air défoncé
j’lui propose de m’laisser faire, mais la mort m’empêche de foncer
comme notre planète, y’en a pas deux, faudrait pas d’autre cas pareil
la vie n’est qu’un prêt de dieu, mais que l’homme veut s’accaparer
l’afrique m’a confié quelque chose, elle m’a dit secrètement en pleurs
qu’on a confiné les pauvres pour qu’les riches prennent de l’ampleur
la vie m’a dit qu’ses ressources fait l’sujet d’nos polémiques
que la famine a pris du poids grâce au régime politique
[refrain]
j’me dit que l’diable tend son hameçon pour qu’on puisse plus se défaire de l’appât
mais qu’un petit peu comme neil armstrong, qu’on y arrivera pas à pas
j’me dis que l’diable tend son hameçon pour qu’ont puissent pu se défaire de l’appât
mais qu’un petit peu comme neil armstrong, qu’on y arrivera pas à pas
[couplet 2]
ma passion frôle le dopage, c’est mal vu là où j’habite
mais j’ai beau tourner la page, j’reste toujours dans le même chapitre
j’suis pas raciste, j’vous prie d’me croire
donc avant d’me blâmer~moi, dites au blanc que sur l’histoire des noirs, jamais j’n’aurais de blancs de mémoire
ça bug au k.k.k
j’vous est tous choqué, qué, qué
j’écris la tête remplie vu qu’j’ai tout stocké, ké, ké
derrière porte y’a la hess mais j’laisse stocké, ké, ké
j’comptais trouver sa faiblesse avant de les stocker, ker, ker
ils aimeraient qu’on se refugisse dans leurs bras de tirailleurs avant ce que ça pète comme un fusil va falloir qu’on aille ailleurs
avant qu’ça pète comme un fusil, va falloir qu’on s’tire ailleurs
bercé par ma devise et guidé par mes désirs
j’suis dans un tsunami de bêtises puisque j’nage en plein délire
j’verse des larmes de compati pour mes frères sous écrou
j’pense aux cauchemars qui se bâtissent et aux rêves qui s’écroulent
j’viens de hanter comme un refrain, 2013 toujours en vie
ça c’est que l’début d’la fin, tu connais la mélodie
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