lirik lagu lk de l’hotel moscou – parallélépipède
[lk de l’hotel moscou]
entre six parallèlogrammes, je possède les murs d’un pavé
je ne peux me contenir sur ma surface, un disque ne pourra me recadrer
bien rangé entre 6 rectangles, et peu importe les mètres carrés :
il me semble à l’observer que l’homme tourne -ssez en rond pour être taré
et je trace, ligne après ligne, sans l’infini, on va pas se croiser
là où je trône : la pyramide, vu de mon prisme on va pas se toiser
mes confessions à la machine, système d’exploitation rechigne
a encrypté mon imaginaire,donc pour pare feu on va se tracer
la géométrie d’asymptote de haine
je m’aligne sur l’algorithme des potes que j’ai
capte les mathématiques de notre folie aigre
dans les murs attaviques de notre polyèdre
[lk et béhybé]
toute la journée j’observe parader les bipèdes
enfermé dans mon parallélépipède
parallélépipède
parallélépipède
enfermé dans mon parallélépipède
[béhybé]
ma quadrature du cercle me donne envie de prendre la tangente
je crois en la nature humaine car il parait que les gens changent
dans des grands centres, des parallélépipèdes se dressent
parler aux bipèdes me stresse
dans ces monades urbaines, je ne crains que la dégringolade du suprême
bombes en guise d’uppercut pour larmes de sang en fractales
plus de verbe ! dans mon hypercube, m’arme de bon sens et de pragmatisme
si je me supprime de l’équation
je ne suis qu’un x de plus , un isde, un indice d’un schisme de plus
et nous devenons une fraction sans dénominateur commun
tu vas faire comment ?
je tracerai la médiane de ton triangle
effacerai la mémoire de nos vies an-
-terieures, à l’interieur un cœur à défragmenter
l’éc-me des jours, des mois, boris vian, tes “tu” ont fait le tour des “moi”. regards fuyants
défi terrible qu’éviter le rythme qu’exige la cité, ainsi incité à l’exil
[lk et béhybé]
toute la journée j’observe parader les bipèdes
enfermé dans mon parallélépipède
parallélépipède
parallélépipède
enfermé dans mon parallélépipède
[lk de l’hotel moscou]
mon abscisse derrière des grilles de fer monopolise le verbe
modélise la forme de nombreux bris de verre
codez, uploadez mon ghost, que je ne sois plus des vôtres
comme euclide et gauss, point-carré et stott
l’algèbre de la division appliqué à ma vie
ma dimension : ma dépression. soustraie moi à l’avenir
comme en isométrie opposé, dos à dos
courbé suivant l’élipse
c’est de la trigonométrie
[béhybé]
je n’ai plus d’air, cutter, lame, ineptes idées, se vider, je parle a des geekettes, il est tard dans mon parallélépipède
[lk et béhybé]
toute la journée j’observe parader les bipèdes
enfermé dans mon parallélépipède
parallélépipède
parallélépipède
enfermé dans mon parallélépipède
idiocratie pour abscisse et tout devient désordonné
qu’ils se r-ssurent dans leurs graphiques, je ne suis qu’un octet dans la voie lactée
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