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lirik lagu limsa – woof

[paroles de “woof”]

[intro]
la richesse j’en connais pas l’châtiment
j’ai zoné du 9~3 à châtillon (9~3)
c’est vrai qu’c’est pas baltimore
elle a des yeux ma barre d’immeuble
quatre heures du mat’, elle voit qu’j’suis khabat dans le trap bâtiment

[couplet 1]
me parle pas d’objectifs j’ai lâché dès l’début
car j’crois plus en moi comme un mec qu’achète des vues, woof woof
quand t’essaies de t’ranger le mani t’propose deux cents g
pourquoi vous voulez m’ressembler alors qu’moi~même j’essaye de changer ? (pourquoi ?)
à chaque blague ça lâchait d’l’urine comme le palmarès du pire marrakech du rire, woof woof
mais j’dégaine que des écrits sombres, j’suis pas un rappeur facile mais quand j’touche des culs j’ai des frissons, woof woof
si tu voyais tous les mecs au chtar, direct gros tu comprendrais tous mes cauchemars (direct)
cambrioleurs avec du cœur rassuraient toujours les otages mais causent quand même des dommages et c’est dommage, woof woof
woof, tous mes potes sont morts, s/o lil uzi vert et aussi lucifer
ceci dit, pas assez sûrs d’eux les p’tits sniffent des purs de woof
et au final un jeune sur deux est suicidaire (a.s.b)

[refrain]
tu braques ou claques l’argent d’noël dans des tatouages
si ma musique te parle c’est qu’elle s’adresse à toi
mais t’identifies pas à moi, car moi c’est limsa poto, limsa poto (a.s.b)
limsa vient des quartiers noirs, limsa vient des quartiers noirs
gros sac, sache que par chez moi on en a rien à battre des noix
t’identifies pas à moi, car moi c’est limsa poto, limsa poto (a.s.b)
[couplet 2]
a.s.b, sevran, drancy, bobigny
la rue c’est bien d’en parler, c’est aut’ chose d’y vivre
ta meuf connaît rien sur nous à part nos zizis
le texte a été validé par l’fantôme de prodigy
a.s.b sur la prémolaire et sur la canine
parle mal sur la famille on t’chouffe j’te l’jure sur ma famille
y a beaucoup d’affamés, mais à la télévision y préfèrent faire des émissions sur l’régime que sur la famine
y a trop d’putes vulnérables, jamais poucave le reuf quand maman d’mander qui a fini l’pot d’nutella (jamais)
quinze ans plus tard, changement d’ambiance
j’répond : « madame la juge j’sais ap’ pour l’braquage, la stup, les armes
c’que vous faîtes là c’est une perte de temps, bien sûr que j’le connais lui c’est mon frère de sang
mais votre affaire, on a rien à faire dedans. »
elles méritent toutes des insultes, ces sales putes, c’est ça l’truc (logique gros sac)

[outro]
a.s.b

- lirik lagu limsa

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