lirik lagu limsa d’aulnay – quartiers chauds
[paroles de “quartiers chauds”]
[intro]
wesh gros sac, ça dit quoi ? (n’est~ce pas)
ouais ouais ouais
wesh gros sac
géant (géant)
[couplet 1]
t’inquiète, j’rentre en scène et j’le fais sans m’en faire
dans l’rap, ça s’agite, ça nique, ça partouze (woof)
pendant qu’en enfer, y a baudelaire qui bé~flam, s’prétendant être le nouveau limsa baptou
ils sont censés nous protéger mais tuent nos reufrés
j’entends, j’lis ça partout
donc, même si c’est un gros péché
si c’keuf meurt, j’souhaite de tout cœur que dieu bénisse la cartouche
numéro un sur les bagarres, l’espoir est une beauté fatale
le million, j’ai déjà eu, [? à 0:35] emmaüs [?] stress du mauvais côté d’la gare
l’époque plus pétée d’ma ive, c’était l’époque où j’étais naïf
l’époque où j’croyais qu’c’était des frérots tous les fils de putes qui venaient m’souhaiter l’aïd (ah, ah, ah, ah, ah)
les quartiers sombres, j’ai connu des années même sans parler de moi
asb, j’viens d’un quartier renoi, chaque matin le sheitan veut s’emparer de moi
et j’crois qu’j’ai réussi (géant)
j’fais pas confiance, dans confiance y a con
chaque moment d’joie comme une compensation
j’consomme des boissons et du spleef, désolé j’ai du style
[refrain]
woof, woof
9~3~6 c’est brooklyn
angoisses et soucis
asb, dur de faire des sous clean
imagine les feux d’l’amour en 2018 (woof)
dis~toi qu’victor newman se piquait d’brooklyn
gros, j’viens des quartiers chauds où tu fais rien à part pécho (et but)
gros, j’viens des quartiers noirs et rien à battre des lois (woof woof)
gros, j’viens des quartiers sombres, gros j’viens des quartiers sombres (woof, woof)
gros, j’viens des quartiers sombres, gros j’viens des quartiers sombres
[couplet 2]
asb, la bicrave fais pas ça pour sous faciles
si tu quittes la prison par sa façade
l’avenir est noir comme les rappeurs qu’youssoupha signe
asb, des meufs faciles, des keufs racistes, bien plus cruels que saddam
j’suis dans la ruelle la plus sombre du 9~3~6 mais j’suis avec la plus belle de paname
en~en~en~enfance au tieks, j’vais pas t’parler
d’une licorne ou du sang d’une sirène
on a grandi sur l’béton, comme lui avec le temps c’est sûr qu’on s’endurcit, khey
ça pilote des piwi, pas d’harley
bats les couilles qu’ces sales porcs me maudissent
comme désaccord de police
comme j’m’en bats les couilles de la mort de johnny (j’m’en bats les couilles)
[pont]
je fais ma vie sans m’en faire
je ne fais que des rimes chapeautées
quand t’écoutes la prod, tu t’dis qu’si tu vas en enfer [? à 2:20]
je fais ma vie sans m’en faire
je ne fais que des rimes chapeautées
quand t’écoutes la prod, tu t’dis qu’si tu vas en enfer [?]
[refrain]
woof, woof
9~3~6 c’est brooklyn
angoisses et soucis
asb, dur de faire des sous clean
imagine les feux d’l’amour en 2018
dis~toi qu’victor newman se piquait d’brooklyn
gros, j’viens des quartiers chauds où tu fais rien à part pécho (et but)
gros, j’viens des quartiers noirs et rien à battre des lois (woof woof)
gros, j’viens des quartiers sombres, gros j’viens des quartiers sombres (woof, woof)
gros, j’viens des quartiers sombres, gros j’viens des quartiers sombres
[outro]
[?]
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