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lirik lagu lexical – psychanalyse

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couplet :

je me remets en question 7 jours par semaine
paumé dans mes songes, je trouve pas le sommeil
je le sais qu’on me déteste, je sais pas si on m’aime
rien ne me rend moins sombre, même pas le soleil
proche de toucher le fond et pas le sommet
je me bat pour ma survie tel un oiseau qui cassе son aile
je fais plus confiance, plus d’еfforts relationnels
car trop d’amitiés bancales et de tourmentes passionnelles
j’ai pourtant fait de mon mieux mais j’ai le sang chaud merde
les dommages collatéraux ne sont intentionnels
et j’m’en tape que mon parcours soit ascensionnel
j’ai rompu ces liens afin que ma route prenne un sens honnête
les uns te connaissent sans que tu te confesses
les autres te jaugent sans jamais te connaître
te jugent sur les conséquences et non le contexte
comme de faire tuer des chiens qui mordent sans cond~mner leurs cons de maître…
j’ai vu trop d’ententes devenir des compèt’
tellement d’opposants qui étaient des compères
mieux vaut être seul que mal accompagné pour complaire
on sait ce que l’on y gagne et c’est souvent bien plus que ce qu’on perd…
refrain :

de détresse, j’ai mis ma balise
pas à ma place, j’ai fait depuis tout petit ma valise
si introverti que mes cris se paralysent
c’est l’omerta, je reste muet lorsque la psy m’~n~lyse
ici~bas, c’est pire qu’un asile
je tente de m’en sortir à l’heure où les crimes se b~n~lisent
quand je divague, y’a que l’écriture qui m’c~n~lise
le mic à mon écoute, la musique en psych~n~lyse

couplet :

j’ai appris des déceptions que j’ai pu connaître
que rien ne dure telle l’éphémérité d’une comète
ruminant ce que je ne peux omettre
je vis dans l’indécision par peur d’erreurs que je pourrai re~commettre
je n’arrive plus à être concret
j’fais du surplace, suis face à un vent contraire
j’ne fais que respirer à la blu cantrell
tandis que les années filent, comme si ma vie avait le temps contre elle
je suis de ceux que peu de gens comprennent
froids en surface or c’est de l’or que nos cœurs contiennent
je pourrais faire don de moi sachant qu’on me berne
faire du bien autour de moi en attendant qu’on me crève
à la merci d’émotions qui me gangrènent
je voulais qu’on me laisse tranquille, jamais voulu qu’on me craigne
qu’on me prenne en grippe ou qu’on me contraigne
à me couper du monde plutôt que de mettre de l’eau
dans mon vin pour que ça leur convienne…
s’ils savaient les fardeaux qu’on traine
ces moments durs que l’on traverse en espérant que les ponts tiennent…
parce qu’on a le blues sans faire de gospel
dissimulant derrière des masques impénétrables nos grosses peines…
refrain :

de détresse, j’ai mis ma balise
pas à ma place, j’ai fait depuis tout petit ma valise
si introverti que mes cris se paralysent
c’est l’omerta, je reste muet lorsque la psy m’~n~lyse
ici~bas, c’est pire qu’un asile
je tente de m’en sortir à l’heure où les crimes se b~n~lisent
quand je divague, y’a que l’écriture qui m’c~n~lise
le mic à mon écoute, la musique en psych~n~lyse

couplet :

je n’ai pas le silence qu’on perce
me dévoilant seulement dans ce qu’ils ne voient que comme des bons textes
ce qui se passe dans ma tête est complexe
j’ai l’genre de plaies qu’on panse par le mental et non des compresses
ce n’est pas vers moi que les chances convergent
alors je prie le seigneur pour qu’il me protège
de ces volte~faces qui ont réduit mon cortège
à en avoir les mêmes appuis qu’un amputé sans prothèse
j’ai tellement entendu de fausses promesses
me suis tant senti abandonné comme l’ont été les prophètes
je m’égare dans le néant lorsque je me projette
ne saisit plus les opportunités qui me sont offertes
de mon ardeur, j’ai fait les obsèques
ça fait longtemps que mon sourire n’est plus à la fête
comment croquer la vie sans être dans mon assiette
ou rebrousser chemin comme on rembobine une cassette ?
je m’accroche tant que je peux le faire
dans l’attente d’un remède qui m’aiderait à me refaire
j’en ai marre de subir en laissant le sort faire
car aujourd’hui, je te parle mais demain, je serais peut~être mort frère…
refrain :

de détresse, j’ai mis ma balise
pas à ma place, j’ai fait depuis tout petit ma valise
si introverti que mes cris se paralysent
c’est l’omerta, je reste muet lorsque la psy m’~n~lyse
ici~bas, c’est pire qu’un asile
je tente de m’en sortir à l’heure où les crimes se b~n~lisent
quand je divague, y’a que l’écriture qui m’c~n~lise
le mic à mon écoute, la musique en psych~n~lyse


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