lirik lagu l’amiral r – 2 boulevard victor hugo
[intro]
give me my f~cking mxney back
wait for it, yj production
l’amiral r, ouais
[couplet 1]
caisses sur caisses, j’viens gratter ma pièce
pour pouvoir investir sur un carré mètres piece
la miss donne le go et j’me fie à la date
c’est bête, pour avancer, ils sucent des bites
ils parlent tous d’affaires
on sait qui est qui, on sait qui fait quoi
j’livrais en vespa, j’mettais tout dans mon cul
pas l’temps d’faire la fête, m’racontes pas ton vécu
le boulot toujours propre, ça j’peux t’le garantir
sois du bon côter si sati sort le calibre
tous les jours j’fais rentrer, j’peux plus ralentir
c’est quand tu les choques gros qu’ils font moins les caïds
du 18ᵉ au ze~quin, ça trimballait des caises (ouais)
j’ai fais tout ça, c’était pour gratter ma pièce (ouais)
veulent savoir combien génère ma puce ?
un p’tit indice, pas un jour où même pas j’encaisse
cet imbécile, gros s’est venté d’vant des gos
la miss donne le go, j’tape la porte, j’tombe sur tout c’qu’il faut
ils ont pas l’niveau mais ils s’perdent dans leur morts
si t’es mon re~f’, dis~moi; un par un mes défauts
avec l’opinel, gros j’en ai fait cavale
tout l’monde te connais ? normal, partout t’avales
reste au point d’départ, pendant c’temps, moi, j’avance
et pendant qu’ils dorment, j’double le bénéf’ d’la veille
avec l’opinel, gros j’en ai fait cavale
tout l’monde te connais ? normal, partout t’avales
reste au point d’départ, pendant c’temps, moi, j’avance
et pendant qu’ils dorment, j’double le bénéf’ d’la veille
j’dors sur mes deux oreilles quand j’pense à ma cachette
j’apelle le bosseur, j’dois vite le r’charger en ‘quette
j’prend ma part du gâteau, assez manger les miettes
et si j’dévoile ma pub, c’est sur moi qu’ils enquêtent (c’est mort)
même si c’est chaud, y a personne qui s’défilent
j’fais la [?], j’me déplace même plus pour les bip
t’es pas concentré, tu bosses pour l’déficit
son appart’ on l’retourne, cinq minutes, il est vide (ouais)
dans l’brisage de carreaux et la revente de caro (ouais)
poto, sois pas paro, si tout est clair on s’arrangera sur les taro’ (sur les taro’)
dans l’brisage de carreaux et la revente de caro (ouais)
poto, sois pas paro, si tout est clair on s’arrangera sur les taro’
[couplet 2]
on gère tout les puces, c’est pas qu’un bonus
si l’bosseur boss bien ? il a son bonus
veux finir en place, même plus j’me déplace
qui prendra ma place ? jamais j’suis à sec
qui prendra ma place ? jamais j’suis à sec
j’ressort d’une adresse, j’ai zéro adré’
tout pour le cash
grosse somme, compton, facom, course au cash, ça s’ra un slalome (ouais)
j’m’embrouille que pour d’l’argent
j’envoie l’tit~pe, j’fais pas d’chasse à l’homme (ouais)
tu m’vois pas traîner sur les champs comme ces zoulettes (hein ?)
si j’suis là, j’fais partir des boulettes
pour l’respect, plus d’une fois on a dû débouler
la beugeuh elle empeste quand l’pochetar j’débale (j’débale)
j’ai grandi, en peu d’personne j’fais confiance
ça ment pas d’mande à lasko, ça fait des tales
j’lui vi’~ser deux grammes, elle m’fais une confidence
concentré d’puis longtemps, gros j’ai la mental
j’ai grandi, en peu d’personne j’fais confiance
ça ment pas d’mande à lasko, ça fait des tales
j’lui vi’~ser deux grammes, elle m’fais une confidence
concentré d’puis longtemps, gros j’ai la mental
gros, y a rien à fêter
d’mande à j2, d’puis longtemps l’visage est cernée
avant d’crimer, en noir on s’est vêtu
ramène un échant’, y a personne qui va m’berner
un client connais pas l’taro’ d’la zip’
j’vais gratter mon illet~b, j’lui dis, “100e l’mme~gra”
relance sur whatsapp si tu veux ton mme~gra
pendant qu’j’retourne paname, ils s’enculent aux mégots
j’les connais, veulent me porter l’œil comme judas
mais j’suis bien attentif comme mona lisa
l’amiral, sur moi bientôt faudra miser
ces envieux parleront d’toi quand c’était la misère (la misère)
eux, c’est des flockos
la plupart ma gueule, gros sont dans l'”m’as~tu~vu ?” (ouais)
chaque jours, j’rafale la capitale
j’fais pas semblant, sûrement dans l’métro, tu m’as vu (hein ?)
eux, c’est des flockos
la plupart ma gueule, gros sont dans l'”m’as~tu~vu ?”
chaque jours, j’rafale la capitale
j’fais pas semblant, sûrement dans l’métro, tu m’as vu
pas du genre à [?] d’vant une serrure
j’casse la porte et les bijoux j’ai saisi
j’sors d’l’appart’, sur moi c’est pas des ordures
j’mets tout dans l’sac poubelle, j’sais pas si t’as saisie ?
j’ai l’instinct d’survie pour ça qu’j’dois faire des thunes
si t’écoutes, ces flockos font partir des tonnes (des tonnes)
et rien qu’ça mythone
et rien qu’ça mythone (ouais)
le temps passe trop vite, gros j’ai pas l’temps d’mir~dor
fin d’recharge en bal, gros j’récupère mon dû
dans un tier, crois~moi, y a l’trois quart qui mi’~dor
on prendra l’escalier frérot même si c’est rude
j’ai opté pour
la vente à la sauvette (sauvette)
j’ai opté pour ça
c’est du quartier qu’on voudrait se sauver
mais bon, avant tout ça, j’garde les mains dans l’sale (ouais)
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