lirik lagu l.i.o. petrodollars – immensité
[couplet 1 : l.i.o. pétrodollars]
négligé de la république mais diplômé des vices du ghetto
tes cours d’économie c’était pendant les biz de bédo
quand t’es ber-tom, tu comptais plus les centimes que les sentiments
on a poussé dans le béton c’est pour ça qu’nos cœurs sont en ciments
parano t’as la pression, juges les gens sur tes impressions
t’as les sous mais t’es en dépression, ton visage n’a plus d’expression
tout l’monde sait qu’tu mouilles le maillot, quand c’est sec c’est toi qui arrose
tu sais même plus, si ta meuf est là pour toi ou pour ton gamos
t’as déjà tout vu, tout vécu, il y’a peu d’choses que t’apprécies
quand tu regardes l’heure sur ta rolex, tu t’dis qu’le temps est précieux
c’est le remix de the wire et ton quartier c’est baltimore
mais en vérité tu t’vois ailleurs parce qu’il suffit d’une balle t’es mort
té-ma l’décor, il y a grave des morts, ça s’renvoie les balles comme fedor
quel triste sort, c’est vrai qu’c’est gore, tu t’en fous tant qu’ta montre est faite d’or
t’es là depuis le landau, au fond d’toi tu rêve de bouger
il y a plus de couteau dans ton dos que dans l’atelier d’un boucher
[refrain : dadju]
et je vous raconte mon histoire, c’est un peu comme mon mémoire
mes victoires et mes déboires, ne me demandez pas de changer
et je vous raconte mon histoire, c’est un peu comme mon mémoire
mes victoires et mes déboires, ne me demandez pas de changer
je resterai le même
malgré tous vos regards j’continuerai mon chemin
je resterai le même
gardez tous vos conseils car c’est chacun son destin
[couplet 2 : l.i.o. pétrodollars]
j’regarde en bas et j’vise le sommet donc tous les jours je n’fais que grimper
ils parlent d’argent mais en fait, il y a que leurs portes qui sont blindées
la tristesse a du charme mais quand tu souffres tout l’monde s’en fout
chez nous l’amour c’est comme une arme, ça sert qu’à tirer son coup
quand j’dis 75 c’est le 9pc, quand j’dis 92 c’est les xxx
sur le terrain il y a mes reufs stressés qui visent le salaire de mourinho
on veut des t-ss-pé plus propre qu’ayem, ramène les chiennes, dans les porshes cayennes
on lâche du biff que pour les princesses hmmmm #dodialfayed
on tourne en rond dans un carré, un peu comme les cherios
quand j’vois l’ambiance dans mon quartier j’ai l’impression d’être dans la série oz
tout c’qu’on demande c’est d’être en paix
il y a que devant dieu qu’on s’agenouille mais pour d’l’argent j’t’ai vu ramper
[refrain : dadju]
et je vous raconte mon histoire, c’est un peu comme mon mémoire
mes victoires et mes déboires, ne me demandez pas de changer
et je vous raconte mon histoire, c’est un peu comme mon mémoire
mes victoires et mes déboires, ne me demandez pas de changer
je resterai le même
malgré tous vos regards j’continuerai mon chemin
je resterai le même
gardez tous vos conseils car c’est chacun son destin
et je vous raconte mon histoire, c’est un peu comme mon mémoire
mes victoires et mes déboires, ne me demandez pas de changer
et je vous raconte mon histoire, c’est un peu comme mon mémoire
mes victoires et mes déboires, ne me demandez pas de changer
je resterai le même
malgré tous vos regards j’continuerai mon chemin
je resterai le même
gardez tous vos conseils car c’est chacun son destin
[refrain : dadju]
et je vous raconte mon histoire, c’est un peu comme mon mémoire
mes victoires et mes déboires, ne me demandez pas de changer
et je vous raconte mon histoire, c’est un peu comme mon mémoire
mes victoires et mes déboires, ne me demandez pas de changer
je resterai le même
malgré tous vos regards j’continuerai mon chemin
je resterai le même
gardez tous vos conseils car c’est chacun son destin
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