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lirik lagu l.e.f – épilogue

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[intro]
jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien…

[couplet 1]
la muse s’est envolée dans un dernier battement d’ailes
du bas de mon pavé je l’imagine danser le ciel
j’y songe encore, un pincement au coin des lèvres
me mordant le coeur comme pour me réveiller d’un rêve
moi qui m’étais endormi chaque soir dans l’espoir
pensant bêtement qu’ensemble un jour on pourrait construire une histoire
mais tout est terminé, le générique est bien lancé
sur l’écran noir s’affichent un nom d’actrice et un scénario romancé
souviens moi les premiers jours où je suis tombé sous ton charme
un charisme étrange qui prédisait quelques larmes
parti de rien, de sentiments d’abord abstraits
des impressions, des ressentis, qui se sont transformés après
souviens moi ces premiers dialogues d’un regard
restés muets quand nos pupilles se croisaient par mégarde
sans transition et sans vraiment savoir comment
viennent les premières discussions, premières soirées, premiers moments
a deux dans la vapeur d’un café, dans la fumée de sa cigarette
elle me fascine, en sa présence la vie s’arrête
plus rien ni personne ne bougeait autour de nous
elle avait ce pouvoir à me détourner de tout
je l’écoutais sourire, et la regardais parler
ou bien l’inverse, je ne sais plus, une chose est sure, c’est qu’elle me plait
ensemble, on a écouté les poètes de brel à barbara
alors j’ai bien peur qu’elle trouve ces quelques mots barbares

[refrain]
c’est l’histoire d’une histoire vraie sans histoire
c’est l’histoire dont l’histoire ne retiendra qu’un trait
c’est l’histoire d’une histoire vraie sans histoire
c’est l’histoire dont l’histoire ne retiendra qu’un soir

[couplet 2]
j’ai en souvenir chaque moment p-ssé en sa compagnie
des instants suspendus, hommage au temps qu’elle a banni
les terr-sses parisiennes deviennent des symboles pour moi
si cette ville est une fête, j’attends qu’elle danse et qu’elle tournoie
c’est fou comme le cœur peut nous mentir sur les choses
sans prévenir pique la rose et l’avenir vire au morose
je m’étais laissé embarquer, osant la tête dans les nuages
si loin de la vérité, noyé je m’éloigne du rivage
mais fallait-il vraiment croire en l’espoir et vivre dans l’attente?
épier le destin du regard, prier pour cette histoire la tente?
j’ai maudit pessimisme et réalisme qui à eux deux
m’ont fait longer les quais de la seine dans un sursaut de cœur silencieux
je lui aurais offert des perles de pluie
venues de pays où il ne pleut pas
mais plus rien à faire
c’est l’existence même de ces pays sur laquelle il pleuvra

[refrain]
c’est l’histoire d’une histoire vraie sans histoire
c’est l’histoire dont l’histoire ne retiendra qu’un trait
c’est l’histoire d’une histoire vraie sans histoire
c’est l’histoire dont l’histoire ne retiendra qu’un soir

[couplet 3]
je commence à remarquer des signes qui noircissent le tableau
j’avais compris je crois que les jours d’après ne seraient pas beaux
alors d’un lâche courage, me décidant à faire le pas
je ne lui apprends rien pourtant qu’elle ne sait déjà
un resto, une longue rue, une porte
les prémices d’une histoire morte
un dernier plongeon dans ses yeux qui perlaient je crois
avant de tourner les talons vers ce quotidien un peu plus froid
sa présence hante paris, elle est partout sans être nulle part
je l’imagine à chaque coin de rue, surtout quand l’heure se fait tard
les lieux ravivent des souvenirs, des bars, des rues, des cinémas
je baisse les yeux et si jamais je m’y faisais pas?
des bonsoirs alcoolisés à des p-ssants de bonne humeur
je donnerais tout pour les revivre, pour les redire rien qu’une heure
j’ai si peur que l’un pour l’autre on devienne des inconnus
que la vie continue comme si on avait rien vécu

[refrain]
c’est l’histoire d’une histoire vraie sans histoire
c’est l’histoire dont l’histoire ne retiendra qu’un trait
c’est l’histoire d’une histoire vraie sans histoire
c’est l’histoire dont l’histoire ne retiendra qu’un soir

[couplet 4]
le cœur en miettes, détruit, j’en ram-sse les débris
des bruits émettent les cris de la déprime comme les fruits de mon désir
débile, je les décris pensant guérir mais j’ai péri
dans les périples de la porosité des lettres de mon être
fébrile, je m’écris comment chantent les mouettes
les rires de mes ruines hantent ma tête
mes crimes se déguisent, élan de fête
les primes de mon amour n’étaient que le prix de la déception
vaine espérance qui s’est éprise d’une histoire d’illusion
je me torture de questions, des pourquoi sur l’épilogue
me contenterai d’un message, peut-être notre dernier dialogue
on ne vit pas les mêmes choses, pas de la même façon
je n’ai rien su lui apporter, que cela me serve de leçon
ni rancœur, ni rancune, juste l’ombre d’une déception
mais bon, ça va aller, le temps sait effacer les émotions
p-sser de la troisième à la deuxième personne
en vue n’un nous qui conjuguerait ce qu’espère l’homme
pas le courage de le refaire, ici c’est lâcheté qui se mêle
à la fortune pour écrire une dernière fois ce «… »


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