lirik lagu harbor & hexpir – faut qu’je tienne
hexpir:
c’quon sait faire c’est du mal
on nous regardant même les nuages pourraient verser une larme
on voulait s’installer partout
on est restés nulle part…
en voulant monter comment rester plus bas?
comment dressais tu l’tableau
comment ne régressais tu pas?
comment en être sur
va comprendre ces résultats
la commande s’exécute mal..
faut qu’je prenne sur les mesures
même sur moi…
entre blessures, ulcères
paix sur…. toi
rien de très sur
craie sur tableau, blessure
pleine lumière sur noir
la pression exercée sur les contusions
des fois les voix te secoue
et l’ombre m’éclaire c’est mieux
l’élocution baclée
faute de solution de secours
j’ai un reuf qui psychote trop
a l’évocation de l’attention qu’il porte aux siens
ou de savoir si dans ses rêves
elle pense encore à lui
et l’appelle encore son prince
yeux gonflés comme bulle d’air
l’âme l’a abandonné
a deux on peut monter aussi haut qu’le soleil
on redescend sur terre à un moment donné
j’crois que j’ai c-ssé mon phone je n’entends plus le bip
on contrôlera tout même ta présence sur les lieux
les coups du sort se retournent comme une viande sur le grill
etre deux dans sa tête n’être qu’un à la fois
l’impression de pouvoir faire à peine quelque pas
avant qu’le démon revienne et me prenne à la fin
harbor:
nos visages sans masques sont fermés et pâles
marqués par la routine d’une vie sans goût
si tu veux la quitter mon gars fais tes bails
le coffre qu’on a ouvert renfermait des balles
est-ce permis d’exister librement
est-ce permis d’exister sans chercher les mailles
est-ce permis d’exister s’ils te mentent
est-ce permis d’exister sans verser des larmes
la détresse d’une famille en se-cri
ne concernera jamais l’putain d’maire
par c’que le man est en de-spee
et qu’ya son blaze dans un bulletin d’merde
les apparences en moins on a quoi de différent…
j’crois qu’le mal est en moi j’fais la maille en l’digérant
une histoire de plus à raconter
un mec est mort hier à str-ss
victime d’une balle dans le torse…
plus rien ne l’empêchera de mon-ter
quand on vit on est stressés suivi à la trace…
comme seul sort finir blessé
qui deale à ma place si cette dernière est laissée…
j’suis au bout du tunnel j’sens la lumière m’aguicher
vais-je connaitre le sort d’une vie p-ssée à tricher…
j’suis au bout du tunnel j’sens la lumière m’aguicher
vais-je connaitre le sort d’une vie p-ssée à tricher…
sisalah:
mon cerveau reptilien est conçu pour te dire je t’aime hoe
evidemment tout c’quil veut dire par la
c’est qu’il veut ken hoe
j’suis p2 sur perturbateur endocrinien pour canner faut mettre le prix
j’oublie qu’est ce que je vis
j’oublie ou est ce que je vis
j’oublie qu’est ce que je fuis hoe
donner un sens à tout ca
c’est jeter son âme dans le piège de l’abyme hoe
comme elle à l’hôtel la nuit
comme quand j’rappais tout seul à la recherche d’ami-gos
a la recherche d’avis
ouais j’étais une merde aucun frère me l’a dit hoe
donc j’remercie le hip-hop d’être mort
en m’apprenant la vie hoe (ouais)
bat les couilles de ton avis
vu que tout dépend d’comment j’emballe le produit
après j’vais lancer les on-dit
pour mieux tirer profit de comment tu parles d’autrui (shikamaru)
me regarde pas comme ça dans les yeux
tu vas m’payer ta vingt
tu vas m’serrer la main (à plus)
bien sur qu’la vie c’est un putain d’film
spoiler tu crèves à la fin…
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