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lirik lagu fayçal – poétique singulière

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[couplet 1]
le regard abstrus, les traits obscurs, impénétrables
elle bagarre sur instru, lettrée là où tout est altérable
elle est le joueur d’échec, hagard et vulnérable
la douleur d’un cœur sec qui prend garde aux vénérables
celle de l’érable dans le ciment, elle procède sans mendicité
mais possède l’authenticité du misérable rimant
fille des algèbres, de la foudre et des diamants
elle brille dans les ténèbres pour en découdre sciemment
patiemment elle forge ses armes, octroyées dans le mutisme
elle se mutine par l’autisme, noyée sous les vacarmes
les larmes acides, la rétine toujours aux aguets
de jour, de nuit, elle divaguait, son charme est un homicide
c’est la métamorphose, le cancrelat refoulé
amorphe mes proses s’ancrent là dans sa foulée
des typhons, des houles, des pluies, elle a déboulé sous les ponts
navigué entre elle et lui, conduit la foule dans ses tréfonds
par écho elle répond, malgré les coups elle se redresse
et au fond c’est sans regret qu’à beaucoup elle s’adresse
elle s’est construite dans le néant, triste, modeste ou altruiste
elle instruit tout en créant mais déteste l’artiste

[refrain x2]
tant d’inspiration dans ma tanière sans dépérir
ont armé mes aspirations et formé ma manière d’écrire
pourtant des différences mais son éthique est régulière
tout en portant des références ma poétique est singulière

[couplet 2]
elle traîne, elle vagabonde dans un manoir avec clarté
ses dons jaillissent en aparté où le noir et le terne abondent
si elle consterne : milles pardons, ces lendemains
sont en berne sur un chemin où s’empilent des chardons
elle est les proses qui vieillissent, les vieux démons qui nous surveillent
les roses qu’ils cueillissent sur les monts de nos merveilles
hyper sensible comme stepan trofimovitch
l’homme au centre de sa cible elle le trépane avec du nietzsche
qu’elle soit crédible est un détail, entre folie et rigueur
sous le poids des entailles rien ne démolit sa vigueur
incompréhensible, parfois les entrailles qui flanchent
parfois répréhensible quand elle mitraille mes nuits blanches
elle est le prêche que l’on déclenche au teint de nos sommets
les brèches sur lesquelles on planche un matin le cœur -ssommé
c’est un lettrage sur un banc, le signe d’une humeur
le chant du cygne qui se meurt lançant un outrage probant
se jouant du monopole, elle est discrète
bijou d’une mégalopole où la bonté reste secrète
c’est la pierre qui sculpte et pense son corps rocailleux
regarde, fière elle garde ses cultes, pense encore aux aïeux

[refrain x2]


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