lirik lagu dixon – north side
seine st denis la grande…
banlieue nord…dixon…
pousse le portail
welcome dans mon northside
écoute, one shot…
ma rétine, mes tympans
mes racines, mon teint blanc
ma zic, mon carburant
mon kif, le compliment
blastar en complément
instable et trop dément
une star, un staff, jm’installe
t’en re-demandes
mes blocs, mes locaux
des glocks, des grosses fautes
des loques, des c-ssos’
des potes, des -ssos
mes flics, des shérifs
mes routes, le périph
mes doutes, mes dérives
mon ascension, mon mérite
mes halls, mes squales
mon sol, mes dalles
ma old-school de la balle
ma grosse foule dans la salle
mon chanvre, ma chambre
mon chant, ma chance
mon sang, mon temps
mon rang, ma france
la patience, l’attente depuis mathusalem
la descente, la pente pleine de ratures balèzes
la grande cl-sse, la flambe..
prend le pas à grand-pas, jn’avance pas, j’apprend
que je ne suis pas plus à l’aise
tout y est: billets violets, baraka
pas le temps de roupiller, qui a les
plus grosses maracas?
feux rouges, parcmètres
mauvaises routes, charters
le sang coule par terre
coup de karcher sur ma racaille
apparts exigus, bâtards, grandes figures
bras armés qui s’exécutent
drogue, musique s-xe et pute
légende vivante et vieille réput’
jésus et belzébuth
rester pur, c’est flingué des le début
incompréhension si tu ne p-sses pas par al’
bouffe chinoise, musique rap, rastafari
sommeil, travail, lèche-vitrine, pointeuse
semaine, embouteillage, et 88.2
coup de shl-ss du fort contre parole du faible
des barreaux, du ferme
des daronnes du bled, des rêves de duplex
j’ai la place du maitre, t’as la place du clebs
aucun ne m’a tenu tête…
dép-ss-m-nt, déplacements, p-sse-navigo
là où ça kick sagement, il n’y a pas de parigots
transporteurs, grands sportifs, et ripoux
je suis un transformers, tu es un transformiste chez michou
si la résistance s’éteignait
j’brillerai quand tu fermerais les yeux
persistance rétinienne
le succès ça donne surtout des paquets de clones
marlboro m’en veut, y’a “dixon tue” sur tout les paquets de clopes
ref. de fin:
je viens tirer mes bombes, j’n’ai pas demandé à qui je devais cirer les pompes
goldeneye arrive, veuillez admirer les pontes
appelez-moi frankenstein, je viens vider les tombes
je viens vider les comptes, je viens tirer mes bombes…x3
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