lirik lagu dante ivory – taureau d’airain
[couplet 1]
touché par la grâce des yeux
d’une femme qui me voit en mieux
d’une flamme j’me détourne des dieux
couché sur oort, anxieux
y’a pas d’bien, de mal (non)
tout est nuancé selon l’point d’vue
j’crible tout de balles
histoire d’être sûr qu’on m’laisse pas en “vu”
elle est partie en courant quand j’ai disséqué mon cœur
j’avais la satire aux commandes quand j’ai dit c’était trompeur
j’pars à l’assaut d’sa forteresse avec un classique
j’vais la libérer à coups d’caressеs de sa cage thoracique
lе plus fou dans l’histoire, c’est qu’on a pas d’histoire
j’ai des trous dans l’espoir mais bébé, j’te laisse croire
j’dis qu’j’peux tout encaisser, donc ça reste de ma faute
on n’cesse de s’empresser de s’blâmer de la sorte
qui tu crois berner avec tes airs de grandeur ? (qui ?)
tu vas t’égarer dans un désert de rancœur (oui)
solo toute l’année, j’ai créé mon esprit vengeur
c’est mieux qu’de m’concentrer pour qu’on respire en cœur
un cœur désarticulé qui a besoin d’rééducation
des paroles acidulées, toujours en cours de mutation
personne n’est particulier, même affublé d’une passion
j’ai besoin d’articuler pour commencer l’épuration
[refrain]
pour moi l’amour c’est rien, la réussite c’est tout
mais quand je plonge dans tes reins, toutes ses musiques s’étouffent
toute l’armée sur l’terrain, j’mets d’l’ivoire sur les tours
j’suis dans l’taureau d’airain, mes cris lucides s’étouffent
pour moi l’amour c’est rien, la réussite c’est tout
mais quand je plonge dans tes reins, toutes ses musiques s’étouffent
toute l’armée sur l’terrain, j’mets d’l’ivoire sur les tours
j’suis dans l’taureau d’airain, mes cris lucides s’étouffent
j’ai cru en l’amour pendant deux minutes (deux minutes)
le necro’ ouvert à la page quarante~deux (quarante~deux)
plus j’lui fais la cour, plus ça diminue (diminue)
le sens de la vie, ça nous sépare en deux
j’ai cru en l’amour pendant deux minutes (deux minutes)
le necro’ ouvert à la page quarante~deux (quarante~deux)
plus j’lui fais la cour, plus ça diminue (diminue)
le sens de la vie, ça nous sépare en deux
[couplet 2]
(en deux)
(yeah)
(en deux)
(yeah)
(en deux, en deux)
(ok)
tout pour la cause, jusqu’à la mort au valhalla
prépare la dose, mais tout d’abord le havana
quand c’est l’moment d’faire le bilan
j’écris roman dans le silence
le bon moment n’arrive jamais
mais comment tuer ce goût amer ?
j’passe sur le billard, ratez pas l’premier coup (pas l’premier coup)
j’passe pour un fuyard, quand j’m’éloigne par dégoût (‘loigne par dégoût)
j’maîtrise la prise de tête, j’effrite pas d’sh~t en fait
l’air triste, j’suis trouble~fête, j’l’ai prise sans tête à tête
j’me rappelle plus d’la pureté, égarée dans l’disque dur (dans l’disque dur)
j’vais enlever le cran d’sureté, en attendant, j’fixe le mur
j’passe sous l’scalpel, j’m’élève en rappel
de cthulhu l’appel, mais moi j’attends qu’val tel’ (val tel’)
jalousie, jalousie, c’est la guerre sûre
suffit qu’tu t’accroches pour un aperçu (hey)
et ta peur d’être seul à l’air crue (crue)
arrête de mener l’enquête comme hercule
j’suis un artefact, doté d’intelligence artificielle
et y’a qu’ma conscience qui se proclame officielle
suis~je programmé ? j’suis dans l’questionnement
y’a quoi après ? j’veux le raisonnement (yeah)
[refrain]
pour moi l’amour c’est rien, la réussite c’est tout
mais quand je plonge dans tes reins, toutes ses musiques s’étouffent
toute l’armée sur l’terrain, j’mets d’l’ivoire sur les tours
j’suis dans l’taureau d’airain, mes cris lucides s’étouffent
pour moi l’amour c’est rien, la réussite c’est tout
mais quand je plonge dans tes reins, toutes ses musiques s’étouffent
toute l’armée sur l’terrain, j’mets d’l’ivoire sur les tours
j’suis dans l’taureau d’airain, mes cris lucides s’étouffent
j’ai cru en l’amour pendant deux minutes (deux minutes)
le necro’ ouvert à la page quarante~deux (quarante~deux)
plus j’lui fais la cour, plus ça diminue (diminue)
le sens de la vie, ça nous sépare en deux
j’ai cru en l’amour pendant deux minutes (deux minutes)
le necro’ ouvert à la page quarante~deux (quarante~deux)
plus j’lui fais la cour, plus ça diminue (diminue)
le sens de la vie, ça nous sépare en deux
[couplet 3]
(yeah)
(en deux, en deux)
faudra plus qu’un texte, pour que j’écrive avec tes larmes
j’veux pas d’un casse~tête, les yeux dans le reflet des lames
on s’était mal compris mais (mal compris)
l’embrouille c’est ton comprimé (je le sais)
on est liés par nos pulsions (liés par nos pulsions)
l’amour n’y est pas, c’est d’la passion
la chute sera plus vertigineuse (oh ouais)
mes rêves troublés par des visiteuses
voit c’qu’on a fait :
on a tellement pris l’habitude de se dire au revoir (dire au revoir)
mais à la seconde d’après
on est déjà en train de planifier quand on va s’voir (quand on va s’voir)
j’veux qu’on arrête là (j’veux qu’on arrête là)
je me respecte plus (je me respecte plus)
j’ai besoin d’air pur (j’ai besoin d’air pur)
et t’as besoin que d’toi (et t’as besoin que d’toi, je le sais)
c’est dans ce contexte, qu’on s’test et qu’on s’vexe
prend la grosse tête et on s~xe
mais la vérité c’est
qu’on est pas prêts c’est
qu’on est juste pressés
de se blesser
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