lirik.web.id
a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

lirik lagu bastard prod – basse-cour

Loading...

[couplet 1: furax]
puisqu’on déclare forfait quand les braves morflent
qu’on les brade morts frere
qu’on tait en vérité ce qu’un porc fait dans les bras de morphée
puisqu’il faut du gras pour nourrir l’homme d’où la mare à canard
puisque l’on regarde mourir l’autre là où la mara canarde
on fait des gosses avec des crosses, des cerveaux d’poules
précoce en entrée des grosses et en dessert votre poudre
blague pas, ça dit, ça braque, taffer? là j’arrête !
la c-ke t’as fait du crack, gars la bac t’as fait la charrette
à la barre t’aimerais qu’elle te parle allongé dans un jus
quelque part c’est qu’il y avait quelques balles à loger dans un juge
ras la barbe, on connait l’code c’est raide
t’en veux des cordes serrées ?
est-ce qu’un suicidaire se donne la mort dans le décor d’ses rêves ?
vise la vie, c’est bagarre, homme fidèle ou pas
l’église attendit ses brebis, ma daronne fit des loups pâles
l’glacier fait des ânes et des jeux, dans les bois dansent à plein
l’acier fait des armes et des jeunes dans des boites en sapin

[couplet 2: sendo]
le motif je m’en cogne si ce truc motive les autres
maudits les hommes se tuent encore, en cause, stup mots dits et zone
super banco sur le pel, tune mobile et somme les surprennent
dupe, morbide est le sort du superbe enclos
amer est ce lait, les lèvres perdent l’accent, péra :
la mère esseulé l’élève, le père absent paiera
ça sent le pérave, oui, les soucis que le foot enlève
en p-ssant le pétard de weed où six le foutent en l’air
les fous t’emmènent en visite, asile et b-sse cour
la zik est b-sse ce couz sans physique r-ssis les c-sse-cous
y a pas de flics, de courses, de films deux pieds chez satan
ses pattes fines recousent les fils, le piège les attend
les années de parloir, y a pas de lois à part les nôtres
je lézarde les parois, parle, bois re-parle et note :
les pertes et leurs désordres ramènent où tous les crayons
répètent, à l’heure des soldes y a de la haine dans tous les rayons

[refrain] x2
cours
t’es dans l’imp-sse, cours, respire
t’es dans la b-sse cour, est-ce pire ?
là où y’a pas d’secours, b-sse, cube
bienvenue dans la b-sse cour, bascule

[couplet 3: 10vers]
entend-les ils veulent du propre, hallal
du biff et de gros kamaz
cours, t’es dans la b-sse cour
tu piges la où les porcs s’pavanent
entre comme un loup dans la bergerie
entre fiction supercherie
couz, respire
matte, les pigeons p-ssent du coq à l’âne
ils veulent tous courir, mais tiennent à peine debout
pour eux l’homme n’est jugeable qu’à sa paire de couille, sa frappe, son gros panache
que les khos s’alarment quand les autres sèment leur graine de doute
on n’a plus qu’nos rêves, nos pattes dans la merde, nos haleine de bouc
tous voraces, à parler de garce et d’ténèbres, se barrer de ces terres
imagine un saltimbanque l-ssé d’ses rêves
de son perchoir, le corbeau guette, peu d’place au félin
tout s’inverse, le cordon pète, la volaille charge les fennecs
ils voudraient que la galerie se divertisse, qu’elle bouffe toutes ces âneries
essaient faire de nous, en vain, de très bons élèves de la patrie
bienvenue dans la b-sse cour;[ respire, respire,] bienvenue là où les gens comme nous, s’élèvent en batterie

[couplet 4 : abrazif]
c’est rien qu’des rimes, un beat qui frappe quand la b-sse tourne
rien d’terrible ou honorable, qui fera le coq de la b-sse cour?
on sait qui nourrit les porcs et qui l’etat prend pour allié
qui vient enfoncer les portes ou faire les dindes au poulailler
supplie, bon qu’à subir les vaches à lait naissent à l’étable
ça tu piges, toujours surpris du peu d’savoir qu’les ânes étalent
les années p-ssent mais l’état stagne, alors j’noircis ferme le drapeau
avec des traces de metastases, j’donnerai pas si cher de sa peau
un troupeau bon qu’à bêler, peu savant d’avoir son du
ils t’enverront pour l’abattoir mais pas avant t’avoir tondu
imbécile, quoi ! t’as cru qu’ils t’nourrissent par bonté ?
fournissent grain et marre à vie pour qu’tu la p-sse à barboter ?
t’es pas ravi d’la commission, tes convictions repartent à vide
ils t’abattront sans conditions, sans meme savoir quel mal t’habites
des pigeons n’feront pas la diff, j’parle à vif de nos blessures
besoin de loups armés d’conscience plutôt qu’un tas d’agneaux déçus

[refrain] x2


Lirik lagu lainnya:

LIRIK YANG LAGI HITS MINGGU INI

Loading...