lirik lagu bao hunter – apollonie
tu es une douce créature à la peau rose
mais j’ai peur que tu me voiles la face, j’adopte une att-tude morose
en attendant la détérioration du tissu comme l’ostéoporose
mon âme à genoux, une fleure qui s’éclorent aux roses
en ce matin d’hiver j’me réveille dès l’aurore apeuré de cette nuit d’horreur
j’ai encore rêvé d’elle, putains
je comprend pas pourquoi
la seule que je trouve réellement belle
mais elle m’a déçu alors j’voulais plus la voir
je pense que mon cerveau et mon coeur collabore pour une fois
mais l’âme à bien grandi depuis la dernière fois
l’expérience d’un réel amour se fait par les yeux d’un enfant
et les miens par sa faute ont subit un grandiss-m-nt retentissant
j’en ai marre de cette vie de tiraillement entre volonté et désir
il me suffit de pensée à son prénom pour faire monter la p-ssion et ses délires
si je lui parles je ne pense plus
j’aimerais qu’elle ne m’ait jamais déçue putains
je te hais mais j’aimais ta voix décousue
son comportement est plus décevant que son physique
quitté son mec parce qu’ils se sont tous les deux trompés c’est ironique, c’est hypocrite
je fais toujours semblant de pas l’avoir vu
un manque quand je pense de pas l’avoir eu, telle qu’elle était réellement, une fille en manque qui se ment, une belliqueuse
j’ai bien fait d’éviter son amour de menthe religieuse
t’étais une douce créature à la peau rose
est-ce un changement réversible ces émotions nécrosée
tes os fragiles c’est les effets de l’arthrose
j’aurais dû comprendre qu’une fille à papa comme toi était triste et névrosée
alors parfois nos regards se croisent et un sourire apparaît
je ne sais pas comment le prendre, je ne sais pas s’il est vrai
j’écris pour que les souvenirs restent et que les sentiments s’apaisent
douce et rude intensité en moi
comme de l’animosité et de l’émoi
les humains ont cette connexion parfois entre eux, comme un réseau sans fil infini. aidez-moi
j’aimerai vivre loin d’ici pour t’oublier mais les pensées ont le mot de p-sse de ton wi-fi à jamais
comme relie à toi par le dénie je te supplie de me délier
alors c’est à toi de t’en aller, oui file comme huit quille après un spare, comme une fille qui n’-ssume pas sa gueule
quoi moi violent ? qui est le plus destructeur entre le bourreau et le juge ?
toi violente comme une pluie acide sur mes sentiments de garçon pur
quoiqu’il advienne, il y en aura forcément un de nous deux qui purgera sa peine
putains c’est fou j’arrive à ressentir ton mal-être malgré ton sourire de façade
sûrement pour ça que j’ai du mal à te mépriser, épris de ton mal étrange et vicieux
un peu comme toi en fait, tu es narquoise et pernicieuse
j’appréhende la prochaine comme une guerre intérieur de plus
le plus drôle dans cette histoire, c’est que de ce que tu ressens je ne sais rien, je sais plus
tu fus une douce créature à la peau rose
j’espère pas un phénix d’or, osera-tu ?
tu te noies dans des vins rosées
t’as de l’oseille alors t’aimes bien t’arroser
t’as pas juste changé, t’es différente c’est une métamorphose et
le problème avec toi c’est qu’on peut pas l’affronter de face
obliger de me distraire par des filles avec moins de fonds dans l’âme que sur la face
je t’avais demander de plus me parler, mais t’as refusé
comme pour montrer que l’électron libre que tu étais ne pouvait et ne pourra jamais être contrôlé
résigné à mettre un filtre sur mes yeux pour me laisser faire
réussis à ressentir deux filles après toi mais fallait que t’interfères
mais c’est déjà ça
maintenant je sais que j’en suis capable
capable d’aimer après ça, après toi
abrite toi des débris de ton bras broyé, des bribes de nous en bas ages avant ton br-ssage ébranlant tout sentiment sur son p-ssage. tu m’irrites mais tu m’attires et tu mérites des baffes de ma part et par ta faute je finirais en martyre quand t’auras tiré ton coup, tire toi, tu m’attises tu tues toute logique qui claque la porte du coeur alors cours car si je te trouve je te coupe en quatre quart. adieu à ce couple à 4 pattes, ton aisance m’épates. bien joué t’as gâché ma journée comme une pluie ép-rs-. sale garce
une douce créature à la peau rose
irritante une sculpture qui défleurie le cosmos
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