lirik lagu b.b. jacques – une impression de déjà-vu
[paroles de “une impression de déjà~vu”, de b.b. jacques]
[refrain]
chacun sur sa route, mon bébé tout s’perd
elle reconnait pas son keumé après douze tehs
j’additionne les totaux, j’les vois s’soustraire
présumé innocent mais entouré d’bougzers suspects
j’arme, je vise, j’ai plus qu’à ajuster
j’arme, je vise, j’ai plus qu’à ajuster
[couplet 1]
avec le temps les [?] s’gentrifient
c’est plus facile d’quitter une salope qu’une gentille fille
j’me pose des questions, pas les bonnes
quand est~ce qu’on me sanctifie
quand j’ai besoin d’me retrouver seul
tu m’crois avec 110 filles
reste, bébé, j’anticipe
j’crois qu’tu connais pas bien les gens d’ici
c’est pas ma faute bébé si j’anticipe
j’voulais pas m’égosiller
vas~y c’est payé bébé j’ai pas négocié
j’voulais pas m’égosiller
vas~y c’est payé bébé j’ai pas négocié
j’m’exécute j’vous laisse podcaster
j’déguste c’que t’as fantasmé
loin des gus’ et des grandes tass~pé
on ira demander à [jean~marie grande race~ra?]
désolé bébé j’ai fait une grande crasserie
j’aurais du blanchir moula dans une bonne brasserie
donc t’étonne pas si
désolé bébé j’ai fais une grande crasserie
j’suis fatigué, oui j’suis usé par ça
dans une larme de sky les [?] de tabac s’parsèment
on plit mais on rompt pas
gère l’équipe comme arsène (hey)
si j’le fais, j’le fais comme personne
une histoire commence quand une autre s’achève
j’écris romance en attendant qu’la nôtre s’achève
vivre heureux dans une pauvre cachète
des souvenirs sur une pauvre cassette
des souvenirs après des vodka secs
j’vois, s’accumuler fautes par tonnes
mais est~ce que les tords s’pardonnent
uniquement quand les tords s’partagent ?
la route mène ni à rome ni à carthage
est~ce que les tords s’pardonnent
uniquement quand les tords s’partagent ?
la route mène ni à rome ni à carthage
la route mène ni à rome ni à carthage
si on trinquait, aux femmes qu’on est incapable de ret’nir
pourtant, on avait l’temps
on aurait pu mettre un pied à rome, un autre à genève
j’dois être un sacré enculé pour les perdre ça~comme
hey
veulent connaître la vérité qu’on cache à tous
mais les bâtons dans mes roues ne m’ont pas freiné mais m’ont boosté
mystère et discrétion pendant qu’le [?] agit en loucedé
quand tu sais pas [?] un jour tu t’rends compte que tout c’paye
[refrain]
chacun sur sa route, mon bébé tout s’perd
elle reconnait pas son keumé après douze tehs
j’additionne les totaux, j’les vois s’soustraire
présumé innocent mais entouré d’bougzers suspects
j’arme, je vise, j’ai plus qu’à ajuster
j’arme, je vise, j’ai plus qu’à ajuster
j’arme, je vise, j’ai plus qu’à ajuster
j’arme, je vise, j’ai plus qu’à ajuster
[couplet 2]
hey
si j’le fais, j’le fais comme personne
serré comme un café, comme un poing
serré comme un lacet, comme un joint
c’est pas par ici que j’vais casser l’tête
j’ai quitté la té~ci, j’ai lâché l'[peu de?]
serré comme un café, comme un poing
serré comme un lacet, comme un joint
c’est pas par ici que j’vais casser l’tête
j’ai quitté la té~ci, j’ai lâché l'[peu de?]
serré comme un café, comme un poing
serré comme un lacet, comme un joint
c’est pas par ici que j’vais casser l’tête
j’ai quitté la té~ci, j’ai lâché l'[peu de?]
serré comme un café, comme un poing
serré comme un lacet, comme un joint
c’est pas par ici que j’vais casser l’tête
j’ai quitté la té~ci, j’ai lâché l'[peu de?]
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