lirik lagu abdelos – eider
[couplet 1 : abdelos]
ecoute c’est de la peu-fra
ça rentre en même temps que la selha
t’as aimé la baise la miss y a pas de quoi
j’te kène même si au-dessus y a pas de toit
bouffe ses morts l’etat, le gouvernement
y a celui qui gouverne et celui qui ment
celui qu’au djihad meurt dignement
malheureus-m-nt celui qui se pend
te prends pas pour un ouf parce que tu vends
je prends les h-ssanates et je prends l’argent
quand j’arrive sur le terrain ça fait du vent
je me mets à l’aise comme sur le divan
ils m’ont pas cherché, je suis un survivant
j’essaie de rester un bon vivant
pour les ignorants le temps c’est de l’argent
au contraire le temps c’est de la prière
pour ça qu’on vit la même chose qu’hier
le temps p-sse trop vite car il est éphémère
je me rappelle encore l’époque de la primaire
quand j’habitait dans le vieux immeuble du baller
y avait des que-tur, des rab-zas, de be-ser
des gitans français avec la galère
quartier haut les mains et pas de putain
on te laisse rien et on prend le butin
meilleurs ients-cli c’est ceux des patelins
driving le parking était plein
je faisais ma journée juste le matin
en engin, runner 180
toujours de la be-bom l’appat du gain
un bordel plus que les quartiers voisins
hôpital psychiatrique que des zinzins
la plupart sont personnes, se prennent pour quelqu’un (vous là)
[refrain : abdelos]
je prends le ‘tos et je fais des bombonnes
xxx
je la mélange et puis je la donne
je la prépare et change les donnes
je prends le ‘tos et je le charbonne
je prends le ‘tos et je le charbonne
je prends le ‘tos et je le charbonne
viens au n.h.f. et tu auras de la bonne
au baller ça bosse
au suma ça bosse
a la demi ça bosse
a la lyautey ça bosse
au polygone ça bosse
a la eyzie ça bosse
même l’etat français a remarqué qu’au neuhof ça bosse
[couplet 2 : abdelos]
nous on n’est pas des tyrans
ça p-sse par les kurdes ou ça vient d’iran (rage! rage!)
on a eu des exemples (oé oé)
les anciens sont tombés dedans (vous là)
ils savaient pas ce que c’était
la douleur, le manque et les effets
nous on préférait la bicrav’ que la sniffer
tous les jours au comé que des méfaits
un dans le cinq, la comé on est refait
1000€ par jour, je suis pas satisfait
c’est avec des miettes que tu te fais du bifton
plus grand animal, story de plancton
parti de rien tu deviens un patron
des cargaisons
ça charge les ballons
compte sur personne même si t’as pas le bras long
que des personnels, ça p-sse pas le ballon
on se faisait balance par des ients-cli
maintenant c’est devenu les leurs-dea
les chisseurs, ils ont peur de la son-pri
des jaloux, au fond d’eux c’est des pourris
ils se pouc’ pouc’ pour un pet-t illet-bi
mon quartier se vide, la prison se remplit
arrête de te prendre pour je sais pas qui
je te ramène la xxx
la se-ba d’hollande ou de turquie
j’ai appris à lire entre les lignes
comme un sourd qui mime les signes
pour moi c’est devenu la routine
ça vendait tout ce qui se termine par “-ine”
pendant qu’ils dirigent le monde
exploitent le monde
travaillent avec les xxx
tout le temps tuant les mouslims
[refrain : abdelos]
[couplet 3 : abdelos]
quartier haut les mains et pas de putain
on te laisse rien et on prend le butin
meilleurs ients-cli c’est ceux des patelins
driving parking était plein
je faisais ma journée juste le matin
en engin, runner 180
toujours de la be-bom l’appat du gain
un bordel plus que les quartiers voisins
[refrain : abdelos]
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