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lirik lagu zkr - freestyle 5 min #0

[paroles de “freestyle 5 min #0”]

[intro]
[deux minutes ?] zéro, j’les convoque au bureau
usual suspect, la tête dans la pochette
[z.k, deux] fois les red bricks
va voir un peu que j’t’explique

[couplet unique]
nouveau roubaix, on va s’refaire en moins d’deux, passé lourd à porter comme la b22
j’suis d’l’époque du v6 cat et du r32, s’il y a poursuite, direction la e42
j’vendais tout type de gue~dro, j’fais tout type de rap, j’fais plein d’dérapages comme cantona
j’écoute les avis mais personne n’dictera, en tеrmes d’écriture, j’ai p’t~être un doctorat
la ruе, c’est rasoir mais c’est pas wilkinson, ça tend la main avec la parkinson
y a plein d’comédiens comme atkinson, j’les additionne, non, y a pas d’p’tites sommes
ascenseur social, on est bloqués dans les sas, téléphone de schlag, on les jette quand on les sème
j’veux rentabiliser, j’veux pas perdre mon temps, j’me revois devant l’bloc avec mon capri~sun
on était bien cons quand on était plus jeunes, même pour voler des [?], on aurait pris l’gun
c’est une thérapie, j’évacue par écrit et ça fait un récit, qu’aime ceux qu’ils veulent
des fois, j’suis vif, des fois, j’suis un trou d’balle, quand j’ai envie de plaire, j’mets une paire à mille balles
mental de rital aux ch’veux gominés, ça sent l’hôpital quand t’es nominé
on joue aux dominos, nés pour dominer, les petits te livrent plus vite que domino’s
ils m’font les [?], c’est des pierre niney, gignol, je suis de retour, la fête est terminée, j’vais exterminer
le dos lourd à vie, j’ai pas pris qu’une te~tar, c’est plus du rap, c’est de la torture
on est tous un peu des bâtards, ouais, on est tous un peu des ordures
on sort du bâtiment, on a dû s’adapter comme leão à milan
à deux cents, j’roule un pilon, c’est mon g’nou qui tient le volant, j’repense aux peines du passé en rigolant
les murs ont des oreilles mais pas d’isolant, on a retrouvé la flamme en s’immolant
tous les jours sont similaires, faut qu’j’me casse à [?], pas pour faire un séminaire
l’opj fait ses enquêtes car le shlag fait ses emplettes, le vent tourne grâce à la tempête
pourquoi y en a toujours un qui fait la pipelette ? pourquoi y en a toujours un qui fait la trompette ?
à chacun son destin, on fait pas la compét’
d’où j’viens, y en a plein qu’on faim, il y en a plein qu’on plaint, enfin, j’suis serein, j’ai la panoplie complète
[j’mets des piqures ?], ma poche fait de la gonflette, pour [rassurer/assurer ?] mes proches, j’joue d’la flûte
il suffit que je rappe pour que ça d’vienne culte. c’est bien, t’as changé, mais tu restes une pute
j’n’écoute que mon père, il est fier de le voir, mouillé jusqu’au cou, c’est pas qu’la tasse qu’on va boire
j’ai des bouches à nourrir, j’augmente les honoraires, on arrive, on se serre, haut les mains et au revoir, eh
s’il y a des quiches, on est chiches, c’est l’star system, ils ont chargé leur pif
j’suis pas influenceur, j’vais pas snapper ma mif’, regarde c’qu’on a fait, imagine si on triche
qu’est~ce t’as ? nouveau roubaix, usual suspect, all road prod, y a du [poisson/poison ?] dans mon bifteck
troisième album, j’passe un step après la mixtape, au tieks, s’il n’y a pas de minimum [?]
mon pavé, c’est pas proctor, mon comptable, c’est pas marty
on vient me parler d’offshore, d’montages pour amortir, les bacqueux jouent les cerbère, la juge nous décortique
on ferait mieux d’se taire, ils jouent sur les mots, j’jure plus sur ma mère, j’ai peur du résultat, t’es tombé sur la tête
pour t’lever un jour et croire qu’j’ai peur de toi, on anticipe, on s’arme
en [?], la bombonne est vide, ils sont passés trop tard (tard)
avec mon nom ou ma tête, j’suis tricard, fallait m’aider quand j’étais sur l’brancard
défie pas, faut marcher nichen, ferme bien ta veste, la vie est remplie de tests
y a des jours, j’ai la même poisse qu’harry kane ou [?], on fera pas le fond des caisses
les vautours charognent quand la dinde est farcie. la vie est plus belle sous ma paire de cartier
mettre en place à la haine quand l’amour est parti. ma ville rime avec criminalité, harki et talent gâché
sur les moyens, lésine pas, c’est démodé d’avoir le corps de kim k
des mots durs font des textes délicats, ferme ta gueule vu que personne t’le dira, à ta place j’aurais honte
cinq minutes zéro, j’les convoque au bureau, j’me ressource à [?]
pourquoi le faire un autre jour ? fais sauter la serrure, y a plein d’issues derrière la porte
on verra si mon cœur est conquis
y a encore des endroits (y en a plein) où j’suis mal vu, même habillé en jean
la rue t’a promis monts et merveilles, la rumeur fait du bruit
dans les parages, du coup, on s’occupe d’la bouche de [vieille ?]
rajoute encore une couche d’oseille, attention vérifie ça
jalousie paralyse, aller~retour en fissa, la vie d’artiste
la dernière fois, tu m’manquais mais j’te parle plus, parle plus [débat ?]
à cœur ouvert, usual suspect, la tête à la cover, fait peur aux hautes sphères, le bruit, les odeurs
ça dérangeait pas quand il fallait trouver des bosseurs ou des soldats
dois~je être le gardien d’mon frère si c’est un mathias pogba ? chacun son combat, qui s’ressemble s’assemble mais attire son contraire
on veut la source pour sauter l’intermédiaire, dans mon dos, ils m’appellent par des termes odieux
cinq minutes de rap sans refrain mélodieux, il pleut des balles, j’mets vista imperméable
un jour, ça coince, on n’est pas malléables (pas malléables)
ma chute fera peu d’malheureux (peu d’malheureux)
on veut tous un train d’vie chaleureux et agréable
[outro]
qu’est~ce qui ramène pas d’souci ? qu’est~ce qui ramène pas d’suceurs aussi ?
t’as même pas besoin de percer
nouveau roubais, nouveau roubaix, gros
usual suspect, la tête dans la pochette
[z.k, deux] fois les red bricks

- lirik lagu zkr

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