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lirik lagu vii - appartement 42

ils vont venir te chercher barbara…

[couplet 1]
cette saveur malsaine, ma folie me l’apporte
des carc-sses humaines sur le palier de ma porte
quand la nuit tombe, je transporte des corps
je redécore ma chambre, j’ai vidé ta tombe
je t’attends ce soir, j’ai sorti l’argenterie
dans ce bar selon toi, moi j’avais l’air gentil
et tu sonnes, je pense, entre si tu l’oses
tu as l’air d’une conne avec ton bouquet de roses
le couloir de l’entrée n’est pas éclairé
mais l’odeur de charogne a de quoi t’écœurer
tu tâtonnes, tu t’inquiètes, tu atteins le séjour
abandonne si tu sens que c’est ici que se finiront tes jours
je jouis de ta peur, j’allume une bougie
tu tutoies ton malheur, je vois tes joues rougir
tu paniques aussitôt suspendue à des chaînes
les membres d’une chienne choquée par ma déco
tu vas finir comme elle, continue de brailler
si ta chaire je conserve, tes os seront broyés
exposée en vitrine, il me faudra ta tête
explosée par le fémur de ma dernière victime

[refrain]
appartement 42, je t’emmure vivant
tu seras le suivant à voir le mal dans mes yeux
entre dans la géhenne, je rabats le verrou
j’ai le salon d’ed gein et la chambre à dutroux
appartement 42, je t’emmure vivant
tu seras le suivant à voir le mal dans mes yeux
des éclats de sang sur des murs déchirés
j’ai le vice de la cave des époux fourniret

[couplet 2]
tu reprends tes esprits, un crochet dans chaque sein
je n’entends plus tes cris, penché sur mon clavecin
des cierges sur des crânes, et moi je suis vêtu
d’un étrange manteau cousue de bonnes femmes
et du bout de mes doigts, je te joue ce morceau
le fous n’existent pas que dans hostel ou dans saw
tu lévites et tu danses, ta poitrine se déchire
tu t’écroules au sol, tu rampes et tu gémis
je m’empare d’une scie, te tranche le biceps
indocile imbécile, tu seras mon bifteck
les soirs de shabbat au service du malin
je te découpe en six et chante en italien
ton corps mutilé à la fin de la messe
tes organes j’éparpille aux quatre coins de la pièce
tu seras ma juliette, je te ferai la cours
j’ai conservé ta tête, je lui ferai l’amour
l’odeur de tes entrailles excite mes hormones
notre histoire commence dans la mort et le formol
offert à ma folie, je savoure ce feeling
j’ai scellé notre union dans la nécrophilie

[refrain]

- lirik lagu vii

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