lirik lagu vald - spirale
[intro]
vous êtes-vous déjà demandé pourquoi y avait-il tant de pédophiles en politique ?
et vous êtes-vous déjà demandé quand est-c’que vous allez enfin changer ?
[couplet 1]
souvent j’me pose des questions, si j’ai les réponses est-ce qu’on
peut changer les versions que j’puisse rester dans l’aversion ?
la ske-kon bouffe des p-sse-temps, ça m’fait tousser moins d’afghan
alors, c’est décidé : j’arrêterai bien quand j’aurais pas l’temps
l’attente change rien, j’ai toujours la chance en latence
j’fais semblant d’me prendre en main, m’sentant si bien dans mon absence
ça m’donne un aspect terre-à-terre d’avoir des problèmes et rien faire
de voir que tout va bien mais faire semblant qu’c’est l’inverse
ok, c’est p’t-être vraiment la merde mais tout dépend du point d’vue
les joints m’font les yeux doux, c’est rude au mic au moins j’tue
ma mère regrette mon bac plus, le sentiment d’être une raclure
j’abuse à vu d’la rue, j’avoue ça tue, j’ai bu trois futs
elle m’dit qu’j’suis plus l’génie d’avant, j’m’en bats les steaks évidemment
pour pas y penser, j’fais un tour dans l’tiroir des médicaments
parce que j’reviens sur mes pas, j’me contredis
frelon, j’me r-ssure des fois, mais qu’on se le dise, non, vous ne m’capturerez pas
[refrain]
et même à tort, sans rancœur, j’me laisserai couler encore
encore une cuite, un cône grillé, j’m’en fous des renforts
personne à bord, j’me noie dans les mirages et m’emporte
dans les spirales de l’amph0r-, j’arrive à zoner sans force
et même à tort, sans rancœur, j’me laisserai couler encore
encore une cuite, un cône grillé, j’m’en fous des renforts
personne à bord, j’me noie dans les mirages et m’emporte
dans les spirales de l’amph0r-, j’arrive à zoner sans force
[couplet 2]
j’ai beau sortir la tête de l’eau, c’est fou, j’replonge à chaque fois
j’regrette mes anciennes prises de tête, c’est flou l’époque des clac-doigt
ça fait trois fois dans la même minute que j’guette mon tél’
que j’délaisse mon frère, putain restons zen, c’est cette cruche à veston vert
et qu’est-ce qu’on fait maintenant ?
j’dirais qu’on s’perd et qu’on s’permet d’entendre : “mec, ton sperme est d’enfer”
alors j’avais juré que j’serais un bâtard malgré les sentiments
mais j’ai l’air b-n-l, affecté par l’affection
ambiante et tant pis si l’envie d’bambi m’enlise en vinant
dans l’divan : mes histoires ennuyeuses deviennent enivrantes
tranquillement, j’comprends quand j’ai tout, j’me l-sse
mais j’m’en fous, je m’bats, j’écarte toute menace, faut qu’ils me f-sse des ‘touse de [?]
on r’fait les mêmes choses : mêmes doses, même gros ter
même avec le temps, j’fais les mêmes erreurs d’vant les mêmes problèmes
parce que j’reviens sur mes pas, j’me contredis
frelon, j’me r-ssure des fois, mais qu’on se le dise, non, vous ne m’capturerez pas
[refrain]
et même à tort, sans rancœur, j’me laisserai couler encore
encore une cuite, un cône grillé, j’m’en fous des renforts
personne à bord, j’me noie dans les mirages et m’emporte
dans les spirales de l’amph0r-, j’arrive à zoner sans force
et même à tort, sans rancœur, j’me laisserai couler encore
encore une cuite, un cône grillé, j’m’en fous des renforts
personne à bord, j’me noie dans les mirages et m’emporte
dans les spirales de l’amph0r-, j’arrive à zoner sans force
[pont]
j’tourne en rond, m’enfonce en vain dans un trou sans fond
j’tourne en rond, m’enfonce en vain dans un trou sans fond
j’tourne en rond, m’enfonce en vain dans un trou sans fond
j’tourne en rond, m’enfonce en vain dans un trou sans fond
[couplet 3]
ok, j’tourne en rond, m’enfonce en vain dans un trou sans fond
j’écoute sans l’son les conseils des autres qui seraient rien sans nous
j’sais qu’on s’embrouille, pour s’réconcilier avant qu’on r’parte en couille
et j’pète une clope, fier de moi : v.a.l.d. bête de drogue
allez hop, mes résolutions sont des anecdotes
parlez-moi d’progrès, j’m’en bats tellement les yeuks que ça résonne
putain, ça fait un bail que j’t’avais pas vu l’ami, j’avais pas vu la diff’
mais viens, on s’capte pour s’rappeller qu’ça tue la vie ?
ça tu l’as dit, j’ai quelques doutes qui s’avèrent unanimes
j’vais rien faire, le buraliste sera mon unique sortie du mardi
sorte d’humanisme, j’me touche quand ça pue la p-sse
les fétides activistes inactifs quand tu dilapides
tellement naïf, que c’que j’fais d’mieux, c’est d’être insatisfait
juste un gars qui s’tait, l’esprit torturé devant l’sablier
parce que j’reviens sur mes pas, j’me contredis
frelon, j’me r-ssure des fois, mais qu’on se le dise, non, vous ne m’capturerez pas
[refrain]
et même à tort, sans rancœur, j’me laisserai couler encore
encore une cuite, un cône grillé, j’m’en fous des renforts
personne à bord, j’me noie dans les mirages et m’emporte
dans les spirales de l’amph0r-, j’arrive à zoner sans force
et même à tort, sans rancœur, j’me laisserai couler encore
encore une cuite, un cône grillé, j’m’en fous des renforts
personne à bord, j’me noie dans les mirages et m’emporte
dans les spirales de l’amph0r-, j’arrive à zoner sans force
[outro]
ahahah, v.a.l.d. hein
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