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a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

lirik lagu vald - pandemonium sensation

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partie 1:

[refrain]
replié sur moi~même comme si j’étais sous fentanyl
le sang sur les murs, c’est pas du paintball
elle m’a dit : ”fais~moi un enfant” et j’ai fait usain bolt
on m’demande c’que je pense du futur, j’ai répondu : “h~ll no”
le jour se lève sur les crackers, les stores se baissent comme des faders
c’est reparti comme ton fazer, j’suis reparti comme ton father
je ressors du pandémonium, j’ai les b~lls en adamantium
tellemеnt chaud, j’fusionne l’uranium

[couplet 1]
j’ai trop d’liquide, j’creusе un canyon
c’est quoi ces comédiens devant l’canon ?
ma gueule, j’suis le barbare conan contre ces hommes crocodiles
j’combats le démon dans la glace comme néo dans constantine
pourquoi tu flippes ? tu vas juste te faire un torticolis, b~tch
imagine le opps est déjà dans ton lit
j’reprends l’rrain~té comme un boyard ou un modou, b~tch, b~tch
magnum 3.5.7 et taurrus anti~vaudou, b~tch

[refrain]
replié sur moi~même comme si j’étais sous fentanyl
le sang sur les murs, c’est pas du paintball
elle m’a dit : “fais~moi un enfant” et j’ai fait usain bolt
on m’demande c’que je pense du futur, j’ai répondu : “h~ll no”
le jour se lève sur les crackers, les stores se baissent comme des faders
c’est reparti comme ton fazer, j’suis reparti comme ton father
je ressors du pandémonium, j’ai les b~lls en adamantium
tellement chaud, j’fusionne l’uranium
[couplet 2]
j’chasse le biff à la trace comme les animaux au lieu de compter les traces comme l’agence de location
j’me rappelle du caniveau, j’comptais les constellations
maintenant, j’compte sur ma fiscaliste pour mon optimisation
faut qu’on s’échappe d’ici
les bâtiments regardent de travers dans ce beksiński
y a que le cash qu’a d’la couleur dans ce sin city (sin city)
je noie mes peines et mes douleurs avec trinity
loi du talion, loi de l’oseille, loi du timing
l’ascenseur social vomit du sang comme dans shining
sacrifices après sacrifices, sacrifices
j’monte en grade, illuminati, j’grimpe la pyramide

[outro]
j’ai pas signé l’pacte, j’ai pas signé l’pacte
j’ai juste pris un sac, uh, pas signé l’pacte
même si prendre un sac, c’est l’début d’un pacte, uh
j’ai pas signé l’pacte, j’ai pas signé l’pacte
c’est toujours le début d’un pacte

partie 2:

[refrain]
j’ai cassé mon robinet de dopamine
j’ai trop tiré sur le spliff, j’ai trop tiré sur ma bite
aucune b~tch peut plus m’changer les ideas, y a qu’ma chérie qui peut l’faire
mais j’lui demande toujours plus de déguis~m~nts en latex
j’deviens fou, j’ai un v aigri de tout, là, dans la tête
j’ressens comme le coup du foulard quand on m’force à faire la fête
la planète peut exploser, j’en n’ai rien à branler, mec
j’ai que d’la flemme еt d’la haine, juste là dans les pеc’ (fort)
[couplet unique]
dépression léthargique, je fais que scroller tiktok
j’vois tous ces gens s’agiter sur des rythmes hip~hop
j’ai l’seum, c’est jamais mes sons, pourtant j’brûle l’anti~pop
le bercy, j’l’ai rempli fort deux fois, maintenant, je suis vide
livide comme un cul, on m’dit : “viens prendre le soleil”
mais j’suis pas convaincu, j’pense qu’il faut faire plus d’oseille
sous épinards comme popeye, j’suis fort pour rien faire quand même
vécu de pq, cette vie, c’est d’la merde
à peine j’ouvre un œil, je rêve de me rendormir
j’me calme avec un joint et, d’un coup, c’est encore pire
je peux pas mentir, j’sais pas pourquoi je déprime
ça s’arrêtera jamais comme pleurer la palestine
okay, je n’ai aucune maîtrise sur mon humeur intérieure
au niveau inférieur, le bonheur, c’était pas un leurre
je suis nostalgique d’avant, notre enfance innocente
y avait des jours impec’, pas que des rouges sang
maintenant, j’pense qu’au manque de love, il en manque encore, manque de pot
nan, je prends jamais d’grandes pauses, même quand j’sors que dalle, faut qu’je pose
j’prends d’l’avance sur la suite, j’pense à l’avance en distrib’
y a que ça qui m’fait vibrer, j’ai pas d’autre goal à dribbler
j’t’ai déjà dit, j’suis déprimé et rien ne peut me délivrer
j’ressens plus rien, même quillé, j’arrive plus à m’esquiver
j’arrive plus à esquisser un sourire ou à m’exciter
sur un p~rno où ça p~sse pas sur l’actrice
[refrain]
j’ai cassé mon robinet de dopamine
j’ai trop tiré sur le spliff, j’ai trop tiré sur ma bite
aucune b~tch peut plus m’changer les ideas, y a qu’ma chérie qui peut l’faire
mais j’lui demande toujours plus de déguis~m~nts en latex
j’deviens fou, j’ai un v aigri de tout, là, dans la tête
j’ressens comme le coup du foulard quand on m’force à faire la fête
la planète peut exploser, j’en n’ai rien à branler, mec
j’ai que d’la flemme et d’la haine, juste là dans les pec’

[outro]
le v, ça dit quoi ? ça dit quoi ?
la vida, la vida
la vie d’artiste, la vida

partie 3:

[refrain]
tout c’que j’aime, c’est des problèmes (hey), tout c’que j’aime, c’est des problèmes
tout c’que j’aime, c’est des problèmes, tout c’que j’aime, c’est des problèmes
elle~même, elle connaît le thème, vu qu’elle m’aime et qu’j’suis un problème
tout c’que j’aime, c’est des problèmes, tout c’que j’aime, c’est des problèmes
ellе~même, elle connaît lе thème, vu qu’elle m’aime et qu’j’suis un problème

[couplet 1]
je fume, je bois les mauvais trucs, rien que j’suis mort au sucre, zut
tout c’que j’aime grailler le plus, ça donne le cancer du uc~l
vu qu’je n’ai pas la mental’, je vais passer les quarante balais
dans un état très lamentable, j’suis même pas sûr d’voir l’ehpad
je mets d’la crème dans mes pâtes, du fromage, du sel et des lardons
t’as capté, j’suis pas vegan, je mange des wings avec la pizza
un coca et, des fois, deux, jamais plus d’six~cents~soixante~six ml
j’calme tout ça avec une garo, des fois deux et des fois trois, quatre
c’est l’vacarme dans ma tête et dans mon tre~ven
je ne veux pas vivre autrement, je coupe la p~sse au jus d’orange
v’là peace mais je suis violent avec moi~même, je me malmène
sadique, j’me fais pas d’cadeau, comme ça, c’est moi qui me ken, pas un autre
j’m’auto~détruis, ils y arrivent pas, linceul ocb rizla
dans son corps, je fais un peu d’sport, mais je tiens deux sec’, c’est dérisoire
j’me maquille pour les interviews mais j’suis déjà mort à l’intérieur
je vis comme un seigneur mais à l’époque, ils cannaient jeunes (merde)

[refrain]
tout c’que j’aime, c’est des problèmes, tout c’que j’aime, c’est des problèmes
elle~même, elle connaît le thème, vu qu’elle m’aime et qu’j’suis un problème
tout c’que j’aime, c’est des problèmes, tout c’que j’aime, c’est des problèmes
elle~même, elle connaît le thème, vu qu’elle m’aime et qu’j’suis un problème

[couplet 2]
faut qu’j’arrête les films de boules, faut qu’j’arrête les cafés en boucle
faut qu’j’arrête de fumer la douce, faut qu’j’arrête de fumer tout court
faut qu’j’arrête les jeux vidéo et, l’alcool, c’est pas de l’eau
faut qu’j’arrête de scroll amazon, faut qu’j’accepte que tout est ma faute
j’crois qu’j’me baise plus que l’état, pour pas un rond, un pesetas
je baise plus moi que ces ‘tasses, j’aime trop cette routine létale
j’aime trop (j’aime trop), elle me dit : “fais~moi du sale”
pour elle, j’me donne du mal et c’est facile, j’connais que ça
autant d’grammes que de dégâts, est~ce un drame si on s’éclate ?
un peu d’sky, on rit aux éclats, vomis sur l’skaï et parle aux étoiles
j’mets deux carrés dans mon fé~ca, dès l’matin, je suis en pétard
j’me fais mal, c’est mon grand fait d’armes, de continuer comme si j’ai pas l’choix
j’vois mon reflet, j’dis : “bats~toi” ou bien j’dis : “putain, non, pas toi”
j’fume un truc pour pas penser, j’me fous un zapping insensé
il faudrait qu’j’arrête de pioncer mais veiller, ça répare même pas
j’dis ça mais, putain, j’aime trop ça (j’aime trop), être en vie pour être dans l’coma
j’suis en vie pour être ce connard asocialement hautain
j’enchaîne les faux pas pour vivre longtemps, je fais tout c’qu’il ne faut pas
j’peux même pas mettre ça sur l’dos d’un trauma’
le médecin me regarde trop mal
lui~même, il sait qu’y a qu’un coupable et c’est pas les chefs de total

[outro]
c’est jamais les chefs de total
enfin pas jamais jamais
des fois c’est les chefs de total mais…
tout c’que j’aime c’est des problèmes

partie 4:

[intro:]
93 milliards d’années lumières
la taille de l’univers b~tch b~tch
hey, hey

[couplet 1:]
hey, le premier complot, c’est toi contre toi, en plus, tu vérifies jamais les sources (hey)
j’suis toujours dans la course, chercheur de vérités à la loupe (hey)
regarde tout ce qu’on fait pour ce gent~ar, ce papelard (hey)
des fois, tu rentres du travail, on dirait qu’tu sors du placard (hey)
faut arrêter d’bader, et passer aux opiacés
légal, prescrits et taxés, j’fais pas qu’penser au passé
j’essaye d’avoir de l’ambition, bientôt, j’ouvre un fast~food
j’veux être un grand d’cе monde, laisse~moi trente secondes

[pré~refrain:]
quatre~vingt~treize milliards d’années~lumière
aurais~je jamais l’temps de visiter ?
quatre~vingt~treize milliards d’années~lumière
on aurait pu jamais se rencontrer

[refrain:]
j’suis cynique comme sinik, l’époque formidable, where is it?
en bas résonne un glizzy, c’est pas les cloches de l’église
je saigne à l’intérieur, j’crois plus au monde de l’invisible
je soigne mon cœur au club, c’est quinze mille euros la visite
cynique comme sinik, l’époque formidable, where is it?
en bas résonne un glizzy, c’est pas les cloches de l’église
je saigne à l’intérieur, j’crois plus au monde de l’invisible
je soigne mon cœur au club, c’est quinze mille euros la visite

[couplet 2:]
j’parle à l’algo’, ça rend jaloux ma go, what the f~ck l’i.a ?
j’étais d’jà un robot, bientôt, j’ai un robot qui va m’chercher les commandes
bientôt, j’vois plus personne, juste un peu de patience (hey)
là, j’suis trop en avance, faut qu’j’attends la science
j’attendais un signe, dollar sign, ça coïncide
fais gaffe à l’autopsie, ça s’trouve, j’suis vraiment toxique (hey)
noir sur noir, en gothique, j’suis à la gare, j’attends l’tgv du p’tit (hey)
mais est~ce que c’est pas lui le centre de la galaxie ?

[pré~refrain:]
quatre~vingt~treize milliards d’années~lumière
aurais~je jamais l’temps de visiter ?
quatre~vingt~treize milliards d’années~lumière
on aurait pu jamais se rencontrer

[refrain:]
j’suis cynique comme sinik, l’époque formidable, where is it?
en bas résonne un glizzy, c’est pas les cloches de l’église
je saigne à l’intérieur, j’crois plus au monde de l’invisible
je soigne mon cœur au club, c’est quinze mille euros la visite
cynique comme sinik, l’époque formidable, where is it?
en bas résonne un glizzy, c’est pas les cloches de l’église
je saigne à l’intérieur, j’crois plus au monde de l’invisible
je soigne mon cœur au club, c’est vingts milles euros la visite

[outro:]
ça a augmenté en un seul titre, en un couplet gamin
t’es choqué
93 milliards d’années lumières

partie 5:

[refrain]
étoile noire, roche noire
étoile noire, roche noire (étoile noire, roche noire)
lumière noire, lunettes noires (lumière noire, lunettes noires)
carte noire, poumons noirs, clause noire
pas besoin de repères
pas besoin de famille, pas besoin de pays (pas besoin de pays)
t’as juste besoin de payer, mais pour ça, t’as que besoin d’un que~tru pour payer, t’as que, yeah, yeah
pas besoin de plus, pas besoin de plus
pour nos âmes cassées, pas besoin de glue

[couplet 1]
qui raconte l’histoire ? qui décerne les rôles ? méchant ou gentil ? allié ou ennemi ?
trump ou obama, kadhafi, saddam? qui a fait l’plus de morts ?
qui sont les sheitan ? qui sont les victimes ? ça dépend d’où t’es, ça dépend d’ton cœur
il m’faut un bunker, il m’faut un bunker avec des conserves, ça, c’est du concret, tout l’reste est trompeur
même les savants ne sont pas ccor~d’a et la science avance à tâtons dans l’noir
dans la matière noire, quatre~vingt~quinze pour cent, on sait pas c’est quoi
tout c’que je sais, c’est qu’tu sais pas, le savoir : une arme, milieu d’partie et tu fais aucun dégât
tout c’que je sais, c’est qu’tu sais pas, le savoir : une arme, milieu d’partie et tu fais aucun dégât
dans l’immédiat, j’suis niqué par l’marketing et par les médias
ai~je encore une idée sèche de leur p~sse dans mon crâne ?
j’rêve, j’rêve, mais peut~être c’est le leur
j’rêve, j’rêve, mais peut~être c’est le leur

[refrain]
étoile noire, roche noire (étoile noire, roche noire)
étoile noire, roche noire (étoile noire, roche noire)
lumière noire, lunettes noires (lumière noire, lunettes noires)
carte noire, poumons noirs, clause noire (noire, noire)
pas besoin de repères (répères, non)
pas besoin de famille, pas besoin de pays (pas besoin de pays)
t’as juste besoin de payer, mais pour ça, t’as que besoin d’un que~tru pour payer (ah), t’as que, yeah, yeah
pas besoin de plus (pah, pah), pas besoin de plus (pas besoin de plus)
pour nos âmes cassées, pas besoin de glue

[couplet 2]
esprit critique, j’me remets en question, hey, j’remets tout en question, donc même la version officielle
mais quand j’me questionne, ils voient d’la rébellion
les moutons m’regardent de l’intérieur du pré, j’me fais insulter de mauvais mouton
si seulement un jour, je trouve le bouton, j’fais sauter tout l’monde, ils vont voir, ces moutons
nos maîtres le savent, on n’est pas très unis, c’est nous contre eux, mais j’connais pas ce “nous”
on est pas prêts d’niquer la pyramide, pas prêts d’envoyer l’œil chez afflelou
ok, c’est nous contre eux, mais nous, on est racistes, moins riches que eux mais tout autant cupides
rien n’va changer alors autant qu’tu tires, à ton avis, pourquoi autant d’suicides ?
es~tu négationniste ou juste complotiste ou carrément fasciste ?
veux~tu qu’on t’affiche ? ça marche pour la chine, on l’fait d’jà sans l’appli’
sur les autres appli’, tu te fais rappeler à l’ordre par tes pairs
tu peux t’faire cancel pour penser impair ou passé impur
mais, ça, généralement, c’est bien vu, ça, généralement, ça lance des carrières
s/o à ton cul, pas de sl~t shaming, vive la liberté s~xuelle féministe
le combat continue, il faut plus de boules sur mon fil d’actu
et pour ce qui est des tétons, les filles, j’suis avec vous
vous êtes des modèles, tout comme ces rappeurs, comme ces youtubeurs
l’avenir est radieux, le niveau est si haut, jeune ceo, jeune ceo

partie 6:

[couplet 1]
ça passe pas comme la première fois
la première fois qu’t’as déposé des fleurs, ça a brisé ton cœur
là, j’suis presque émouvant, j’veux pas être moqueur
ça fait mal comme un frère qui t’ment, quille~tran, faut l’prendre comme un avertiss~m~nt
les journées filent tant, un matin, tu vas t’réveiller en souriant, un jour, tu vas re~aimer en t’oubliant
ça transperce mais ça passe toujours, c’est pour les voitures, les impasses
bien sûr, le passé nous rattrape tôt ou tard, mais te ralentis pas, tiens le cap, regarde droit d’vant
sale temps pour naviguer tranquille, mais si on tartine, on peut échapper à la tempête
j’t’embête avec toutes ces conneries parce que, moi aussi, j’ai mal, sa grand~mère

[refrain]
ça fait mal, même la douce n’y fait rien
c’est du sale la douche n’y fait rien
j’me sens seul même quand on est plein
à tous ceux qui ont quitté l’train
je pense à vous au wagon~bar
j’espère qu’on s’reverra autre part
j’pense à eux, heureux dans l’au~delà
enfin échappés d’ce cauchemar

[couplet 2]
ça fait mal comme si on t’avait abandonné, faut s’accrocher, pas laisser filer la randonnée
enfoiré, la nuit approche et tu vas te perdre en forêt, et je t’en voudrai
tant que t’es pas mort, ne fais pas tout comme, tout n’est pas tout moche
tu peux ravoir un coup d’bol comme à l’arrière de cette camionnette à boulogne
tu peux re~tomber sur une chatte
le soleil après les larmes, le sourire après la pluie
tu vas retomber sur tes pattes, retrouver tes applis
et ton train~train quotidien, tu vas retrouver la vie
enfin, tu vas faire avec
se perdre de vue sans préavis, ça fait mal sous les pecs
même en répétant qu’tout va bien
toutes les photos m’le rappellent, à part toi, j’manque de rien

[refrain]
ça fait mal, même la douce n’y fait rien
j’me sens seul même quand on est plein
c’est du sale, la douche n’y fait rien
à tous ceux qui ont quitté l’train
je pense à vous au wagon~bar
j’espère qu’on s’reverra autre part
j’pense à eux, heureux dans l’au~delà
enfin échappés d’ce cauchemar

partie 7:

[refrain]
c’est la victoire, c’est la fête, j’reviens éponger la dette
de la ce~fran’, bouge la tête, fais pas l’coq, putain d’merde
tout est hardcore, putain d’merde, pas de hanc~ck dans le ciel
combien d’sans frocs à l’assemblée ? faut son sang~froid dans la street
ok, j’commande en un clic, j’suis un tyran sur amazon
je reviens, j’ai mal au mic’ ainsi qu’la fureur du dragon
ok, je survole la zone comme le démon dans demon’s crеst
on fait des loves, on les comprеsse, ils font des loves, ils décompressent

[couplet unique]
oui, oui, gros, le temps presse faut qu’on s’engraisse
faut rester concentrés, peut~être même faudrait qu’on s’entraide
j’ai qu’ça à faire, j’gamberge, même si j’suis habitué à ces tasses~pé’
putain, ça m’exaspère quand même, j’suis trop nqnt
ils vont pas m’la faire à l’envers, j’rappe des enfers, ça sent l’sang frais
tu vas payer tôt ou tard, même douze fois sans frais
j’aime trop m’fonce~dé’, faut que j’m’empêche, là, faut qu’j’empoche
là, faut fonder, la faux arrive, là, faut foncer
la peau fonce sous le soleil, le cœur fonce quand ça s’monnaye
faut s’écouter, faut tendre l’oreille, j’ai pas besoin d’un psy, j’me connais
ok, gros cul quand j’me connecte, j’suis goku quand je collecte
j’mets la cagoule quand je collectionne
faites gaffe à vous, j’suis dans l’protecteur (hey)
quand j’fais v’là d’sous, j’suis dans l’professeur
mon démon me parle avec la voix d’chantal ladesou, pour les connaisseurs
star du pe~ra’, même pas gros baiseur, kichta même plus obèse
dès qu’j’ouvre les volets, je vois le monde, je vomis jaune
hey, ça s’voit, marianne est sous zopiclone
c~cktail sur le comico, sobies’ dans le tropico
tout l’monde sature comme les hôpitaux
je sais qu’j’suis qu’un domino, une réaction en chaîne qui fait flipper
comme tony hawk, de bagnolet jusqu’à tokyo
jamais dieu dans l’talkie, donc j’remets l’kimono
hey, au micro, j’cogne comme pacquiao

[refrain]
c’est la victoire, c’est la fête, j’reviens éponger la dette
de la ce~fran’, bouge la tête, fais pas l’coq, putain d’merde
tout est hardcore, putain d’merde, pas de hanc~ck dans le ciel
combien d’sans frocs à l’assemblée ? faut son sang~froid dans la street
ok, j’commande en un clic, j’suis un tyran sur amazon
je reviens, j’ai mal au mic’ ainsi qu’la fureur du dragon
ok, je survole la zone comme le démon dans demon’s crest
on fait des loves, on les compresse, ils font des loves, ils décompressent
oui oui gros le temps presse faut qu’on s’engraisse
faut rester concentré peut être même faudrait qu’on s’entraide
pandémonium reloaded, chockbar

[outro finale:]
c’est bon c’est dans la boîte ça c’est bon c’est dans la boite


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