lirik lagu unbased creator - nos(kh)mus
kh
(ironie)
j’dors au calme, sans r
ko je tombe de bref coup, tel saoul pères
comme un battant m’lève : la, faut qu’je tombe 2 pets, ou j’étouffe l’air
a chaque latte, en tête image de moi [squelette sous terre, tout guez]
“engrais d’talent”..
..fertile : pas le choix j’me def sous herbe ou r
j’écris serre, et l’pet rétrécis comme un 12 prêt
quand je me met raidе : et bah j’réfléchis..
.. comme un retourné
dangеreux éclair : mes textes
tes idées : comme un coude
t’sais?
chu fait
pas très clair mais net et précis comme un coup d’clé
pauvre a vie xd
donc, même un gros sou tombe : faut pas j’taff pas
j’t’ai dit faut la quiche!
donc tel un gros fou : sonde soraredata
j’trouve des trop sales teams..
tel un pro, tout j’comptes, (faut pas j’parles la)
c’est automatique, oh reste humble :
nos gros coup ne sont qu’occaz qu’t’as pas
papa, chu fait
j’reste une journée sans écrire et j’implose
moi je soigne mes vers..
.. j’leur donne une santé d’pique, et sainte pose
(grave, je suis très ferme avec moi, j’en ai viré pleins d’choses..
.. j’sais qu’il faut qu’j’exerce le flow autant qu’le débit..
..c’est l’grain d’prose)
normal en continue taffe, comme l’air dans la turbine..
ne suis productif que seul..
..comme œil de tel
quand par dessus vise : putain juste le sh~t me motives..
..mais même sans j’calcule vite
chu malade, j’ai des cas d’conscience et j’me blesse quand j’taffe une rime
putain
j’sais , j’ai des cernes de barges, et c’n’est pas placides drogues
j’crois, en vrai c’est j’dérègle le tracé..
l’décalage qui l’forme
esprit fait
s’dégénère
ressasser ne répare pas c’qui cloche
donc j’fume
et t’sais l’air que ça fait ne déplace pas qu’p’tites choses
faut j’trace!
fait gaffe aux pumps, les mecs les cultivent
leurrent et mènent
la? gars, sorare c’est gta rp : dupliqueurs déters
j’vend mes cartes
tu subis dumps, les cerner suscite que t’ai flair :
penses, et crame..
a vitesse ou sur la c surgissent nez d’betes
j’ai les même vices, a part d’âge a plus 15 ou …
16 droits, et ce même en étant rabat comme un coup d’flingue en l’air
fait comme être en accord grave.. a soi même.. ou r
du coup, chaque jour en habit de travail comme un wu tang
biff ~> caisses
chu fait
mais mieux que ton cher “grand fils”..
.. il s’appelle toilettes
tous entre eux, ça ravale, comme un ultra~giga con centipède
si ça continue, c’est comme un cercle vicieux : conséquentiel
comme moi qui fume ~> écrit ~> fume ~> écrit :
s’ra des concerts en feat avec moi même?
enfait chu fait comme un surrin qui kick
seconde, faut tu me laisse une
[inspire] il faut que je
j’ai comme un problème ou une sur~inspi qui m’fais divaguer..
et m’empêche d’mettre des pauses, un truc infini
comme a~fricable, rester fier t’sais c’est une p’tite perte..
j’fume, ma plume bave
style a percer bières pétées, puis qui gerbe
[apprendre vie] et [kick ça] tel les lierres et les murs : ils s’aiment
chaque jour la routine : ça s’lève
c’est ” hier j’étais qu’une p’tite merde.”
le fil on sait pas quand est~ce qu’il s’arrête
je sors du lit : un nouveau jour viens s’ajouter a cette [unique frise chronologique]
quand l’histoire se dicte, elle est forcément constatée avant..
..qu’eux viennent te raconter, ou imaginent suites, faux aux possibles..
poto te laisse pas avoir, et vois par toi
tu vois, quand ça arrive :
enfait y’a ceux qui interprètent, et ceux qui pèsent le pour et le contre ..
et y’a ceux qui prennent le pour et le contre..
.. et l’interprètent
(avec le mic, avec des kick, sh~t’s audiophoniques)
mon cerveau réfléchit contre mon cœur et mon corps
la remise en question, c’est un peu comme être seul, face a 2 gros hypocrites qui se concertent dans le déni
le but : savoir passer outre
y’a qu’les cons qui changent pas d’avis..
rien a battre
que de moi tu parles..
.. je sais qui je suis…
et, que je fasse un sh~t s, ou a tout heure de la journée : je sais pertinemment ce que je fais, ou j’le ferais pas
car généralement, si je sais pas bah fatalement je m’abstiens
gros les gens comme moi, c’est pas princ~p~lement pour des bêtises qu’on les exclut
balecouille, chu ni derrière ni devant, chu sur l’coté
espèce de mouton, gros t’est fait
ne cherches même pas, j’en voudrais pas..
j’prend ton épaule si tu t’excuses
j’préfère rester seul ou avec des gens qu’on les mêmes
que devoir fondre mes convictions
j’ai des cas de conscience et j’écris c’est pour les gens dans 100 ans :
j’laisse une trace du monde actuel vu d’un mec qui n’étais pas d’eux
//
joisxleen
eulogy
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