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lirik lagu tristim - reptilien

[couplet 1]
yeux reptiliens sous le borsalino, sens
les cadavres qui se terrent sous le lino
sans lien avec mon envie de m-ssacrer des innocents
vois leurs larmes sacrées qui se combinent au sang
je prend un bain écarlate
épée en main comme scarlett
surentraîné comme un spartiate
mélangé au danger scarlxrd
je vais prendre ma revanche
quand j’arrive les lames s’tordent
je manie galatine, je rêve d’un dopeul
ou d’une peau blanche comme celle de galatée
un genre de sabreur zombie, (zombie)
t’as peur de ma trombine, (trombine)
mes gars dans la combine
méga armure sur la combi

[pont]
le plan, s’déroule, comme c’est, prévu, (ok)
je sens, qu’les goules, mordent mes, plaies pures, (non-stop)
le sang, s’écoule, forme des blessures
le temps, s’déroule, mort j’ai vécu

[couplet 2]
tous mes enn’mis trép-ssent
j’vois un fantôme c’est mes enn’mis, hélas
j’veux crier seul’ment je gémis, efface
toute ma vie si j’suis pas béni, pét-sse
j’veux un sniper mais j’ai quinze sabres, (shine)
j’ai des déserts mais j’ai pas d’arbre
nos corps gelés sur un tas d’marbre
dissèque moi si tu veux voir des vœux macabres
j’invoque l’orage, j’inflige dommages
j’suis un psychopathe j’suis volage
anthropophage, j’fais des otages, vous me rendez hommage et mon corps est un collage
toi et moi c’est pas la même gars, non
t’as des putes, j’ai que du tenga
je gagne de l’xp, j’suis un gros bill
j’crache du feu
bleu j’ai pas besoin d’un gros pilon
désolé si c’est confus
nous ne serons plus ce que l’on fut
entre égotrip, autodérision, dépression
je suis un faux roi qui manipule des vrais pions
bande de moutons, j’ai vos boutons, c’est dégoûtant, (ay, ya)
marabouté, c’est une joute, je combats tout l’temps (ya, ay)
pas l’temps d’goûter, j’prends la bouteille, faudra flouter, si j’suis glouton, sandales cloutées sur la route et pas l’temps d’douter, (ah merde)
j’suis dans l’side-car j’vois l’hasard qui conduit
j’suis un grand gaillard, j’p-sse par les conduits
j’vais dans l’mordor, une horde de cons suit
t’es très fort, mais si tu vois qu’je contre fuis
je m’amuse avec une aiguille, manipule le corps d’une poupée
j’ai aperçu qu’l’amulette brille, il y a sûrement des orcs tout près
ils consomment des plats tout prêts
coup d’éclat pour les attrouper
j’bois du pur jus, c’est du surku, pour sonner l’glas c’est approuvé
et pour sonner l’gong c’est un sumotori
j’me promène en tongs j’ai un rhume, oh boi
j’suis plus malin que mon jumeau
j’t’arrache la peau et les grumeaux, sorry

[pont]
le plan, s’déroule, comme c’est, prévu, (ok)
je sens, qu’les goules, mordent mes, plaies pures, (non-stop)
vœux blancs, j’m’écroule, j’dors et, j’rêve sûr, (au calme)
creux dedans, j’m’essoufle, clos mes, serrures

[couplet 3]
j’me rend, j’m’étouffe, sors de ma tête
repas ? cerveau. couverts ? machette
hachette, j’repars à zéro
tout vert, j’achète
ventre ouvert, vous mettez des bougies sur le pentacle, moi je met des braseros
possédé par des esprits bizarres
obsédé par les esprits ignares
dans leur dos, tend leur peau, tranche leurs os, hante leurs maux, sans repos
en deux mots, j’pense le faux, panse le bobo, j’en veux trop, mange le croco, j’ai les crocs, mes propos gènent, je gèle les sots, baise les pros, faut viser gros, vos potos gisent sur le sol, ay
chaud comme le soleil, froid comme tezcatlipoca

- lirik lagu tristim

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