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lirik lagu triptik - la moitié de moi

[couplet 1 : black boul’]
comment pourrais-je un jour me détacher de la moitié de moi ?
j’aurais toujours besoin de la totalité de toi
seul l’amour a de toutes les amitiés le poids
mais quand le doute est là : tout le monde a pitié de soi
quelle étrange alchimie du cerveau et du coeur
on ne peut pas être plus confiant, mais on ne peut pas avoir plus peur
on p-sse d’une friche en hiver à un superbe jardin en fleurs
on jouit à gorges déployées, et puis l’instant d’après on pleure
et pour qu’il dure, il convient de faire en sorte
de savoir jusqu’où ce sentiment nous transporte
pour revenir en arrière si nécessaire quand on s’emporte
pour que nos excuses ne restent jamais lettres mortes
souvent inespéré, parfois désespéré
l’amour fait qu’on se sent aussi libre qu’incarcéré
ce à quoi j’ajouterai, et c’est à peine exagéré
qu’on n’sait plus comment respirer quand l’autre est exaspéré
j’ai l’impression d’être super bête, et d’en avoir pris pour perpét’
marre de tes crèmes, de tes serviettes, il nous faudrait un interprète
mais on a jamais fait semblant, tu m’as fait les plus beaux enfants
je ne te laisserai jamais en plan, je t’aime, j’espère que tu m’entends

[couplet 2 : dabaaz]
comment dire ? je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai
et si tu n’entends pas ça : je monterai sur le tabouret
je crierai, et si il le faut je hurlerai, même si je trouve ça bête
j’te parle d’une vie entière, non pas d’une amourette
quand on ne peut pas prévoir qu’il est possible que tout s’arrête
on n’veut pas savoir, on aimerait ne plus avoir toute sa tête
j’préfère tes pet-ts mensonges à tes longs silences en fait
j’aime pas c’que l’atmosphère sécrète quand tu deviens secrète
ton corps se change en courant d’air alors qu’il dort sous les mêmes draps
et parfois j’me reconnais même pas
on a pourtant l’même but, mais on n’marche pas du même pas
tout ça, tout ça c’est c’que j’pense, et j’le dis même pas
alors je sors, je m’abandonne, je t’abandonne et je ne rentre pas
la vie nous teste mais on n’se quitte pas
le couple : c’est comme une entreprise, et même en temps d’crise
quand tout se brise : y’a ceux qui s’accrochent et ceux qui lâchent prise
j’déteste mentir, du coup j’n’aime pas faire de promesse
aussi incertaine qu’une éventuelle nouvelle grossesse
on subit, puis on affronte même si tout ça blesse
il ne s’agit pas d’un vulgaire flirt mais d’une histoire de fesses

paroles rédigées et expliquées par la communauté rapg*nius france

- lirik lagu triptik

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