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lirik lagu topaze chantilly - tartuffe

[couplet 1]
ami les claques et les murs ont changé ta fougue en guimauve
comme ces soirs où un ciel rouge feu devient gris~mauve
cesse de chouiner que le sort sur ton bonheur a fait main basse
que tes chemins ne mènent pas à rome mais dans une même impasse
avoue plutôt que tu n’es qu’orgueil et lâcheté
car depuis l’âge tendre tu guettes le bain de ta vie depuis le bord de la jetée
rouillé de ne jamais t’être mouillé, quand l’ironie te douille

[couplet 2]
mais khouya va niquer ta trouille, t’es là comme un h0m~ qui se nie
un coco qui se renie, un vieux qui veut faire jeune
forcé comme un rire jauni, insincère, ça se sent
tu fais genre que tu connais mais tu mens, tu te déguises à longueur de temps
palabre parfaitement, plein d’afféterie, mais y’a rien sous le vêtement
le malaise est immense, c’est gênant pour tes proches, g
mais quand on brise la glace, tu parles d’ingérence, nous renvoies sur de fausses pistes
la zone de ton confort est celle de ta triche, bientôt celle de ta tombe
triste, comme tu perds en pastiches, comme tu te cherches à tâtons
comme tu t’obstines, à faire passer les carrés dans les ronds
des mensonges gros comme l’australie pour l’île d’oléron
vilain bandolero, pipeauteur, les blaireaux dansent sur tes boléros
tombent dans tes pièges, comme le veau dans les rodéos

[pont]
quand cesseras~tu ton bullsh~t de douchebag ?
quand fermeras~tu ta bouche ? combien te faudra~t~il de douches froides ?
de cachottier à aigrefin, puis maigre et aigre enfin
ta peur du coup d’éclat a consumé le tien
à force de vivre comme un autre, comme si t’étais pas né
t’as pas vécu d’épiphanie, du coup tu t’es fané
ami retrousse encore tes manches, avant les quatre planches
la vie te garde une chance quand tu arroses tes propres branches
[couplet 3]
suis ton inclination, ton inclinaison, pas ce que tu penses que les autres pensent
jette ces chimères dans ton vide~poche
deviens qui tu es, l’homme est un arbre qui tombe toujours du côté où il penche
si on s’irrite, pour autant, on ne s’évite pas, suivis partout par nos bruits de pas
ôte ici ces habits qui te grattent, l’hypocrisie te dégrade
fais~pas ce gars qui t’épate, tu seras jamais qui t’es pas

[couplet 4]
même si comme jacques tu leur chantes “ne me quitte pas”
elles te jartent si ça sonne faux, ne t’inquiète pas
le monde aime le beau mais le beau vient de ce qui est vrai
si t’as jamais vu la neige, dis pas que tu sais skier, frère
reste naturel, sobre, voilà ce qui est frais
arrête ton cinoche, silence, sinon je t’esquiverai

[couplet 5 – final]
sisi tartufe, on voit tous ta truffe sous ton masque
la ruse de tes frasques, l’astuce sous tes phrases
si je te parle cash, nan, c’est pas pour abuser de toi
ni pour me rembourser, je rappe devant le miroir, sévère contre toi
car c’est aussi moi que je saque d’un sabre provisoire, y’a rien d’improvisé
les gens que tu bernes finissent toujours par te cerner
par bien discerner, le pote roulé, le boss trahi, la miss énervée
tu grimpes, grimpes, mais l’ascension n’est qu’un sursis
depuis l’olympe, chronos ménage son effet de surprise
et bim, spotlight dans la gueule, le maquillage de minuit coule
la lumière sur le tréfonds rend tes surfaces ridicules
si ridicule, ouais, elles sonnent faux
comme cette voix floue et mielleuse en arrière~fond
[solos / outro instrumentale]

- lirik lagu topaze chantilly

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