lirik lagu time bomb (collectif) - anthology
[leeroy kesiah]
pour les dibidi san boy j’ai des rimes de ouf
ridicilous, technique serious, dangerous, et vicious
fabulous m’agite sur playstation
botte les cops dans la dancehall
la force de leeroy te boxe sans plus de niveau que star fox
comme le paperboy j’envoie distribuer des récueils tels
super-boy mon oeil amène gadget-boy au cercueil
c’est la pagaille les deux samouraïs pratiquent le muay-thai
même en fusion kibito et kaio shin taillent
phenomena one and two and three high champion san
pour tous les m-ssifs comme xxx
sâche qu’à l’appel du ring ma ceinture brille comme un rubis
approche la bête féroce à demande des watts et puis t’oublies jack-ss
yo yo yo, j’dégaine, j’te quèn, à coups d’-oruyken
range tes shurikens
j’suis ken, le reuf’ de ryu plus que fort que dans tekken
comme sur game boy xxxx
furious mais avant c’était la façon d’abbatre des faux pâlis
[oxmo puccino]
hein, ox, hein, hein
me voici, plus fort qu’avant mais seule cette fois-ci
sur générations 2 fois 7 fois 6 plus 4.2
le pucc’ est né dans la rue
non plus d’potes s’ils s’tuent
chrome, mic mon futur du coup ne m’botte plus
tu souris comme une conne de meuf bête fière
d’être dans une belle caisse avec des grosses jantes que les gens mattent
j’vois ta haine briller comme le système stellaire
sympathie artificielle plus que les hôtesses de l’air
juste ciel ! quelle est cette fille?
avec son buste haut, avec ses mèches pony qui fouettent les mouches en marchant
essaye o.x a.k.a mo
t’es un fou pas intérêt, presque xxxxx beaucoup
les p’t-ts qui avant volaient maintenant vendent du schit
sont plus riches que toi, chient sur le système
si riches qu’ils font des batailles de boule de neige avec la drogue
en poudre, en écoutant les prods’
a mars, coudre les polos brodés avec de l’or
ma voix tu l’entendras d’chez toi jusqu’à la voiture dehors
[pit baccardi]
mon rap est fait pour blesser, laisser les sequelles d’la maille
sequelles, vie qu’j’ai j’ai juste de quoi m’offrir un bicycle
je suis s.o.l.o c’est hard mais j’y pas m.o.l.o
baccardi pit’ au mic c’est m.i-eleux
m.o.i le truc qui m’fait craquer un pur style venu de nulle part
qui m’herrisse les poils, j’suis un squall
té-squa le podium en tant qu’o.n.e
a.k.a le kamer les filles; ça m’rend fou il faut qu’j’me soigne
mes poignards sont dans mes textes pas dans mes poignets
soigner les plaies qui m’handicapent j’essaie, maintenant on m’dit cap
gère autre chose que mille infirmes je suis apte
a toute échéance j’vais voir qu’t’as déjà accroit mon écriture
je crois à cette vie après la mort
faut qu’je pète encore après qu’mon heure sonne
j’-ssène ce truc mais j’te jure j’ai l’trac
trinquer à la réussite d’un projet : chose que j’dois de faire
black mafia
[oxmo puccino]
t’as vu des guns, dans ta vie tu dis t’avais du vécu
tu verras, mes mots te perceront l’âme tant ils sont aigüs
tu m’fais flipper comme ces femmes qui s’disent pleines d’amour
pour leur mec, mais couchent avec tout c’qui bouge
j’vibrais la face b si j’étais dj
ou comme un mauvais hiver qui m’demande si j’te figait
tu m’fais flipper comme un ami d’enfance qui t’plante
plombe ta vie, ta confiance avec sa longue science
tu fais flipper comme ma mère, se tenant d’bout
les mains sur les hanches, criant “range the shoes ou j’tord ton cou”
tu fais flipper comme un docteur qui m’dit qu’j’vais mourir
et pour un jour guérir faut pas qu’j’y compte
tu m’fais flipper comme cette pét-sse enceinte
qui m’dit qu’j’suis l’père du gosse, qu’si j’-ssume pas j’suis perdu
ou comme ce flic disant
“c’est ta parole contre la mienne ox, pour cette insulte tu prendras 10ans”
tu fais flipper comme ta go cette nuit
ah, son cri quand elle a vu mon jouet, plus tard quand elle a jouit
tu m’fais flipper comme ces renois réunis en soirée
epuisent dix t-ss’, les même choses qui s’p-ssent
les balles se dispersent, les flics tergiversent en riant
la mère à l’hosto, pour son fiston priant
tu m’fais flipper comme mon futur, quand ma mère a b’soin d’tunes
j’en file pas, car j’tarde à faire fortune
tu fais flipper comme un père immigré
qui s’demande s’il a vraiment tout fait pour ses gosses, reste sans réponse
ca fait flipper comme l’haleine de cette meuf’ c’matin
dont j’matte les mèches pony, résiste à cette haleine
j’existe moi, monsieur, enfin j’essaie, et toi mon vieux? hein ?
c’est ça qui m’fait flipper …
[hifi]
x-men …
c’est l’guetto, négro dégaine ton gun s’il t’gratte
quelqu’un d’ma clique aura toujours un plus gros glock
au cas où ça s’gatte
les crews s’cannent, se niquent
c’est toujours l’mien qui reste
hifi sème dans ta famille : famine, faillite et tristesse
j’ai toujours l’même crew, j’vis toujours l’même trou
porte de vanves j’garde les mains propres, j’sais à qui d’mander si y’a bleme-pro
le rap s’trouve en bas d’ma cité, j’ai pas à bouger beaucoup
tu connais mon r’frain, t’as d’jà une corde au cou
[oxmo puccino]
yeah, oxmo puccino à toutes les t-ss’
perchées sur des talons, les fesses ballon
torse bombé, mêches pony bien huilées gondolées dans l’dos
tu vas les draguer gars, elle pètent toutes le même au gaz
au lit les jambes en phase elles dégagent les même cris, les mêmes speech
elle a dit qu’j’avais dit qu’on lui a dit qu’elle avait dit d’elle
qu’elle avait de lui du mauvais
sâche que si j’viens t’voir, c’est pour f-ck f-ck
au début tu dis stop stop
j’bosse, tu baisses ton froc froc
j’touche pas les joues, même si du cul tu transpires
touche pas à ta grosse couche de fond de teint resiste au white spirit
j’suis pas tes “trop beaux” j’parle trop mal les ta-t-ss’
j’ai beau les injurier j’en niquerai toujours et je l’jure
ne sont vexées qu’celles se sentant visées
j’excèle mes rimes aiguisées
respecte les femmes s’respectant
comme les jedi j’ai ma propre école de fanas
un tas d’nanas guettant la banane à oxmo puccino
[ill]
le goudron brûle, les s’melles chauffent, l’asphalte fond
polo ralph lau’, flingue au ras l’pull
“ca l’fait” comme disent les nazes
mano à mano, ok où j’met mes tennis
ill plus speed que la fin de benny hill s’ils sont 1000
ma seule phase, ma seule phrase : béni soit le style du génie
mes idées germent comme d’un pénis le sperme
j’rappe pas pour des pièces ni des pennies
non c’est hard, ah ouais comme penny faut payer moi et mon ethnie
cherry comme neneh, fille en mini-jupe bikini, beaux nénés
putes finies comme la ill nana, lascar en tacchini
et si c’est d’la bonne beuh fais néné
pas d’austin mini mais des 500 benz sl
des aisselles clean, des ailes de poulet dans d’la belle vaisselle
mais zéro, nada, les frères portent le colt comme dans l’nevada
oublie les vrais ennemis comme par amnésie
moi aussi j’protège ma zone “oh qui va là!”
c’est la black mafia, là pour niquer l’halla scar-la
donc voilà, han
[oxmo puccino]
j’suis inconnu comme un ovni
pas d’flouze, pauvre, pas d’love ni de honte
moins qu’une meuf sans mêche pony
sur 900 mecs me testent quand j’lance un rime
aucun restant, j’pense qu’à frimer, fistons trimez
c’est l’but de chaque mec, guettant la belle bête
on s’dit on lance le truc entre les jambes comme au rugby
puis l’truc durcit, grossit comme bill bixby
ensuite elles disent “merci”, merci j’suis l’homme au gare-ci…
question s-xe, réponse vexante, elle accepte
le face à face et puis les fesses en face et ça fait
en accapella, anti-intello, j’épèle le nom d’cette bella
elle fait la fausse enchaîne la f-ll-tion
diplomé secourisme, poste au bouche à bouche
certifié “hyper kiffé par les filles dures”
mais j’my fais, sniffer du torse
jusqu’au bâton magique, le nom c’est oxmo
[c-ssidy]
moi faut qu’j’te dise, qu’au niveau level au mic c’est chant-mé
je sais qu’j’t’inspires, et qu’des sbires s’barrent de notre histoire
tes chefs chient quand ils narrent nos périples
deux affranchis on s’fait pas ièch
on crêche près d’porte de bagnolet, j’prêche
pour qu’les faux s’arrachent j’te lâche un rap brut et j’créé des séismes
toujours le preums on fait preuve d’héroisme et tu clamses
ne m’suis pas, un homme c’est quelqu’un qui s’respecte, alors respecte moi
j’m’étend dans l’ciel comme la voie lactée
j’malaxe tes neurones et domine tes idées
a l’aube de l’an 2000 j’suis fier de mes racines
digne de la famille zongo, j’prime
pour qu’tous les négros signent c’contrat en huit-clos
yes, 97, générations f.m
[akhenaton]
timebomb, le c.o
shurik’n, le rat luciano
bienvenue dans le marécage où pas mal de mc jadis coulèrent
car de là, mes potes bombardent des bons beats sur studer
en place comme nanard, de bon matin on y ch-sse du canard
vire des brêles presto à coups de panard
rembarque tes potes les bronques, tu fais le fou là
ici on fume la buddha, pas importée du plat pays du gouda
paye-toi un savon de m-rs-ille, tu fais crépiter geiger
mon équipe sort des geysers
des jets de mots, des jets de plume, des jets de pensée
tu penses bien que si l’insee recensait les mc tu serais pas relancé
romancé, je conterai ta fin avec l’accent, c’est le lycée
sur cahier de texte, t’y es trop absent, le cpe chill sans figure t’exclut
t’y a plus de cl-sse, efface ton nom de bouchi-sse
las de voir les caves gratter leur part de fromage
viens, je tire un type sous le marécage
[shurik’n]
pas traîner comme un connard
rentrer tard le soir, les mains noires de camboui
m’empêche de dire bonsoir à ma famille
ne pas faire la queue, au pmu, le ticket à la main
avoir perdu, rester la langue pendue mais pas s’avouer vaincu
ne pas en chier pour entrer en boîte
marcher sans qu’les flics m’enboîtent le pas dès qu’je sors
sortir ma carte ça rend les mains moites
de boîte de conserve en boîte de conserve
ne pas avoir le goût du fer quand ma vie et l’enfer s’envoient en l’air
ne pas bloquer devant les infos, content en me disant y’a pire que moi
moi j’ai toujours une chance au loto
j’aimerais avoir une vie normale, b-n-le, p-rs-mée d’marla
et sortir de la chien, boire mon café, lire mon journal
mais y’a pas d’kleps, chez moi y’a pas d’presse y’a que d’la pression
les gosses croquent la mort à pleines dents comme une barre de lion
les carries, c’est rien on s’en remet et puis un jour tu mords trop fort
et là tu perds ton dentier
sur ton palier me pince pas j’veux pas m’éveiller, laisse moi dormir
chez moi, la réalité nous fait subir le pire
ceux qui désirent saisir le rêve en rêveront toujours
sauf dans les thrillers où je cherche mon tour
le marchand de sable p-sse pas ici, le grillage fait tamis
tant pis, on dormira quand on aura sûrement roulé
xxxx ce truc bizarre entre sommeil et vie
beaucoup tentent, pour le profit
ils servent au diable, tout ça pour tapis
et la roue tourne, pas pour la fortune
sur le bitûme, il pousse ta thune que d’l’infortune
et la poisse est une habitude, rude et collante, oppressante, pesante
me fait penser qu’à ma pensée y’a qu’un pans-m-nt d’billets pour colmater les plaies
la cécité est une nécéssité pour avancer
ici y’a pas d’moïse, la mer va pas s’écarter
c’est comme ça qu’ça s’p-sse
j’élève la bâche : un voile, un flash …
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