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lirik lagu timal - final

[intro]
réalité, sans tabou, sans théâtre, le malheur des uns fait le bonheur des autres (c’est réel)

triangle sur les polos (han), cain~cain comme les low~low, c’est des fufus, prêts à tout pour des follows (ftt, ftt)
j’les blesse mais j’essaie d’y aller mollo (ouais), à propos d’la verte comme si j’suis écolo
prof chen, j’ai les potions (han), complot depuis très jeune, négro, j’ai les notions (ekip)
travail, dévotion, et j’ai les blindages juste par précaution

[refrain] x2
tous les jours, c’est le fuego, c’est commе si on jouait la finale (oh, oh)
ce soir, j’ai coupé mes résеaux, j’espère qu’t’attendais pas un signal (oh, oh, oh)
j’monte dans les clio, les vaisseaux, lumières des gyro’ sur le visage (oh, oh)
j’rêve de m’envoler, ‘ler, ‘ler, ‘ler, ‘ler

[freeze corleone]
s/o two~two, j’ai les katas (gang, gang, gang)
cons’ v’là d’essence comme les tatas, j’ai les données, j’ai les data (ah)
négro, faut les dineros et les platas, des gle pour les tontons et tatas (sku)
sur la prod’ comme sonic (nion), ils existent plus comme les sonics (eh, eh)
quoiqu’il arrive, j’reste solide, trop k!llu, ils ont eu peur de m’signer chez sony
triangle sur les polos (han), cain~cain comme les low~low, c’est des fufus, prêts à tout pour des follows (ftt, ftt)
j’les blesse mais j’essaie d’y aller mollo (ouais), à propos d’la verte comme si j’suis écolo
prof chen, j’ai les potions (han), complot depuis très jeune, négro, j’ai les notions (ekip)
travail, dévotion, et j’ai les blindages juste par précaution
il m’faut un comptable comme dans ozark, s/o zuukou, des arbalètes et des gros arcs (paw)
50~50 pour les dosages, dans la lignée des malcolm et des rosa (han)
aqua dans le x4 négro, ça en a fait du chemin depuis le eastpak (pétasse)
maintenant, 16 barres égalent 10 stacks, trois points ou dans la peinture
[refrain] x2
tous les jours, c’est le fuego, c’est comme si on jouait la finale (oh, oh)
ce soir, j’ai coupé mes réseaux, j’espère qu’t’attendais pas un signal (oh, oh, oh)
j’monte dans les clio, les vaisseaux, lumières des gyro’ sur le visage (oh, oh)
j’rêve de m’envoler, ‘ler, ‘ler, ‘ler, ‘ler

[ninho]
réalité, sans tabou, sans théâtre, le malheur des uns fait le bonheur des autres
paranoïaque, trahi par un apôtre, paranoïaque, trahi par un apôtre
tant mieux si tu vas dans l’même sens (même sens), j’remonte à bord du rs6 (rs6)
elle veut profiter d’mon succès récent (récent), elle est vicieuse, elle est coquine (nan)
j’rallume le doré, j’suis pensif mais c’est plan sous avant plan sses~fe (sses~fe)
les yeux plissés sous les glasses (glasses), les grands hommes font des grandes œuvres (grandes œuvres)
on dort tard, on dort peu, donc on est cernés (cernés), on finira parmi les lleurs~mei (lleurs~mei)
de loin, les portes avaient l’air fermées (bin~bin~bin~bin~bin~bin~binks)
la haine se transforme en dalle, la dalle se transforme en réussite
j’casse sans peine mais des fois, j’ai mal, un peu gêné, y a tout l’monde qui me félicite
et higo gang m’a dit : “coffre, bosse, vis comme un pauvre, ne montre pas ta richesse
on f’ra les beaux, quand y aura plus rien à faire”
les condés ont cramé la plaque, j’arrive à 240, un flash, une cigarette (eh)
tout seul, j’remonte la pente (eh) et quand j’s’rai tout en haut, j’f’rai grimper toute la bande (bande)
t’inquiète, on sait c’qu’on vaut (vaut), t’inquiète, on sait c’qu’on veut (veut)
pas besoin d’sucer des goro (non, non, non, non, binks), pas besoin d’sucer des goro

[refrain] x2
tous les jours, c’est le fuego, c’est comme si on jouait la finale (oh, oh)
ce soir, j’ai coupé mes réseaux, j’espère qu’t’attendais pas un signal (oh, oh, oh)
j’monte dans les clio, les vaisseaux, lumières des gyro’ sur le visage (oh, oh)
j’rêve de m’envoler, ‘ler, ‘ler, ‘ler, ‘ler
[freeze corleone]
j’les mets d’accord avec deux barres, quand j’ferme les yeux, j’vois des e avec deux barres (cash)
j’peux faire quatre parts avec deux parts (han), s/o le roi, 500 nègres avec deux bars (gg)
chen laden dans l’complot depuis les deux tours (pah)
avance, deux tours, de retour comme gandalf dans les deux tours (sku)
la famille et l’or comme un gitan (han), que j’graille des mc, j’me sens comme un titan (eh, eh, pétasse)
k!llu’ à vie, négro, c’est pas un mi~temps (nan)
dans l’milieu comme lothar (han), quand tu t’réveilles, c’est trop tard (pah)
s/o papinoh street négro, des fois, j’y vais tout droit comme un motard (sku)
j’les blesse, sans stress (aucun), ils ont cru qu’j’étais maxé (haha)
y a qu’vers les dough qu’j’suis axé (cash), à la fin du plan, toute l’équipe est racksée (cash)
nègre (cash) solitaire (han), déter’, s/o à bagdaad (ekip)
négro, chaque jour, f~ck la famille bush en entier comme à bagdad (ekip)

[timal]
depuis l’époque, ça gère, j’vois que les blocs, sa mère (brr, brr, brr)
j’vois que les porcs s’amènent, cagoulé pour l’salaire
je rêve de m’envoler, ~er, ~er, car les enquêtes sont menées
j’remets la gomme (paw), j’te vends la dose, t’inquiète, ça va aller, ~er, ~er (paw, paw)
là, j’suis au total, faut mettre du coco, on fait la route (bah ouais)
quand ça prend les dos d’ânes, on est loin des bagages posés dans la soute (eh, eh, tu l’sais, hein)
j’ai des vrais amis, t’inquiète, on est soudés, ils font à bouffer, pilon renouvelé
des chiens qui reniflent, belek les keufs déguisent

[pré~refrain]
cette semaine, c’est tendu (cette semaine, c’est tendu)
le charbonneur s’est fait péter (le charbonneur s’est fait péter)
petit, est~ce que t’as bien entendu ? (est~ce que t’as bien entendu ?)
l’histoire fait que d’se répéter (l’histoire fait que d’se répéter)
[refrain]
tous les jours, c’est le fuego, c’est comme si on jouait la finale (oh, oh)
ce soir, j’ai coupé mes réseaux, j’espère qu’t’attendais pas un signal (oh, oh, oh)
j’monte dans les clio, les vaisseaux, lumières des gyro’ sur le visage (oh, oh)
j’rêve de m’envoler, ‘ler, ‘ler, ‘ler, ‘ler
tous les jours, c’est le fuego, c’est comme si on jouait la finale (oh, oh)
ce soir, j’ai coupé mes réseaux, j’espère qu’t’attendais pas un signal (oh, oh, oh)
j’monte dans les clio, les vaisseaux, lumières des gyro’ sur le visage (oh, oh)
j’rêve de m’envoler, ‘ler, ‘ler, ‘ler, ‘ler

[outro]
tous les jours, c’est le fuego, c’est comme si on jouait la finale (oh, oh)
ce soir, j’ai coupé mes réseaux, j’espère qu’t’attendais pas un signal (oh, oh, oh)
j’monte dans les clio, les vaisseaux, lumières des gyro’ sur le visage (oh, oh)
j’rêve de m’envoler, ‘ler, ‘ler, ‘ler, ‘ler (oh, oh, oh)

- lirik lagu timal

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