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lirik lagu the shin sekai - dévergondé

[refrain : dadju]
bienvenue dans les coins sombres où les mineurs sont dévergondés
où les rails de c0ke guident les pet-ts frères qu’ont laissés tomber
wake up, six du mat’, réveil forcé : descente des condés
suffit d’une balle perdue pour tout éteindre, l’ambiance est plombée
bienvenue dans les coins sombres où les mineurs sont dévergondés
où les rails de c0ke guident les pet-ts frères qu’ont laissés tomber
wake up, six du mat’, réveil forcé : descente des condés
suffit d’une balle perdue pour tout éteindre, l’ambiance est plombée

[couplet 1 : abou2being]
une vie d’humeur à couper du kickeur, mes rêves sont tes cauchemars
droiture, stupeur, honneur, fureur : j’garde mes principes au shtar
j’sens qu’j’ai l’avis d’un hôte, et pas la vie d’un autre monde, l’démon bouffe mes entrailles
si mon glock s’enraille, et que je loupe tes kheys, direct, j’sors ma lame, les entaille
j’viens pas pour faire des détails, rafaler le bétail
té-ma’ : ma concurrence t’épate aie, j’bouge mes pions, remporte la bataille
de l’encre sur les lèvres, du sang sur le glaive, du bif’ dans les rêves, c’est nous la relève
toujours francs et brefs, ils gonflent on les crève, l’inst-tut, shin sekaï : mauvais élèves

[couplet 2 : insolent]
c’est l’kerlouch qu’écoute pas, à la barre, j’suis coupable
en france, ça pue la merde : j’ai l’impression d’vivre dans un trou d’balle
pour nous, les portes sont fermées même si on est bien élevés
même en costard lv, ces bâtards nous recrutent pas
c’est inso’ : le découpeur (igo) ramène-moi ton senseï, je le décapite
tu peux me follow sur twitter, j’suis un mec de la street avant d’être un putain d’artiste
wati b en force, l’inst-tut frappe pour de vrai, j’vais pas t’mentir
mc, j’peux pas t’sentir, f-ck you, ainsi soit-il

[couplet 3 : john k]
oui, ça m’arrive de faire des couplets gores pendant que certains font des portées d’porcs
engraissé par le budget, plus besoin d’effort, besoin d’être [en bien?] dans la boîte à métaph0r-s
désormais, j’vais opérer, marre de m’endetter, john k n’a plus le time, il bombarde sur voie ferrée
bâtard, tu vas plaider, tu vas voir c’que ça fait d’être pressé de baisser culotte pour un pv
mais dis-moi comment prendre du recul, quand t’es en r-t-rd : il faut qu’t’avances, les minutes s’gâtent, les années p-ssent, et ça fait trop d’temps qu’on attend
derrière, les kho sont pas contents cette année j’p-sse ton compte en banque, mais qu’est-ce qu’tu m’parles du nouvelle ère ? négro, j’pollue depuis la naissance
bâtard, si j’me fais du mal et me salis, c’est pour sortir maman d’la h-ss et pour ne pas finir, un jour, là-bas, au placard
si t’entends mon son dans les ondes, handek, je vais découper des mc, il y a du sang dans les bacs

[couplet 4 : dadju]
toujours posé là où tu n’m’attends pas, ne parle pas d’oim’, j’suis à cent pas
derrière moi, c’est les cadavres qui s’ent-ssent, devant moi, les futures cibles fantasment
tu rêves de devenir miley cyrus, dès qu’il s’pointe, tu smile et cé-us’
pour du blé, tu l’laisses planter sa putain d’graine dans ton utérus
dire que mon addiction me dicte ma duite-con en comptant mes combats, on m’compare à king kong
pour combler le comble, j’dirais qu’on devrait comprimer le game dans des conteneurs contenant des consoles
t’es content ? ça kick comme t’aimes tant, f-ck les : “le rap, c’était beaucoup mieux dans l’temps”
oui, devenir une étoile, c’est tentant, donne-nous nos putains d’disques, t’entends ?

[refrain : dadju]
bienvenue dans les coins sombres où les mineurs sont dévergondés
où les rails de c0ke guident les pet-ts frères qu’ont laissés tomber
wake up, six du mat’, réveil forcé : descente des condés
suffit d’une balle perdue pour tout éteindre, l’ambiance est plombée
bienvenue dans les coins sombres où les mineurs sont dévergondés (ahaa)
où les rails de c0ke guident les pet-ts frères qu’ont laissés tomber (ahaa)
wake up, six du mat’, réveil forcé : descente des condés
suffit d’une balle perdue pour tout éteindre, l’ambiance est plombée (wa)

[couplet 5 : abou tall]
je suis ce jeune bamboula dans paris centre ah, j’y ai fait les cent pas
épié et admiré par tous mes semblables, j’suis le best et point barre
connard, raconte donc ton vécu qu’on s’marre, les t-ts-pe peuvent te décapiter pour cent balles
tu peux m’voir sé-po’ juste à côté des sans-fafs, p-sse après minuit si tu veux de la sens-ss’
j’ent-sse les victoires, je fais peu d’efforts, j’ai la vibe, j’ai la cl-sse, j’ai le fond, la forme
mon gava, ta pét-sse veut mon téléphone, “j’appelle dadj et j’me c-sse” : bon dieu qu’elle est conne
j’fais tout ça pour le cash, j’suis pas bénévole, j’fuis la hess, c’est pourquoi, gros, j’en veux des tonnes
je n’sais pas si je p-sserai, mais j’me c-sse sans un blâme un peu comme si tall arrêtait l’école
si seulement l’ambiance était “si, si, la famille”, ici, ça surine et ça s’en vante sans soucis
j’supplie le seigneur pour m’en aller sans souffrir, je subis vos mots comme un film chinois sans sous-t-tre
sans mentir, je ne veux pas qu’on me ralentisse, je ne vaincrai jamais sans les sacrifices
shin sekaï, wati b, ist : t’as compris, tu ne taperas jamais plus fort qu’on fera, pet-t, tall

- lirik lagu the shin sekai

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