lirik lagu $ten (fr) - visage
(pré~refrain)
dans la fumée, j’vois plus ton visage
et t’es cornes, rouges
dévoile~moi tout, plus rien m’étonne
ou
tu préfères ne pas assumer, garder ton image de sainte
t’en as eu pleins, mais moi j’connais ce genre de feintes
(refrain)
dans le mirage
j’attend que tu rappelles
ton visage souriant en guise de rappel
la réalité, c’est que ta toxicité m’appelle, et je n’cesse de répondre, cesse de répondre, cesse de ré~
(couplet 1)
(ré)~vasser, trop de pots cassés, les fleurs ont fanés ton corps n’a plus aucune saveur, je sais
j’y ai trop goûté
routine s’installe, mais entre nous c’est pas stable
cesse d’y penser, tant qu’tu peux encore t’blottir entre ses eins~s pales
que va~t~on devenir, c’est c’que j’me demande tout le soirs
on diffère dans tout domaine, mais on s’attire sans i’vouloir, yah
elle est loin, l’époque où j’grattait des clopes, aux passants
j’me bute au scans de boy’s abyss, elle sur du guy de maupassant, mais oh
(pont)
trop de dopamine on sécrète
fume la zaza, sans effet
pour moi ça n’a plus d’secret
y’a que moi qui t’c~n~lise
saute à pieds joints dans l’abysse, tu sais très bien, que le bonheur, viendra après toute la douleur
trop de dopamine on sécrète, yeah, fume la zaza, sans effet
pour moi ça n’a plus d’secret
y’a que moi qui t’c~n~lise
saute à pieds joints dans l’abysse, tu sais très bien, que le bonheur, viendra après toute la douleur, han
(pré~refrain)
dans la fumée, j’vois plus ton visage
et t’es cornes
rouges
dévoile~moi tout, plus rien m’étonne, ou
tu préfères ne pas assumer, garder ton image de sainte
t’en as eu pleins, mais moi j’connais ce genre de feintes
(refrain)
dans le mirage
j’attend que tu rappelles
ton visage souriant en guise de rappel
la réalité, c’est que ta toxicité m’appelle, et je n’cesse de répondre
cesse de répondre
cesse de répondre
(pont)
.
.
.
.
.
(couplet 2)
dévastée, elle s’enquille, la tise
les sé~quelles, les traumatismes
on perd du temps à être triste
je perds mon b~tch avec des b~tch, han
sous la lune, je m’allume une garo, mélancolie, me prends, elle dit allô
je bois et je bois comme si c’était de l’eau
un goût immonde, mais ça calme mes maux
froid comme l’hiver, pense aux ilets~bi, dark
la pilon met des tartes, wah, foncedé je me fous que la porte claque
trop d’égo
pour la rapp’ler
tu captes
la pilon met des tartes, wah, foncedé je me fous que la porte claque
trop d’égo
pour la rapp’ler, tu captes
trop d’égo
pour la rapp’ler
tu captes
(pré~refrain)
dans la fumée, j’vois plus ton visage
et t’es cornes
rouges
dévoile~moi tout, plus rien m’étonne, ou
tu préfères ne pas assumer, garder ton image de sainte
t’en as eu pleins, mais moi j’connais ce genre de feintes
(refrain)
dans le mirage
j’attend que tu rappelles
ton visage souriant en guise de rappel
la réalité, c’est que ta toxicité m’appelle, et je
n’cesse de répondre
cesse de répondre
cesse de répondre
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