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lirik lagu swift guad - poignée de punchlines 2.0

[paroles de “poignée de punchlines 2.0”]

[intro]
il était une fois un homme qui avait de belles maisons à la ville et à la campagne, de la vaisselle d’or et d’argent, des meubles en broderie et des carrosses tout dorés. mais par malheur, cet homme avait la barbe bleue. cela le rendait si laid et si terrible, qu’il n’était ni femme, ni fille, qui ne s’enfuit de devant lui

[couplet 1]
tu m’as souvent vu boire une ‘teille, quand j’suis fonce~dé, j’me crois l’plus fort
j’m’autoproclamais roi du game, dans ma tête y a un quatuor
j’ai trois symptômes, c’est moi l’syndrome, j’vaux pas un sou même pas un chrome
même la tête à l’envers, je reste le même comme un palindrome
les gens s’affolent, les pensées fanent, le jus est rangé dans sa fiole
ça s’bouscule dans mon encéphale, y a personne pour me tendre la pogne
une trans aphone fait pendre la corde, j’me demande qui rendra gorge
ils vendent la mort, j’fais tant d’accords, c’est mauvaise herbe et mandragore
t’étais mieux avant, j’te préférais quand t’étais triste
si t’as un mental de gagnant, on t’aime que quand t’es défaitiste
y en a qui testent, à un moment fallait qu’ça sorte
j’voulais pas faire un manifeste mais j’suis plus froid qu’le permafrost
mon enfer, c’est ton paradise, c’est d’la bonne de bolivie
j’me suis perdu dans la bataille comme le lobe de holyfield
le narvalo se storyfie, le bataillon se bonifie
c’est ta daronne que j’horrifie, j’me pharaonne, j’me momifie
j’vois tout en négatif, brisé comme la céramique
j’fais t’jours des sons, j’les décapite, j’ai p’t~être besoin d’un sédatif
moi j’voulais faire un méga biff, du moins, j’voulais faire la diff’
rouler un jour en ferrari au lieu d’avoir les nerfs à vif
on opère, cons d’vos mères
appelle~moi astroman, j’suis souvent dans la controverse
j’attends que passe l’orage en bédavant un bon gros pers’
j’suis dans la pastorale, la musique, c’est mon fond d’commerce
[pont 1]
voilà, lui dit~il, les clés des deux grands garde~meubles : celle des cassettes où sont mes pierreries, et voilà le passe~partout de tous les appartements. ouvrez tout, allez partout mais pour ce petit cabinet, je vous défends d’y entrer et je vous le défends de telle sorte que s’il vous arrive de l’ouvrir, il n’y a rien que vous ne deviez attendre de ma colère

[couplet 2]
pour toutes ces sous~putassiers qui font des supputations
moi, j’aurais tout pu m’acheter, tombé du cul du camion
le schmitt a bu du rouge et déclare qu’il a vu du marron
appelle tes potes car t’es qu’un gros chie~d’ssus qui pue du cal’çon
et j’veux des clavecins, absinthes et tasses~pé
y a pas d’saints, ça s’p’asse bien, des plans a, des faces b
j’ai l’mental dévasté depuis l’époque du minitel
j’ressemble à un mort, un peu comme trippie redd
et j’vagabonde qu’avec des bons gavas
pendant qu’le schmitt prend 1 500 en trois~quatre rondes parce qu’il est bon qu’à ça
j’ai eu des parents déclassés, jamais dans vos classes a, une maman dépassée, un hall glacial, les diamants d’bokassa
et j’vagabonde avec mes macchabées (yah)
symphonie macabre et j’mange la poussière comme un scarabée
on a tous une tête de bite, le goût d’la vie j’me tue avec
tu dis qu’tu veux pas faire le feat et j’t’entends jouer d’la flûte à bec
cause trauma, cause trop mal, j’bédave trop d’chocolat
j’fais gicler sauce tomate, j’n’écris qu’des bonnes sonates
caricature~moi, j’suis l’plus fort comme l’a dit ali cassius
j’encule amadeus, passe~moi les housses, d’la stradivarius
valeurs faussées, moi, j’suis un dancehall crooner
j’suis un mélange entre keyser söze et sheldon cooper
à p’tit feu, la plaine désertique, c’est elle qui crame nos veaus~cer
c’est long comme une chaise électrique branchée sur les panneaux solaires
[refrain]
poignée de punchline, c’est la 2.0
parce que je viens des halls, parce que j’ai faim j’ai faux
ici~bas, le fils de pute devient héros
parce que moi, je suis le plus, le moins, l’zéro
c’est la poignée de punchline, c’est la 2.0
parce que j’ai faim, j’ai faux, parce que je viens des halls
ici~bas, le fils de pute devient héros
al’tarba, on est le plus, le moins, l’zéro

[pont 2]
les voisines et les bonnes amies n’attendirent pas qu’on les envoya quérir pour aller chez la jeune mariée, tant elles avaient impatience de voir toutes les richesses de cette maison, n’ayant osé y venir pendant qu’le mari y était, à cause de sa barbe bleue qui leur faisait si peur. elles ne cessaient d’exagérer et d’envier le bonheur de leur amie, qui cependant ne se divertissait point à voir toutes ces richesses à cause de l’impatience qu’elle avait d’aller ouvrir le cabinet de l’appartement bas…

[couplet 3]
j’me casse la tête au casse~noisette, des doubles croches et blanches pointées
les trois fois sept, james street finissent avec la hanche coincée
si tu m’demandes de faire tourner, sache que moi, j’le fume en entier
ils ont l’boulard ensanglanté car j’leur fous ma flûte enchantée
pour la [?], pour mes p’tits coquins, la rime est ‘stoc, j’suis frédéric chopin
didier rostip, je crois qu’c’est lui l’prochain, j’suis un hérétique depuis félix potin
c’est la goutte d’eau, fais pas l’fou, no, depuis l’départ, j’prépare fourneaux
un big up à dépar uno, je touche le fond, c’est moi cousteau
j’pète les plombs la faute d’la beuh, un verre, une solution aqueuse
j’les nique sur un piano à queue, j’respire une pollution gazeuse
j’ai perdu toutes mes partitions, celles que j’ai connu sont crasseuses
honte à ceux qui m’font d’la peine, honte à ces putes contagieuses
j’remonte la pente et puis dans mes p’tits yeux, tu pourras constater que le sang est visqueux
demande à al’ si le sample est vicieux, on veut faire de la maille à la andré rieux
qu’est~c’que je f’ rai quand je serai vieux ? je toucherai ma retraite et vendrai des dix eu’
on est r’partis sur un volume 2, baise la mère patrie et ses costumes bleus
[pont 3]
d’abord, elle ne vit rien, parce que les fenêtres étaient fermées. après quelques moments, elle commença à voir que le plancher était tout couvert de sang caillé et que dans ce sang se miraient les corps de plusieurs femmes mortes, et attachées le long des murs. c’étaient toutes les femmes que la barbe bleue avait épousé, et qu’il avait égorgé, l’une après l’autre

[couplet 4]
j’ai préparé mon come~back et j’finirai sourd comme bach
une bonne claque qui fait des femmes fontaines avec des hommes flaques
les frustrés font des parents tristes pendant qu’mes valeurs s’agrandissent
t’auras beau t’manger soixante fists ou encaisser ton argent suisse
ça va t’déboucher les sinus, t’as l’boule de miley cyrus
j’suis dans ton colis amazon, appelle~moi chinese virus
appelle~moi tony mascarpone, respire du gaz carbonique
c’est d’la bonne que les lascars donnent, j’suis dans ma classe favorite
c’est pas une porsche, l’endroit où j’vis r’ssemble à une porcherie
pour ed cherry, on a les crocs, les griffes de wolverine
y a aucun air qu’est pur et pas d’environs verisure
c’est sûr qu’c’est pas un bénitier, ta chatte, c’est comme un pédiluve
mes gens provoquent le réchauffement, mes dents connaissent le déchauss~m~nt
le bédo s’vend comment faire autrement que d’être un négro blanc
j’te descends comme un bon p’tit shot, y a plus rien qui peut m’rendre jeune
face au moulin, j’suis don quichotte et tant qu’je vis, j’dis “dankeschön”

[pont 4]
yah, comment tu trouves cette poignée d’punchlines ?
a.k.a strauss khan, 93 octave
yah, j’ai pas perdu le goût d’vivre
a.k.a ludwig, j’panse mes plaies à l’eau d’vie

[outro]
la barbe bleue l’ayant considérée dit à sa femme :
~ pourquoi y a~t~il du sang sur cette clé ?
~ je n’en sais rien, répondit la pauvre femme, plus pâle que la mort
~ vous n’en savez rien ? reprit la barbe bleue, je le sais bien, moi. vous avez voulu entrer dans l’cabinet. eh bien madame, vous y entrerez et irez prendre votre place auprès des dames que vous y avez vues”

- lirik lagu swift guad

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