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lirik lagu sundaze - ils nous mentent

ils nous mentent lyrics
t’adhères des deux côtés comme un scotch double face
croupier corrompu mais dans la poche double as
ils nous mentent, ils nous mentent, ils nous mentent
ouais ils nous mentent, ils nous mentent, ils nous mentent

de fil en aiguille j’voudrais m’sapper en haute couture
et, j’défie la nuit, quand g té~fri la weed
boy on a pris trop d’coups durs
bah ouais, au dessus des nuages dans un jumbo jet
les vieux tournent aux douze ans d’âge et les jeunes au gеt
gagner ou corrompre, c’est lеurs alternatives
derrière le blé nous courrons, l’état maltraite ma team
j’débarque sur eux comme une radio pirate
ils sont à la barre du paquebot, nous c’est radeaux~pirogues
donne~moi une prod j’te lâcherai 3 romans
j’ai trop d’idées pour croire au manque
les pieds sur terre pendant l’tremblement
la parole puis l’étranglement
on avait dit qu’on enterrait la hache de guerre
mais dans tes rêves la rage te guette
ils sont passifs quand j’arrache le game
dans ma bre~ch à la mac demarco
les vices veulent nous pister, j’en ai ma claque, démarre gros
il faut tirer l’meilleur du pire mais j’ai enrayer l’canon
merde, j’vais d’voir en rayer l’cas nan?
les grandes enseignes, pull~up au diner ‘vec du sang sur les mains
et si l’silence valait de l’or, ils voudraient censure les moines
artistes ou camés tout l’monde à ses lignes de fuite
ves~qui les 3.8, c’est presque un délit de fuite
j’vais pas changer, devant la camera
dans l’pe~ra la bonne came est rare
un homme d’honneur comme kad merad
si t’adhères c’est qu’tu captes mes rhymes
on court à pied, quand y sont, dans leur carrera~rrera
c sdz et g~lab ça fait kamehameha
faut remplir l’armoire comme la carrière à evra
merde, est~ce que leur barrière m’arrêtera?
j’met la main à la pâte, frérot, j’suis ambidextre
nargué avec c’que t’as pas, sois celui qu’t’a envie d’être
ils appuient sur l’détonateur, nous on va s’enterrer dans l’son
veulent faire croire qu’des dettes on a peur, on l’fera sans tes rédemptions
et j’m’en bâts les illeu~c, si on accède au sommet
j’descends l’a7 au soleil, j’compte les hommes, et la j’cède au sommeil
t’adhères des deux côtés comme un scotch double face
croupier corrompu mais dans la poche double as
ils nous mentent, ils nous mentent, ils nous mentent
ouais ils nous mentent, ils nous mentent, ils nous mentent

on peut voir la en vie rose qu’avec des verres teintés
tous les jours j’pense au plan faut pas s’faire feinter
et vers 20h j’entends du mytho à la pelle
donc j’crois la vérité réponds plus trop a l’appel
j’ai traîné dans tout bériz en écoutant double hélice
on fait nos bails on peut pas ves~qui tous les vices (nan)
mais j’fais pas l’mec qui vends et coupe les 10
puis qui lâche des couplets lisses
pour entrer toutes playlists (ça s’rait triste)
gros j’ai écris tous mes textes assis d’vant mon bureau crade
on voit des junkies, des jeunes qui passent de la pure au crack
dis moi qui sont les voyous? et que sont les bureaucrates?
parce qu’il y’a ceux qui s’tuent au taff et y’a ceux qui tuent au taff
bientôt on notera les gens c’est presque un monde dystopique
mais ma tête va pas gonfler pas comme le compte distrokid
certains changent dès qu’y’a monnaie a l’échange (ah ouais?)
et s’agenouillent si l’offre est alléchante (oh non)
j’assure les buts comme agüero en attaque
arrosons les pédos au napalm ou avec bombes du jet~pro manhattan
en attendant il gagnent les césars ou la palme (quoi?)
donc j’crois qu’la justice y’en a pas
duralex, mais pas pour ceux qui l’écrivent
ils ont tous commis des crimes
ou aiment les 2010 et on parle pas d’millésime
faut pas qu’ton attention dérive
j’vois qu’ces rapaces ont des griffes
mais c’est le vrai monde qu’on décrit
on associe souvent paname et rats morts
pendant qu’les politiques sont dans leur panamera noire
c’est difficile à concevoir, y’a des endroits y’a pas une tune
la misère on vit avec, pour eux c’est pas la mer à boire
donc on court tous
après le temps, l’bonheur, l’argent
mais dernièrement
on est plus bloqués dans la chambre
tu travailles pour t’endetter c’est bien t’es un charbonneur
mais chacun s’contente de sa merde et on appelle ça l’bonheur

- lirik lagu sundaze

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