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lirik lagu sopico - sirap

[intro]
j’ai la barrette, toi t’as parkinson
tu trembles à la barre, pire, dans les parkings
parce que ma team cogne
quand y’a la dalle j’me fais des tartines d’hommes
j’tire dans les starting-blocks
quand je k!ll j’garde quand même ma répartie
stop, y’a trop d’écart, p’t-t, entre les riches, les pauvres
c’est reparti, on s’déchire les paumes, ça provoque l’arthrite
donc on effrite des jaunes ou verts, han, c’est toujours bavon
pour ça qu’j’évite les faux, nan, j’veux pas mourir la gueule ouverte

[couplet]
j’ai plus d’mille défauts, ma ville est avide, j’habille les larrons
avec mon lexique de fauve des montagnes, kabyle, j’te mets la honte
nan, j’rappe pas par défaut, pak pak, cultive des marrons chauds
et tout genre de choses, tac tac, j’vi-ser un daron chauve
j’ferai pas un astrac, frérot, ma musique tab-sse
provoque des coulées marrons, l’18ème part à l’attaque
personne écoute les [clarons ?], personne évitera la claque
j’veux pas d’la vie d’un macaque, t’es comme un boloss dans ma cl-sse
j’rappe pas pour la monnaie, pour mes collègues gars
meufs siliconées, renégats qui fument le pollen
prenez garde, j’ai fait mes grades, donné des baffes aux fils de poneys
quand je débarque t’enfiles le collier, j’tapais des barres, mon p’t-t tu connais
quand je lais-par à ceux qui prônaient
dès le départ des bêtes de sommes
alors qu’leur bail n’est que d’picoler
j’prends de l’écart, t’-ssure qu’on sonne
j’ai tout mon temps pour gratter des phases qui consolent
construire les maquettes types
juste avant qu’ces b-tch -ss ne les effacent
j’leur donnerai la testi’
j’m’échappe, taille à chaque mesure j’attaque
le fils de swagg man lâche un 4 contre les chattes crades
pendant qu’ça crame à marx do’, le mojo tab-sse
j’ai une flèche dans la jambe, il faut qu’j’prévienne mon réseau tapage
t’as pas l’choix vu qu’on a l’chanvre dans la chambre
ouais, c’est l’équipe de nuit
la super tate-pa menaçante, c’est pas moi qui t’l’ai mise
j’en ai marre d’tous ces tralala, j’veux pas la vie d’un ananas
si ta nana veut ma nana dans c’cas là c’est qu’t’es pas là, man
elle n’esquivera pas l’alarme après qu’j’la percute
voici la différence : ici y’a qu’des vrais rappeurs, chut
des vagues et des vapeurs d’putes, micro-mic’ fédérateur
quand même y’a des gratteurs d’flûte lorsque j’técla un blunt pur
cela semble être de bonne augure, sans dec’
xxx sur l’hôtel si jamais t’as ma prose au cul
des femmes matures qui vendent s-xe, toutes les daronnes s’inquiètent
elles ont peur de perdre la boule comme le cavalier sans tête
han, sopico s’endette, j’peux pas cavaler sans iep
si j’ai avalé 100 verres sans m’faire mal
les frères qu’on enferme, j’les vois plus et c’est infernal
alors qu’on s’disait bien qu’on finirait par faire mal
et l’envers du décors est triste, on contrôle pas la mort des fistons
révise la notice et un autre type te donne des frissons
des rappeurs comme des buissons : partout près des parcs
mais mate les cuisses, mon 18ème c’est dead dès le départ
moi j’me baladais sous tize dans mes jeunes années, souvent c’était gore
c’était que d’la skunk, nous on fumait pas trop des bouts d’écorce
j’ai vécu des supplices, des histoires de fou quand j’étais gosse
regarde, maintenant j’suis peace et c’est un peu comme si j’étais gore
xxx nique la chorale, c’est l’rap du frère à borat
d’jà au kalash ça xxx, attends, je suis l’caporal, grand
j’imite un peu rahan, j’suis quelqu’un d’moral
j’m’en bats les couilles qu’ça xxx l’camp, j’nique l’électoral plan
j’sais bien qu’oralement, beaucoup d’mcs font des bails profanes
c’est pour ça qu’j’allais pas trop aux cours d’allemand
et si j’y allais pas, même si j’ai pas l’xxx
ça lé-par quand même, alors j’fais mes bails à l’écart
on sait déjà qu’on mène, demande à say, georgio, man
nous on t’égorge au mic’, ouais, c’est pas des claques qu’on met
l’18ème l’école, p.l.c. j’décolle, si t’as pas écouté, essaie
tu vas t’prendre un coup d’hugo tsr
la vérité elle sert, demande à say, y’en a qu’ont pas de mandat cash
et d’autres qui rêvent du monde à 4 pattes, de plans macabres
j’ai un encre dans ma cave, prêt à l’utilisation
que j’fertilise un son pur pour la civilisation
mais y’a trop d’traîtres sur ma planète, ils s’enjaillent entre eux
moi j’ai d’la frappe sur ma planète et dans l’canon de beuh
avoir la technique de ka’ wapalek, pas d’bum-al honteux
que du jus d’bagarre dans la canette, c’est ça l’bail mon pet-t
mon quartier peut tirer, c’est une évidence
mais viens rapper, kho, tu verras qu’à bès-bar, même les filles dansent
balance un cke-sti, le hip hop ma vie a investi
pour ne pas qu’chavire l’navire ou ne pas qu’il devienne un vestige
j’caceded aux braves d’estime, yo pas aux travestis
ma veste est cloutée, j’la retourne ap, espèce d’imbécile

[outro]
parce que ce soir c’est rap et kho
y’a toutes les races mais kho
on kicke ça, retrouve-nous là poto, dégage des halls
frérot, y’a des gars, des go, des amateurs de bonne musique
je suis catégorique, tous les man et go
on n’a pas peur devant les gros rythmes
ici y’a des mcs tout keus qui ont des 16 de gorilles
thunes et go, pas l’ambiance des choristes
suis les go là où ça danse bien torride
pas sous les ponts si tes parents t’autorisent
qu’est-ce qu’on fout là ? on fait xxx
et quand on est plus là on s’extermine
nos rimes sont des cougars, les autres vermines
préparent nos coups, gars, on en termine
prêts à en découdre car y’a des bouts d’crack et ça s’termine

- lirik lagu sopico

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