lirik lagu so clock - champs terrestre
[couplet 1]
achevé par la flemme, aveuglé par la haine nan
l’amour est mort sauf qu’il s’est jeté par la fenêtre
j’taffe tous mes morceaux, je n’fais pas la fête, nan
j’ai mes bails à faire, j’essaye de faire ça parfaitement
qu’est-ce qu’il y a feign-sse ? reste, inhale des niax
j’le vis pour pas m’dire qu’c’était qu’un rêve inatteignable
quand on vendait la drogue, on pensait à tort
on s’rendait accro, dis-moi qu’est-ce qu’y’a d’génial ?
on rêve en hd, on veut du g sans hb
immature, on n’est même pas l’quart d’c’qu’on est en âge d’être
on n’apprend rien, on grandit plus, frère, on reste dans l’âge bête
fonce-dé dans la benz, on traîne, on est dans la dèche
en fait, on prend de l’âge, mais qu’est-ce qu’on branle là ?
j’aimerais comprendre, frérot, quand est-ce qu’on prend le large ?
j’aimerais visiter l’monde, l’explorer d’long en largeur
car j’ai trop fait l’tour du monde, de l’argent
ils voudraient qu’on vende l’héro, ils voudraient qu’on rende l’âme
y’a pas d’récompense zéro donc restons-en là
j’aimerais qu’on change les rôles, qu’ils voient leurs mères fondre en larmes
ici on s’défonce dans des halls, putain je rêve qu’on s’en aille
[refrain 1]
mais on m’dit : “khey, arrête de vivre dans tes rêves
on n’esquive pas le champ terrestre”
ici-bas le temps s’dérègle et le blizzard peut t’enterrer
le visage, les dents serrés, tu vis pas si tu manges les restes
le climat peut s’tempérer mais tu t’dois de prendre les rennes
[couplet 2]
quand j’vois ce monde c’est triste : plus d’quoi rire ou sourire
quand les hommes décident de qui doit vivre ou mourir
on s’fait jamais douter à croire qu’on sait pas réfléchir
j’ai jamais écouté les conseils d’arrêter l’sh-t
t’sais quoi, le chemin qu’ils me montrent j’veux bien le suivre
mais il m’fait noyer ma peine pour fuir ce monde
et j’me dis que si ce monde valait la peine j’aurais pas besoin d’le fuir
c’est tout c’que j’retiens de lui, j’te dis
ce monde ouais, j’m’y fais rarement
j’vois les choses différemment
j’vois de haut, j’vois les choses sidéralement
et j’peux pas profiter sagement
j’amorce des rimes pour qu’elles explosent littéralement
un beau discours peut pas contrer la fin du monde
la spirale englout-t tout, j’peux pas combler la faim du monstre
de tout-par on étouffe, on est tous paro
on sait tous qu’la terre tourne pas rond, regarde les quatre coins du monde
donc j’fume, regarde chaque soir la lune monter
me consume à p’t-t feu à chaque flamme qui rallume mon teh
chaque jour on s’tue un p’t-t peu, un tas d’marches à surmonter
juste besoin d’une feuille, j’m’évade chaque fois sur mon texte
et des idées germent de mes souhaits
y’a qu’sur une île déserte que j’peux échouer
y’a leurs idées d’merde que j’veux déjouer
j’prie l’eden, j’ai pris les dés, je veux les jouer
j’vais surmonter l’épreuve
j’avais un tas d’choses à m’prouver et j’ai su montrer les preuves
j’veux être ce type qui vit de lui-même mais l’homme a pris peur du ciel
j’aperçois si peu d’lumière sur c’monde ténébreux
[refrain 2]
mais khey, arrête de vivre dans tes rêves
on n’esquive pas le champ terrestre
ici-bas le temps s’dérègle et le blizzard peut t’enterrer
le visage, les dents serrés, tu vis pas si tu manges les restes
le climat peut s’tempérer mais tu t’dois de prendre les rennes
[couplet 3]
où qu’on aille ils veulent notre blé
pas d’t-tre de n0blesse, ils pillent les villes de nos bleds
pendant qu’au large de noé, ça coupe ton arbre de noël avec la hache de nos haines
plus de respect, plus de valeurs
plus de ténèbres, plus de chaleur
plus de pertes et plus de malheurs
plus de rêve, plus de respect, plus de valeurs
plus le reste, dur de rester sûr de la leur
les qi s’allègent, ça court pour des p’t-ts salaires
les p’t-ts s’détruisent à l’herbe, les p’t-tes ont les cuisses à l’air
“déprime, à l’aide”, c’est l’cri d’alerte de c’ui-ci
qu’écrit sa lettre de suicide et crie à l’aide, mais
l’monde continuera, dira : “qu’est-ce que t’as vécu vite !”
t’as dû vouloir répondre à la question : “est-ce que t’as vécu vide ?”
toi t’as vécu l’pire, d’autres parlaient juste d’aller plus vite
avant qu’ils traversent une vitre, la mort aborde un vécu vide
seul dans la même barque
on perce nos poches, le portefeuille vide
on perd nos proches, on porte le deuil vite
le temps n’s’arrête pas
des pans-m-nts le temps qu’ça s’répare
mais faut prévoir les changements, le temps s’arrête pas
on s’y fait jamais, nan on fait avec les jnouns
repense à l’époque où on les avait près d’nous
quand j’pense à mes proches, y’a même des jours
où j’ai prié le ciel à m’en érafler les genoux
et si tes gens te rendent digne, il s’rait temps de grandir donc…
[refrain 3]
khey, arrête de vivre dans tes rêves
on n’esquive pas le champ terrestre
ici-bas le temps s’dérègle et le blizzard peut t’enterrer
le visage, les dents serrés, tu vis pas si tu manges les restes
le climat peut s’tempérer mais tu t’dois de prendre les rennes
khey, arrête de vivre dans tes rêves
on n’esquive pas le champ terrestre
ici-bas le temps s’dérègle et le blizzard peut t’enterrer
le visage, les dents serrés, tu vis pas si tu manges les restes
le climat peut s’tempérer mais tu t’dois de prendre les rennes
khey
[outro]
mais tu t’dois de prendre les rennes, khey
mais tu t’dois de prendre les rennes, khey
mais tu t’dois de prendre les rennes
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