
lirik lagu sicario - i.a
[paroles de “ia” ft. sdm]
[intro : sdm & sicario]
ocho, ocho, ocho
gros c’est réel
683, 92i
212, africa gang
wa
[couplet 1 : sdm]
la rue on y passe tous, c’est une nymphomane
les schlagues ils y passent tous quand ils veulent [?]
on y reste mais t’sais à force gros, ça la fout mal
ça tire pas les fou~masses
le mauvais ne~jau qui rend fous les mecs
contrôle de porc, je leur réponds mal, tfou à tchourni~mèk
en doyen comme le roi de namek
bilay, rendent fous les mecs
ils mentent mais ils jurent sur la mecque
wow, une pensée pour mon peuple z
une autre pour bouna et zyed
je guette le ciel comme un yz
tonton veut un llet~bi, c’est pour son y3
moi je suis en nike mais je suis blindé, je suis un cheval de troie
toi tu fais le con pour qu’internet se souvienne de toi
un jour ou l’autre, tu le regretteras quand tes enfants se feront traiter (d’fils de)
ce que je te dis la gros, c’est une vérité
aujourd’hui sur maman je pose bijoux, diamants véritables (réel)
je suis fier de moi, je suis jamais passé sous la table
je suis resté sur de moi, un gros gamos, des étoiles sur le toit, regarde le ciel
[refrain : sdm]
à l’ombre on se lève pour le million
je me rapproche du soleil, je rêve du milliard
plein de valeurs qui se perdent pour le million
peu d’âmes sur huit milliards
mon meilleur poto, c’est une ia
éprouvé je vois mon cœur se séparer
dur de monter quand t’es seul, faut se préparer
capitaine de la ne~zo, faut se per~ta, pétard gé~char
[?] gra, gra
[couplet 2 : sicario]
depuis tout petit, à la fin préparée
la t’es cramé, nan j’te vois plus pareil
t’es comme une guitare qui s’enraille, faut [se séparer ?]
première obstacle, j’ai vu se tourner les vestes
sur une main je peux te compter les vrais
très loin de la tour eiffel, beaucoup de méfaits
pas trop d’amis, le refuge c’est les sous
dans le sous~sol, y’a des armes
dehors pas de soucis, pas de lézards
des arabes, des noires qui renflouent
et ça rend fou le raciste du coin qui me souhaite de brûler dans les flammes
et comme j’ai craché dans sa femme, la vérité, qui sait, je m’en fous
dans le bâtiment, tous les jours, j’récupère hall de toutes les tours
découpe les lourds pour les frères qui te coupent le tout, s’écoule le four
tu doutes le couz’, c’est le wa~ocho, ronaldinho gaúcho
dans la musique et d’autres choses, le ien~cli réclame l’autre dose
au pouvoir comme saddam juste avant qu’on me tuent
sur mes dix doigts, j’ai de la re~pu
je veux plus, public attends mon tube, dans petit cadran
et à l’heure de ta mort, ton thorax dans la mire
ouais c’est la merde, et tu peux rien faire à part niquer ta mère
[refrain : sdm]
à l’ombre on se lève pour le million
je me rapproche du soleil, je rêve du milliard
plein de valeurs qui se perdent pour le million
peu d’âmes sur huit milliards
mon meilleur poto, c’est une ia
éprouvé je vois mon cœur se séparer
dur de monter quand t’es seul, faut se préparer
capitaine de la ne~zo, faut se per~ta, pétard gé~char
[?] gra, gra
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