lirik lagu shado (fra) - sablier à l’horizontal [bonus]
(what is man ? where does he come from ? what is it that drives him ? then what ultimateley, is his purpose ?)
j’ai contemplé le vice de mes addictions
pendant 8 années
d’verte et de tise j’me contentais, je vivais dans ma fiction
de ma vie fané
mais là c’est fini, j’ai tourné la page
j’reviens aux sources, proche de la nature comme un apache
j’vis tout au feeling, j’ai découpé la cage, pour une âme pure, la clef c’est pas l’cash
il manquait un truc, j’ai rajouté l’nappage
on est que passagers
j’suis tel mahal~taj
viens pas dans les eaux troub’ si tu sais pas nager
j’ai sorti l’bolide d’la casse
et mon âme je l’ai décadenassé
je vise la sagesse, j’affronte ma rage, j’m’en suis débarassé
sans mentir, dans l’passé, j’m’attachais
j’fais sortir la partie d’moi qu’j’cachais au fond d’mon êt’
mon esprit, tout mon temps, j’ai passé à l’tâcher
à m’crasher, on s’pare~sé faut qu’on s’complète
j’prends une bouffée d’air
dans la nuit un d’mes anges m’a parlé, m’propose d’entrer
dans une nouvelle ère
mon ancienne version elle a kané qu’elle repose en paix
j’pose mes couilles sur la tab’
j’ai repris l’sport, tema les coups d’ma tech’
c’est d’la haute couture, ma came
le temps il s’tord, j’suis vrai, man écoutes ma tape
mon ego sur le té~c
des abymes j’sors, devines les coûts d’la taxe
j’gagn’rais à coup sûr, j’te ken
j’ai la mine d’or, il le fallait pour qu’j’attaque
j’comprends pas c’que tu racav’
tu dis que tu sors l’ak
j’gratte des putain d’rimes sur un air macabre
j’suis vif comme un huracan
j’suis pas dans les fait divers
on tenait les murs à quat’
et dans mon cœur c’est comme quand c’est l’hiver
bah ouais, c’est vide comme une ue~r à cannes
l’herbe est plus verte ici qu’ailleurs, ailleurs c’est le vide et dans l’de~vi il caille
26 ans dans la salle du tem~emps, j’ai trouvé le sen~ens, sablier à l’horizontal
le me~cal j’le trouve en tailleur, chaleur je la need, elle ne réside dans maille
elle n’est que dans l’instant présen~ent, je laisse toutes mes pen~ensées s’lier, ça nourrit mon âme
les devises ça ramène que du plaisir
et c’est pas dans l’plaisir que j’trouv’rais la paix
ouais le ris’, c’est d’croire que c’que tu désires
c’est ce qui te fait vivre, j’ouvrais la plaie
afin d’pouvoir comprendre ma peine et ma haine, mon mal~être et ça j’l’ai pas raté
dans le couloir, j’ai planté la graine, j’ai d’la veine, j’ai approfondit mon karaté
ma mère m’a dit t’es bon qu’à rater, elle m’l’a dit qu’une fois, c’est resté dans ma te~tê
j’doutais d’moi, dans mon monde harassé, j’pratique une foi, j’ai trouvé l’fond d’ma te~quê
j’foutais quoi ? on s’compare à eux, c’est bad, mises sur toi, c’est not’ véritab’ rre~gue
l’jour et l’soir, j’remercie rre~te
peur : j’l’arrache
c’est l’issue qu’j’vois, rien ne mérite un regret
j’embrasse l’impermanence, y’a des haut et y’a des bas, internes à l’infini
j’m’en veux de fuir maman, car des fo~ is c’est léthal, je ccepte~a c’qu’est imprévu
mon âme en clairvoyan ~ce, les faux, gars, je les vois, un terme et ça s’simplifie
guidé par l’firmament, j’suis martha, j’suis jonas et naus~tha, la fin, l’début
la vie c’est k~dar (k~dar)
la mort c’est que dalle (que dalle)
j’veux vivre que d’art (que d’art)
faire faillir le que~cal (que~cal)
j’suis loin, quelque part (quelque part)
j’fais tomber les sques~ma (les sques~ma)
donc j’me prends des tes~tar
même si t’as qu’une part, gratifies c’que t’as (c’que t’as)
l’herbe est plus verte ici qu’ailleurs, ailleurs c’est le vide et dans l’de~vi il caille
26 ans dans la salle du tem~emps, j’ai trouvé le sen~ens, sablier à l’horizontal
le me~cal j’le trouve en tailleur, chaleur je la need, elle ne réside dans maille
elle n’est que dans l’instant présen~ent, je laisse toutes mes pen~ensées s’lier, ça nourrit mon âme
l’herbe est plus verte ici qu’ailleurs, ailleurs c’est le vide et dans l’de~vi il caille
26 ans dans la salle du tem~emps, j’ai trouvé le sen~ens, sablier à l’horizontal
le me~cal j’le trouve en tailleur, chaleur je la need, elle ne réside dans maille
elle n’est que dans l’instant présen~ent, je laisse toutes mes pen~ensées s’lier, ça nourrit mon âme
(mankind has always been puzzled about his true origin, his genesis, were we created by god ? or are we a product of evolution ?
if we could somehow see yersterday and tomorrow at the same time, the origin and the end, if we could feel the entire universe in a single moment, then we might find the final answers to the biggest questions of all.)
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