lirik lagu senamo & seyté - freestyle all shart 2
[couplet 1 : seyté]
esquive, mon armada déferle, essuie le mascara de tes frères
ma smala a la dalle sévère, à table, la patate est prête
on aura ce qu’on aura, on laissera l’reste aux rats
il pleut des rimes, c’est pas une pluie d’orage, c’est une rafale d’éclairs
ciao, je me c-sse aux canaries
la smala, toujours l’même gabarit
on n’a pas été racheté par les qataris
j’ai la rime qui trouve plus, et j’pète ça fort
ils disent que j’suis un trou de cul, et ils ont peut-être pas tord
[couplet 2 : char]
t’as des goûts d’luxe, mode de vie n’m’intéresse pas
tu peux t’pendre au l-stre comme le slip à dsk
t’faire fumer rayon smoking lors d’une session shopping
te faire violer dans les bois quand tu fais ton jogging
pas d’maison, originaire des immeubles hantés
où on jette nos frigidaires sur les flics dès qu’ils veulent entrer
mes gavroches aux pulls de chez lacoste
ont plus de chances d’finir en cure de désintox qu’dans l’cul de megan fox
[couplet 3 : metissa]
j’aime trop entreprendre que pour me taire
autant que je tente de foutre de vrais flows
quand je me lance, j’retourne ce réseau en peu d’temps
le groove peut se perdre, trop de gens se rendent
je me fous de leur délire fat pompé à kaaris
mc, sache qu’on aime pas ça
et que tes romances manquent de couleurs
à force de suivre les tendances, les gens se perdent
alors je fuis ça comme ce système franchement étrange
je reste un fervent défenseur du rap bien saignant
j’aime quand le truc atteint mes sens
mais j’en peux plus de voir l’indécence des chanteurs fugaces
[couplet 4 : reeno]
ils m’invitent pas, ils veulent pas s’faire arrêter par l’arbitre
moi, j’les comprends, c’pour ça qu’j’y crois, au paradis
parle pas de nombreux rappeurs l’ont déclarés
de loin, j’arrive en tête, dites à vos mères
que je payerai pas la pension alimentaire
j’y mets un point d’honneur afin de respecter ma clientèle
faut pas rester vivre toute sa vie dans des bâtiments d’merde
moi et la smala, ma smala s’appelle fafa
dédicace à [?], les bâtards on va les abattre
[couplet 5 : f.l.o]
je fais pas le g, c’est pas mon cas, je prône pas la rue, minot
j’ai juste le syndrome de peter pan et l’épée d’rufio
c’est dommage, j’te l’avoue, de voir des embrouilles
ça part en couille comme au do-mac de la bourse
hé nan, je trouve pas ça bien
que l’manque de thunes peut rendre lugubre pour trois fois rien
mani, s.e.n, te-sey, tu sens l’coup fumant
tonton f.l, le sale pervers jusqu’au bout du gland
[couplet 6 : seven]
je viens m’imposer dans c’milieu, les gars m’surnomment “le seigneur fou”
tape mes nuits au stud à faire du boucan tel un veilleur sourd
c’est genre dracula, tu ne me verras jamais sous mon meilleur jour
je dois ressortir du lot, demain je serai encore plus haut
j’kicke ça et j’allume ma batte après
rien à faire, ce pe-ra, c’est de la lutte
faut être speed, je reste vif derrière mes allures de macchabée
au taquet quand les b-sses m’appellent
je lâche jamais l’affaire et crois moi bien
seven se donne doublement pour trois fois rien
[couplet 7 : ol zico]
derrière cette nonchalance que les pet-ts frères ruminent
mon cœur s’allumait dans des délires bêtes, fusible
aujourd’hui, tout est mis-per quand le juge délibère
les cris de guerre sonnent comme les backs de freddie mercury
le pe-ra, c’est du blair, j’y ai laissé des cloques
avant de baiser les prods, ils ont déjà baissés les frocs
et ça fait in depuis les baggies
la vérité, les punchlines, ça remplit rarement les caddies
[couplet 8 : primero]
les clubs ont balayé les cotillons, fermé le volet
c’est l’aube, les sacs s’ent-ssent contre le portillon
je connais parfaitement le coin, le garde est sonné
j’ai la recette et l’arme dans le poing
cash dans le cabriolet, zone quadrillée
sur le sample, je cambriole au lyrical barillet
les condés forceront les grilles, j’m’en fous, le monde est grand
ils m’auront quand les poules porteront des grillz
[couplet 9 : saké]
moi j’suis dans l’mal, souvent le moral est sous l’fond d’l’eau
mais j’arrêterai d’me battre quand les vautours me boufferont l’dos
j’figure pas en presse people et magazines poubelle
j’ai pas quinze ans pour avaler ton ram-ssis de foutaises
saké zaka, c’est pas le remix de barbie girl
j’ai bien compris qu’ça sentait le roussi pour ma p’t-te gueule
moi, j’ai du faire de ma colère le princ-p-l vecteur
et même muselé, je te bouffe le zen comme hannibal lecter
[couplet 10 : neshga]
arrêtez de parler pour rien
bx, je vais pas te cacher d’où je viens
je suis fier de ma ville, l’ami, sous l’abribus je roule un gros petch, cousin
ça se plaint pour des foutaises, je mets des “si” dans une bouteille
je p-sse messi et je shoote, faut pas défier le hood
j’ai décidé de faire toute ma route en solitaire
j’suis à bout, si j’te dis qu’ça roule, c’est qu’j’ai un faux mis-per
pas crédible, t’es pas très fier à traîner là au pas de ma porte
et si t’espères que le rap rapporte
prends un gobelet et gratte des pièces, bah ouais
[couplet 11 : stara]
et j’ai mis le vice dans un placard et cousin je crois qu’il me guette
dans chaque phrase, je met de la gouache et crame la prod à mani deïz
je suis parti check sous weed, et je termine sous cool-al
on a la dalle, viens pas faire chier ou tu vas perdre tes sous, connard
c’est vrai qu’on a p’t-être pas la face mais on tend pas la fesse
s-one tab-sse et ce qu’on a pas, ça vient j’en fais mon affaire, ça fait
c’est pour mes gars qui coulent, les vrais, les braves gars
check, nous on est là là, ouais big up la smalismoul
[couplet 12 : el chileno]
l’esprit hésitant, mais la plume est sûre
donc fier même si la lutte est rude, ouais
revenu fumer la mesure, check 2 rimes et la lumière fut
frère, là, tous nés en r-t-rd comme mort d’avance dans l’utérus
jamais bien loin du sol malgré nos rêves de cul-terreux
réveil souvent brutal comme la morsure d’un bull terrier
pour beaucoup l’repos ne sera qu’ultérieur à la vie terrestre
ouais, trois fois rien, c’qu’il nous reste à perdre
donc jamais loin du gouffre, mais
dis-leurs, qu’trois fois rien, c’est déjà mieux qu’rien du tout
[couplet 13 : eli mc]
j’ai de l’or au bout des doigts, j’ai pas des millions
une fois l’son terminé, je me dis : “eli, ta page est bidon”
j’écris des rimes, je retrouve pas des copines pour parler chiffon
et dans les yeux d’ma mère, jouer au rappeur, ça parait mignon
ouais tout ça vous joue des tours, c’est pas des blagues
y’a deux choses qu’ils savent faire : soit parler d’leur misère, soit parler d’rap
et si je manie des ficelles j’ai tord de croire qu’ça tient
quand je pense donner le meilleur de moi-même alors que c’est trois fois rien
[couplet 14 : romeo elvis]
1m94 de talent dans le game, je joue en off side
et pourtant personne n’a sifflé, hein
comme des saligots qui laissent p-sser une lope-sa
va falloir s’y faire : je suis le meilleur sur une grosse b-sse
elvis est king autant que l’ennemi, c’est john doe
j’ai le style de sonne-per, quand tu le dis ça sonne faux
évitez les grosses pertes, laissez faire le don jon
mon cousin a les dents jaunes, moi, j’ai signé chez colgate
[couplet 15 : rizla]
rien de c’que j’dis dans c’son n’sera pas d’jà dit dans un autre
et j’m’en balek dans l’fond, j’lève mon gobelet à la vôtre
wesh, rizi rizou, enchanté bande de têtes de nœuds
allez cracher sur vos claviers, c’est c’que vous faites de mieux
pour le buzz, ils font les fiers, ils font exprès, nous, non
on fait des disques et on s’fiche que tu t’les prennes ou non
on n’est pas d’ceux qui vous mentent, vrais depuis l’début
les traîtres, les fils de putes n’sont pas d’ceux qui nous manquent
[couplet 16 : mani deïz]
y’a rien à faire alors j’décore l’silence
tardive providence, parmi les morts-vivants, les traîtres, j’ère
on aspire trop d’ciment, rend des sourires d’poussière, docilement j’irai sous terre pour découvrir mon avenir florissant
pas d’factice ni boniment
que des mecs simples qui excellent
on crache l’insulte que si c’est poliment (pute)
trois fois rien, c’est l’équipe, la smala c’est l’éclipse
tu vois l’soleil quand on n’est pas là, logiquement
[couplet 17 : convok]
j’remercie les potos pour l’invit’, j’trouve ça trop trop cool
j’aurais pas pu m’contenter d’rien vivre avec la corde au cou
mes anciens collègues m’ont dit : “laisse tomber, ça sert à rien”
mais j’en ai encore en stock donc j’envoie d’la force à mes smaliens
j’fais ça bien, l’beat on l’pète à plein, on s’amuse
j’ai retrouvé planté dans mon dos l’couteau à pain d’mon gars sûr
mes rêves de fêlé s’évaporent, ils quittent le navire, j’reste à bord
j’élabore des plans d’fou façon mani, seyté, senamo
[couplet 18 : shawn-h]
génération weed, tise, fout la merde
goldorak ou mama lova, la ligne verte, le film la haine
les temps changent, les cheveux grisaillant mais pas l’seum
j’me dis que l’corps vieillit, pas l’cœur
appelle-moi “hitman”, j’les cogne grave, c’est comme ça
puisqu’il s’ressemblent tous comme des code-barres
sans vanité, j’ai fait mes cl-sses avec des guerriers d’l’esp-ce
senamo, té-sey, mani deïz, c’est validé d’puis l’départ
[couplet 19 : jeanj-ss]
j’connais pas ton préféré mais je rappe mieux qu’lui (double j)
j’ai beaucoup d’-ssurance comme un vieux riche (charlouze)
j’dis qu’des conneries, c’est pour gole-ri, les gars
j’suis chez ta copine, j’écoute capone-n-noreaga
ça joue les g’s, ça joue les braqueurs
les seuls qui portent un masque et prennent des billets, c’est les daft punk
aïe aïe aïe comme dirait té-sey, je bouge j’ai d’la maille à trouver
mène le jeu comme yaya touré
[couplet 20 : kosta]
on pillave comme des schlags
j’me rappelle pas d’mon premier 12 ou d’mon premier 16
ma première pute mérite plus que j’me rappelle d’mon premier oinj’
j’vous emmerde tous, moi, j’aime jusqu’à en souffrir
vrais reconnaissent vrais, gros, j’ai l’cœur comme un morceau d’gruyère
s-one pète le score, on -ssure parce qu’on s’le doit
rien à prouver mais tout à faire
[?] crache l’enfer dans une prise de voix
j’me c-sse les doigts à écrire
l’intérieur de moi minimise l’écrit
nique les pédés qui s’déguisent
crise de foie : j’m’éclate au whisky d’puis 10 piges
[couplet 21 : yanso]
y’a plus de chômeurs dans l’rap que dans la vraie vie
avertis-les, à vrai dire, j’ai pas l’temps pour tes travestis
tu vas pas m’voir venir, l’avenir est là et déterminé
quand la patate est mise, difficile d’y voir, d’se défiler
j’taffe, j’fais ma route, j’baffe les jaloux sans modération
verre de sky et ça roule, des canons, que des mauvais garçons
you’ dans la salle d’opération, j’baise tes rappeurs, amène-les
tous bons qu’à faire la même merde, combien sont bons d’ma génération ?
[couplet 22 : k-otik]
ça parie cash block pour qu’je lâche, boy
mais poto j’crache l’or posé sur le mic, yo
j’évite de faire des idées de merde
ouais, j’préfère vivre de l’air que crier pour plaire
tu veux du cash vite, mec c’est l’c-sse-pipe
et quand j’suis fly j’kicke old school comme les stan smith
j’vis la vie de mes rêves
j’déconne : j’vis la vie comme elle est
[couplet 23 : james deano]
j’vois des n-z-llons débarquer sur bx avec des vestes noires
j’vois des pères qui ont gardé espoir
malgré la perte de leurs chers, ils nous apportent de vrais messages
souvent les grandes peines font les grands sages
j’vois des flics débarquer dans ma rue avec des br-ssards rouges
j’vois un homme à terre qui hurle, il a pris 4 cartouches
et j’vois l’métro qui saigne, sur mon iphone
gros c’est officiel, bx est dans la war zone
[couplet 24 : di-meh]
salut le prince mehdi, yo, j’ai faim j’t’ai dit
j’ai la rage comme dans pleins d’pays
un rap profond, mic au fond, check
j’bois mon fond d’teille, eh yo eh yo et je flingue c’est dit
j’te dis, quand j’maîtrise, j’me fixe des putains d’défis
la smala, bx, ma tate-pa lâche que des paragraphes bénis
quand la rage s’accapare d’mes tripes
n-gga j’suis stable comme un cam-steadi
[couplet 25 : caballero]
je perds mes cheveux et prends du poids comme homer simpson
les années p-ssent et nos mères s’isolent (merde)
pourtant, elles devraient toujours sourire comme la mona lisa
normalement, on doit percer comme omar sy
et donner l’or m-ssif à nos mamans (c’est ça)
encore une cace-ded aux miens
c’est avec eux et pour eux qu’on a fait ça
les autres voulaient juste qu’on garde nos affaires sales
dommage pour eux, on brille comme la pleine lune de minuit
f-ck ces rageux qui m’nuisent, on reste frais comme des inuits
[couplet 26 : geule blansh]
tant mieux si mes poèmes te touchent
trop fier, je n’cours pas après l’succès
j’sais qu’j’écris ces lignes quand l’soleil se couche
pendant qu’nos mères se font des films, nous, on écrit l’scénario
on veut rêver avant qu’nos paupières ne s’ouvrent
j’te jure, le même depuis l’époque où j’faisais l’con dans l’allée
30 secondes de son mais mon mal-être se compte en années
le rap game on s’en bat les… loin d’leur absurdité
geule blansh j’suis content d’amener un peu d’maturité
[couplet 27 : paco]
y’a pas d’salade l’ami, sale ma rime p-sse par là
pour mani, la smala, l’inspi’ salace m’anime
tas d’syllabes s’alignent, imagine, ça s’balade
cabine v’là c’malade, une carapace m’habille
la ie-v m’agace, m’abîme
la p-sse, la guigne, vivre, ça taffe, ça trime
la tize tab-sse ma ligne, à quoi ça rime ?
salace, la li-sse fascine
de bx à paname, la crise trac-sse ma team
[couplet 28 : lacr-ps]
mani m’a dit : “faut qu’tu kickes, il p-sse un truc, élimine le sample”
eh man, j’m’en fous qu’tu cliques, j’rappe l’instru, j’élimine le sam…
sur l’track, une foutue team, on n’est pas venus bébar l’ami
même dans les backs, on s’démarque, on fout la merde, on débarque à 1000
ouais, j’ai côtoyé tours et dèche
prends pas mon rap pour des prêches
j’donne pas d’leçons et j’ai qu’le son pour réparer toutes mes brèches
j’fume la weed, j’suis pacifique mais cous’, la prose fout des pêches
et puis un 8 ça va si vite, j’découpe la prod pour mes frères
[couplet 29 : limsa]
ta sœur, qu’elle mette un pull recouvrant vite ses fesses
son boule grandit, mes gourmands disent : “cette gourgandine est fraîche”
tu fais tes courses en ville, dépêche
car tous mes loups blancs y espèrent
trouver un bout d’viande qui reste vierge
sois pas trop sensible au romantisme, ici, c’est qu’un courant littéraire
b-tches, faut faire des sacrifices
tu veux faire la re-sta, foutre le feu, t’en as qu’les artifices
c’est dojo family, y’a pas d’banane ici
brillant comme jimmy, dany ou l’autre bâtard d’aristide
[couplet 30 : sideral]
l’amour n’est pas mort, il est dehors, on est incarcérés
on vaut même pas l’quart de l’homme qui incarne ses rêves
le cœur serré, car c’est vrai
dans c’cas, servez-vous d’vos cervelles afin d’comprendre à quoi mon carnet m’sert si mon quartier l’sait
sombre clarté, écartez ceux qui s’croyaient vrais
regardez, au-delà des mots s’cache toujours un cahier
même au calme, j’étais seul, contrarié, pas d’argent à cracher dans les choses
sois brave, apprends à nager dans les eaux-là où les hommes n’ont pas pied
[couplet 31 : senamo]
j’commence ce texte avec la boule au ventre, j’pensais qu’on avait toutes nos chances
tu t’en rappelles dans etats d’âme : “2011, c’est là que tout commence”
j’vais pas sourire pour toi, j’ai pas changé pour ci ou ça
j’vous baise toujours la gueule très très très fort, y’a pas qu’couci-couça
j’suis loin d’me saouler avec l’eau bénite, nan
ici, c’est gordon, jack daniels, moi j’veux dormir donc p-sse la codéine
ça pue trop la beuh et j’parle pas aux rageux
tempête orageuse sur l’freestyle all shart 2, motherf-ck
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