lirik lagu sch – calabre
[paroles de “calabre”]
[couplet 1]
capuché sous la grêle, de mauvaises idées naissent, la rue plante la graine (plante la graine)
le cerveau embourbé dans des problèmes qui n’existent pas pour la plupart
plus j’prends de l’âge, plus ces mecs me dégoûtent, on s’en aperçoit quand c’est trop tard (trop tard)
plus rien n’est véritable, tout est refait, ils emporteront pas au paradis le mal qu’ils m’ont fait
ceux à qui j’ai fait du bien disent rien, ceux à qui j’ai fait des blеus le disent peu, au final, on finit dans la mêmе boîte, soit
j’remplis le chargeur de la main gauche, j’lui caresse le visage de la main droite
j’ai passé quelques nuits sur avenue foch, connu jusqu’à c’que la terre me semble étroite
musique artis~n~le, écrite avec les trippes, sujet aux mêmes douleurs que quand j’attendais l’drip
b’soin d’un road~trip, d’arracher l’fric, d’avoir du grip
j’ai vu mon père mourir des poumons et du foie, c’est parti d’une grippe
entre les bâtards qui me veulent j’sais pas quoi et ceux qui veulent m’apprendre mon métier
gardez vos conseils, moi, j’y ai dédié mon cœur en entier
j’traîne quelques stigmates ineffaçables, que dieu me pardonne de mener cette croisade
lourd est le fardeau, opaque est le revers d’la médaille mais je suis venu en radeau
[refrain]
macabre, y a des gens sournois à ma table, j’ai un cœur couleur hématome
du sang coule sur le macadam, qu’est c’qu’on fait pas pour les khalos ?
des quartiers sud aux aygalades, .38 sous les manteaux, des mots de sicile ou de calabre
[couplet 2]
j’enfonce la lame, comme tu l’vois, peu d’état d’âme (scélérat) j’ai pas sonné l’alarme, j’ai pas fait couler une seule larme
tout un hippodrome dans le moteur, faut tenir le volant comme statham
tenir le gun comme un looper, un million pour cramer ce havane
j’sens la tramontane, la mort comme dans ma ville natale
j’vois mon tieks dans la montagne, le meurtre est devenu b~n~l
plusieurs choix sont possibles (tous), les voix du bien ou les voix du mal (du mal)
une caisse arrosée au sans~plomb qui brûle pas loin du tribunal
[refrain]
macabre, y a des gens sournois à ma table, j’ai un cœur couleur hématome
du sang coule sur le macadam, qu’est c’qu’on fait pas pour les khalos ?
des quartiers sud aux aygalades, .38 sous les manteaux, des mots de sicile ou de calabre
[outro]
ceux à qui j’ai fait du bien disent rien, ceux à qui j’ai fait des bleus le disent peu, au final, on finit dans la même boîte, soit
j’remplis le chargeur de la main gauche, j’lui caresse le visage de la main droite
j’ai passé quelques nuits sur avenue foch, connu jusqu’à c’que la terre me semble étroite
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