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lirik lagu sales gosses - sales gosses

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oser
y’a de la rage dans mes propos
puis de la peine dans ma colère
moi j’suis froid depuis ce collège
gros il neige dans ma polaire
pour l’heure, j’ai fait des choix
j’te l’avoue j’ai pas fait les bons
intérimaire le soir
j’m’estime heureux de p-sser l’éponge
j’dors pas sous les ponts
mais bon, j’ai pas rendu ma mère fière
à trop faire le voyou
et dire “bonjour” de la manière ferme
sûre de mes racines, -ssis à cet arbre
j’suis resté planté là
j’ai rencontré cet art, -ssez tard
sur des bancs hélas
j’ai pris mes voiles un peu tôt
peur de finir tanguy
plutôt fier d’mes potos
j’les aime, voilà ce que j’t’en dis
j’me sers plus trop d’ma tête t’sais
on fait des p-sses qu’à ras-de-terre
me conseillant d’avancer
en dép-ssant c’caractère
j’écoute un air d’guitare
fumant un joint j’te l’accorde
puis, parti à la dérive j’me trouve non loin de la corse
le doute, voilà c’que j’éprouve, la cause? on la connait tous
on a pas fait tous les tours, j’m’endors, j’oublie qu’on étouffe
y’a ces bâtons dans mes pates, encore du beurre pour t’en bouffer
de la valeur dans c’que j’possède, parfois la peur même d’en douter
dans tous les cas j’ai c’grand respect
tout en sachant comment l’ôter
mais dites au père : “charley se perd et s’interroge souvent, où t’es?”
croque la vie, c’est de la pomme, chies les pépins sur ta psychiatre
en 2002 j’me réconforte: merci l’album de la psy4
depuis ce temps j’sors plus des rangs j’ai pas un rond et j’parle d’ivresse
me procurant du carburant comme l’sdf qui p-sse l’hiver

[refrain x2]
tu m’parles de cette merde
quand j’m’y noie toi t’y patauges, nous
c’est sales gosses on p-sse pas d’une équipe à l’autre vous
faites que parler sans m’atteindre
j’m’endors bourré comme c’matin
attend, j’entend hou hou hou hou

[klamse]
j’dois avoir quoi, peut être 13 piges quand j’recopiais mes premiers tags
dans les cages d’escalier de ma cité ou sur mon cahier d’maths
j’me croyais inarrêtable et suivais pas la voie d’mes 3 ainés
mais celle d’un pet-t merdeux qui paraît calme, déjà paumé en ces temps-là
j’trouvais pas encore mes repères, j’rencontre zamo pas très tard
et tous le reste de mes compères
très vite besoin d’gratter mes cris, mes larmes
et puis à terme de les compter
le crew c’est ksr,sg essayez donc de les contrer
j’le dirais jamais -ssez: respect aux créateurs
et puis le fait d’en être acteur me fait l’effet d’un réacteur au cœur
oublie l’image du rappeur au gros pecs, carotteur:
y’a bien un homme derrière chaque auteur
on boit du rap sans compter, depuis qu’on squatte la cave au frère
on a tellement perdu qu’on voit plus rien de ce qu’on nous a offert
on fuit le chaos, certes, tout inévitable qu’il est
tu nous verras pas tapiner, y’a qu’le sourire qui maquillait
j’sais pas qui est l’malin qui nous suit à la trace
qui rend amère la vie, fais des choix à ma place
combien d’fois t’as bu la t-sse, en avalant leur pastille?
en écoutant les conneries qu’on t’crachait à la face
si tu t’demandes : “mais dans quoi j’me suis embarqué?”
moi aussi j’ai rien d’une bombe, pourtant j’suis complètement largué
on s’embête et on s’rend bête le soir, on tempère, prend l’grand air
autour d’elle pour que la terre nous soigne

[refrain x2]
tu m’parles de cette merde
quand j’m’y noie toi t’y patauges, nous
c’est sales gosses on p-sse pas d’une équipe à l’autre vous
faites que parler sans m’atteindre
j’m’endors bourré comme c’matin
attend, j’entend hou hou hou hou

[kdor]
tout nous sourit pas beaucoup
j’cours au rythme de la vie à jamais, ou pour toujours
ça sert à rien de la dire, c’est dans l’âme que ça se porte
tu penses aux ex-potes, qui représentaient ma routine
j’sais que la vie c’est pardonner, même après s’être cartonné
moi j’oublie pas l’p-ssé, tout c’que tu m’as donné
j’suis d’ceux qui vident leur sac, ceux qui savent qu’le blaze c’est qu’un nom
et qu’une vieille amitié ne peut pas s’séparer d’sa canne
et donc j’ai canné plus âgé, plus fort
qu’est ce que tu vas gagner à nous causer du tort?
je crois, qu’on ne prend pas -ssez de recul des fois
ce sera trop tard pour reconnaître mes défauts une fois défunt
faut dire tout haut : l’amour des frères on y tient
ou plutôt, agir au quotidien
c’est d’expliquer : des unités ça fait un groupe
et quand ça fait un crew: c’est qu’une idée unit bien

yeah yeah
ksr sales gosses

[skary]

j’avais 10 ans et bizarrement
moi j’écrivais quand j’étouffais
sur les crises de nerf du père je commençais déjà à m’stupé-
-fier, l’effet d’cette musique me colle au corps
le genre d’abord, qui te fait sentir un peu moins mort
j’ignore la suite et fonce la tête baissée
j’fais mes épreuves, le décès d’un premier pote: ça ça m’a baisé l’cœur
mais, heureus-m-nt, pas tout l’amour qu’y’a dedans
ça s’p-sse au 11ème arrondiss-m-nt j’ai que 12 ans on créé la grosse de-ban
très justement j’ai fuis le banc, la maison et l’école
j’m’installe un temps chez zamo, moi j’avais pas les épaules
supporter les pleurs et les cris, mon énergie s’dissipe comme une pile électrique
j’admire, mes [?] d’zinc qui montrent leur fesses au gens tout en voyant c’que la vie m’enseigne
j’l’aurais fait plus souvent
ébahis, et bah oui, quand j’vois depuis ta progression ma caille;
ça fait plaisir d’voir qu’t’as pas oublié les potes d’la cave, l’époque des dégâts en concert
la première fois qu’j’sens la magie, j’crois qu’jen aurais voulu au rap sans face-à-face avec ma vie
j’suis fier devant chacun d’tes graffitis, fallait oser, là tu connais, des fois c’est pas facile à dire
cantonnés à s’bétonner, là on macère comme des buvards
mais on a tout cartonné demande aux saint marcel boulevard
avis aux médisants : [?] là c’est pas net
maintenant ça fait 10 ans qu’on fume les murs, le mic et la moquette

[refrain x3]
tu m’parles de cette merde
quand j’m’y noie toi t’y patauges, nous
c’est sales gosses on p-sse pas d’une équipe à l’autre vous
faites que parler sans m’atteindre
j’m’endors bourré comme c’matin
attend, j’entend hou hou hou hou


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