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lirik lagu saknes - jettatura

[refrain]
le mauvais œil n’est jamais loin
les chiens t’observent du coin d’l’œil au quotidien
l’entourage, surveille~le bien (bien)
si tu tombes, regarde bien qui t’tend la main
j’préfère avancer seul, sans boussole, sans être devin
le soutien n’est jamais loin
les miens m’observent du coin d’l’œil au quotidien
l’entourage, surveille~le bien (bien)
si tu tombes, regarde bien qui t’tend la main
j’préfère avancer seul, sans boussole, sans être devin

[couplet 1]
les pieds sur terre et la tête dans les cieux, j’suis pas superstitieux
même si je croise le mal dans un chat noir, les yeux dans les yeux
la street, c’qui s’y cache, le vice, ses propos fallacieux
en temps d’faiblesse, ne cherche pas d’réconfort, s’relever seul vaut mieux
mentalité : encaisser sans remettre et remercier dieu, en toute conscience
vaut mieux être seul, bien loin des hyènes et des envieux
l’entourage (ouais) fait de bons, de mauvais, de frères de haineux
qui t’auront, sans qu’tu n’aies déceler en eux un caractère douteux
élevé, au milieu des squales, dans l’viseur des bleus
à vingt mille lieux des coins les plus huppés, ces putes aux zup
et seum injecté par le système, comme par des tubes intraveineux
comment tu veux qu’l’amour renaisse des âmes noircies par le feu
des types paranos qui s’mettent à braquer pour si peu
un comportement cr~puleux pour ne pas crever à p’tit feu
le malheur des autres pour son bonheur, c’est ça l’milieu
un cercle de chacals, de langues fourchues qui s’mordent la queue
[refrain]
le mauvais œil n’est jamais loin
les chiens t’observent du coin d’l’œil au quotidien
l’entourage, surveille~le bien (bien)
si tu tombes, regarde bien qui t’tend la main
j’préfère avancer seul, sans boussole, sans être devin
le soutien n’est jamais loin
les miens m’observent du coin d’l’œil au quotidien
l’entourage, surveille~le bien (bien)
si tu tombes, regarde bien qui t’tend la main
j’préfère avancer seul, sans boussole, sans être devin

[couplet 2]
perte de temps qu’essayer d’changer un haineux sur un échange (hm~hm)
sa médisance, sa bouche ouverte même le dimanche (ouais)
un frère dont l’âme est sombre qui, à l’ombre, rit quand tu tombes
j’ai les oreilles qui sifflent quand des connaissances le sondent
combien d’fois j’ai dû passer l’éponge, dépasser, moi, les songes
c’est ces visions et ces visages sur ces mots qui me rongent
des amis proches de soi, voient la trahison pas loin (hin~hin)
ces sourires, ces faux~semblants qui ne disent rien n’en pensent pas moins
des névrosés et leurs psychoses, j’veux pas connaître les causes
rien qu’des connaissances moroses aux humeurs qui s’métamorphosent
la gentillesse est une faiblesse, ça, l’œil du vice le sait (ouais)
l’épée d’damoclès est sur nos têtes et ils plissent à côté (hin~hin)
des relations faussées, chez moi, un regard en dit long
j’préfère creuser un fossé, partir vers d’autres horizons (ouais)
loin du bitume, des blocs sales, et des ambiances glauques
ça j’veux pas accepter cette époque et que les gosses le payent cash
[refrain]
le mauvais œil n’est jamais loin
les chiens t’observent du coin d’l’œil au quotidien
l’entourage, surveille~le bien (bien)
si tu tombes, regarde bien qui t’tend la main
j’préfère avancer seul, sans boussole, sans être devin
le soutien n’est jamais loin
les miens m’observent du coin d’l’œil au quotidien
l’entourage, surveille~le bien (bien)
si tu tombes, regarde bien qui t’tend la main
j’préfère avancer seul, sans boussole, sans être devin
le mauvais œil n’est jamais loin
les chiens t’observent du coin d’l’œil au quotidien
l’entourage, surveille~le bien (bien)
si tu tombes, regarde bien qui t’tend la main
j’préfère avancer seul, sans boussole, sans être devin (être devin, être devin…)

- lirik lagu saknes

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