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lirik lagu riski - paris j'arrive

[paroles de “paris j’arrive” ft. ateyaba (joke) & hifi]

[intro: ateyaba]
hein~hein

[refrain: ateyaba]
avant qu’une balle vienne chatouiller mes neuronnes (hey), j’veux qu’mes négros aient tous savourés des euros (hey) (paris j’arrive)
et quand cette phrase aura tatouée tes neuronnes (hey), j’veux qu’tu lèves le point pour saluer mes négros (hey) (paris j’arrive)

[couplet 1: riski]
j’y pense, comme un traumatisme, du biff propre, comme un sweat blanc
fait au black comme un micmac, le karma d’un ticket d’loto perdant
trempe dans cette merde, badigeonne la ‘garette~ci’ dedans
[?] par devant, le biff plane par le sang
abracadabra, ma rime s~xy va t’casser les bras
mon public va passer deux mois dans l’platre, aux arrivants (aux arrivants)
un air frais dans ta phase, comme si tu surfais (tu surfais)
et pour l’amour d’une rime j’aimerais qu’on la paie (cash)
les fesses des ladies font bling~bling, s’applatissent et lèvitent
j’explique à alice quel cataclysme je souhaite pour mon pénis
dans la langue du chaos, frais comme une salade de fruit
j’explose, comme un enfant pieds nus sur une mine (oh)
j’crache ma merde en joyaux, le cul plein de foie gras (de foie gras)
p~sse ma gnôle en fluo, la p~sse plein de v~~gr~ (de v~~gr~)
négro, réchauffe~toi, tords~toi, ou [?]~nous
le ciel est dogme, c’est catastrophe dans une ville de porcinets
[refrain: ateyaba]
avant qu’une balle vienne chatouiller mes neuronnes, j’veux qu’mes négros aient tous savourés des euros (paris j’arrive)
et quand cette phrase aura tatouée tes neuronnes, j’veux qu’tu lèves le point pour saluer mes négros (paris j’arrive)

[post~refrain: ateyaba]
(yo) tous les jours on cherche un business (hey) (haan), pour faire des cheese, han~han (hey)
pour faire du cheese, pour boire du cris (hey), pour faire un mill’ par an (hey)
tous les jours on cherche un business (hey) (haan), pour faire du cheese, han~han (hey)
pour faire un, pour faire un (hey), pour faire un million, négro

[couplet 2: riski & ateyaba]
j’mange mon steak saignant, en m’plaignant qu’les salopes sont des feignantes
un coureur endurant comme un [?], quatre~vingt~dix~neuf inconvénients
plaque mes phrases, comme des porsches devant ton ventre ton plat ventre (ton plat ventre)
t’en touches plus tes frites, t’en as gros sur la patate et t’as mal au ventre
vendre son âme au diable, l’argent ne vaut pas l’aventure
crachat pour les nazes, un sourire pour le futur
mes compagnons de pourriture, des hipsters de toutes races (hipsters)
triste jusqu’à l’aube parce que le juice ne les travers’ra plus (juiice)
j’remercie la foudre, noir comme l’esp~ce (fais tomber la foudre)
j’ai les rimes en poudre, tu auras l’esp~ce (tu auras du crack)
saigne de la bouche, [?] (tu saigneras des ‘tess)
tu ronfles dans la boucle (paw), tu fais un cauch’mar (réveille~oi~t’)
tu fixes le sol, comme si tu cherches des billets jaunes (des billets jaunes)
nous étions si jeunes et soudés, mais la faute aux billets jaunes (billets jaunes)
la co~co’ et la zone s’aiment fort, comme john et yoko
les sensations comme new~york, han, han, la nuit en hélico
[refrain: ateyaba]
avant qu’une balle vienne chatouiller mes neuronnes, j’veux qu’mes négros aient tous savouré des euros (paris j’arrive)
et quand cette phrase aura tatouée tes neuronnes j’veux qu’tu lèves le point pour saluer mes négros (paris j’arrive)

[couplet 3: hifi, riski & ateyaba]
j’sors d’ma bédave, j’ai les deux pieds par terre (ouais)
si j’plane, c’est comme un charter (ok)
je n’vise pas les charts mais je touche quand~même quelques ‘re~sta’ (han~han)
quelque part on tourne en boucle, mais je rattrape le r~t~rd (oh)
soldat toujours au garde à vous, comme un queutard
faut aider mon frère, même sans aucune parenté (hey)
si t’as l’oreille comme un vulcain qui n’entend aucune vulgarité (hey, hey) (han~han)
hein, donc plus qu’une qualité (hey) (ouais)
‘ou~f’ ou calife (hey), comment ne peux~tu me qualifier (comment) (hey)
le respect se tue, l’amitié pue la p~sse après punchline, yeah
pour moi c’est juste terrible (han, han)
tout [?] pour le terrain (han, han)
comme la ‘tess (han, han)
le juge des lignes (ouais, ouais)
quand j’passe les types me guettent, même si j’ai quitté le tiekson (tiek)
quesqu’il t’arrive, [?]
[?] sont mes textes (han) (hey)
[?] question (vrai) (hey)
les ‘me~ar’ de [?] (hey), à t’en faire péter le caisson (ouh) (hey)
on dirait qu’on rappe (hey), mais t’as pas d’t.k
abricot tu kiffes (hey), comme [?] (hey)
car j’ai la rage du king (hey), han~han, comme un karateka
[refrain: ateyaba]
avant qu’une balle vienne chatouiller mes neuronnes, j’veux qu’mes négros aient tous savourés des euros (paris j’arrive)
et quand cette phrase aura tatouée tes neuronnes j’veux qu’tu lèves le point pour saluer mes négros (paris j’arrive)

[outro: ateyaba]
pour faire un million, négro

- lirik lagu riski

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