a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

lirik lagu révolution urbaine - freestyle booska paris-marseille

[couplet 1 : s.pri noir]
viens que je t’explique en 2-4-6, sensations fortes via 2-3 spliffs
embrouille de tess de 2-3 types, un frère se perd en 2-3 clic-
-boom, le swagg d’un pitbull, à l’affut d’une pet-te poule
tu es un prototype cool, ce soir j’ai besoin d’un pet-t…
veni vidi vici, 22 v’là les vil-ci
vite faut qu’on s’éloigne d’ici, check moi sur n.y ou d.c
on tré-ren par la pet-te porte, on consomme de la tise forte
sensations fortes de toute sorte, sans façon braque le xxx
75 (75) protège ta tête et ta mère zinc’
protège ta belle quand xxx parce que fonce-dé sous bouteille de blanc de label 5
fini l’époque du pet-t lait, l’époque nous a tous mutilé
on a vu souffrir nos mères, voilà pourquoi frère on a dealé
on a pas choisi de faire le mal, ni même de grandir dans le malheur
on a trop de haine, trop de peine, trop de blèmes qu’on noie dans des trucs qu’on inhale
on a trouvé de l’air dans la fumée, niqué nos poumons dans la foulée
je traine avec des tâches et des thugs, tout le monde est dingue, tout le monde est chiré

[couplet 2 : briganté]
nitro dans le moteur, diana dans le pioneer
mondéo dans le retro, accélère les battements de coeur
pour mes glockeurs, j’débite des tas d’horreurs
fais crier le roadster, les minots lèvent leur majeur
négro on rend honneur, aux charbonneurs
on alimente les crackeurs, toujours posés sur le corner
dépoussière la poucav à la xxx, je suis over
sous polka, marijuana, jack, i’m a monster
baise ton game de médisant, posté dans ma zone
je m’en remets qu’au tout puissant, posé sur son trône
ils nous prennent pour des paysans, on leur fera le remake des bouseux corleone
x x x x x x x x x x x x
evite le coup de filet des chalutiers, reste calibré
une grosse pointure chez les va-nu-pied, c’est ça l’idée
austère, gros fer, vitres teintées, j’vois que des gars vibrer
on baise ton règne, y a que devant une li-sse que je peux saliver
elles veulent des gros voleurs, des charbonneurs
x x x x, qu’elles puissent mouiller sur du cuir neuf
sache qu’ici on fume aussi rapide qu’une barrette
revolution urbaine la comète

[couplet 3 : zino]
ca vient d’en bas de nos xxx, où les voisins mettent les voiles
les pet-ts guettent les phares, nos mères s’inquiètent des vols
là où, personne n’a jamais eu la moyenne
ils veulent tous dégainer voyons, et rapper par tous les moyens
la qualité est garantie nigo
j’rapperai pas jusqu’à 40 piges #figo
la concurrence nous ralentie, j’rigole
revolution urbaine, bico
c’est m-rs-ille, centre-ville, c’est la vraie vie qu’on te rap
nous on te frappe à la tête, donc impossible qu’on te rate
nous appelle pas en inconnu si tu veux qu’on te rép’
on a la cote, on est connu, toi tu touches la cotorep
f-ck la rtm, maintenant je veux rouler en grosse tutur’
on rap dans la rue, toi tu rap en rose tutu
je te le dis texto, viens pas tester techniquement
je t’explose au micro, style flow, j’kick gros

[couplet 4 : makiavel]
22-22 v’là les condés, c’est pas vraiment la fête
tu penses à me fouiller les couilles, mais j’ai déjà la beuh dans la tête
et tu peux retourner la pièce, défoncé de la veille
on pense qu’à tiser la teille, et rien à foutre de qui la paye
et puis à l’aube on fait l’appel, oui car la foi y a rien de plus sur
3 points de suspensions peuvent remplacer 3 points de suture
t’es nouveau tu crois que t’as fait le plus dur
roule au p-ssé, tu touches au présent, je vais fumer le futur
dis-moi qu’est-ce tu connais de l’amour
ne pense qu’à faire la cour, aux demoiselles qui râlent mais font tout pour
plaire, l’envie te pousse à l’adultère
influencé par une paire de seins, du coup, d’une pierre deux coups
tu glisses et continues à le faire
la tise te désaltère, t’as plus de rides que ton père
leu-cou, tu nous fais juste marrer
roule un joint de com’ et fais semblant de planer
wahrani, j’ai pas l’accent du bled
accro à la buvette, les mc râlent parce qu’on lève pas la cuvette
mais t’y vois quoi derrière tes lunettes ? t’es plein de commentaires
j’me tiens les couilles en concert, pour tenir ma fumette

[couplet 5 : hayce lemsi]
la vengeance est un plat qui se mange hayce ma pethayce est delicious, elle a le gout du champaign, bico
j’fais ma plhayce, le temps phayce et les an-ienc’ ont les sinus fourrés dans la cocain, bico
bico, blaco, blanco, loco, lego c’est la street pas de buzz qui nous forge
on est hard on regorge de hargne et de larmes dans les yeuz et des joints qui nous prennent à la gorge, bico
vestibule insalubre, énième joint chargé comme la mule
qu’on m’allume si mon rap est faux, je joue sur les flows comme la lune, bico
j’ai cette haine amoureuse envers chacun de mes trophées
le marchand de sable arrache des keus’, y’a des traces d’intraveineuse sur les bras de morphée
trainée de poudre, par l’oseille frustré, transforme les soirées dansantes en bain de sang
je la vois sortir du soleil sucré, ses pet-tes mèches fouettent les mouches en marchant
la vérité se cache derrière une montagne de courtoisie, bico
mal vu ici, parce qu’on est pas issu de leur putain d’immigration choisie
trop de fissures, demande à lissu, g-t, l-ssg-ss, kranmax ou grizzly
quand tu bois de l’alcool, tu parles mal boy, quand tu vois le magnum, tu perds ton zizi
j’ai beau chercher le bonheur dans un encrier, dissimuler tout ce que j’ai souffert, sous terre
personne ne pourra m’entendre crier, si rapper c’est tout ce que j’ai su faire, mon frère
sois pas paresseux, te contente pas du rsa
pour caresser son boule graisseux, sors 2-3-4 bouteilles de rosé

- lirik lagu revolution urbaine

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