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lirik lagu rentre dans le cercle - rentre dans le cercle - épisode 7

[couplet 1 : sadek]
salope tu complotes, parait qu’t’en veux à ma poche
le livreur de sushi m’a donné ton adresse
dans le 93 j’ai toujours vu des trucs sanz
daron ligoté alors qu’il venait du hajj
wesh, tu voudrais pas savoir c’que j’pense
où j’crèche
y’a que des choses étranges
les narines pleines d’cess’, les descente dans l’louis xvi
quatre mûrs, quatre planches étanches c’est blech
75016 tiens mon 06, zéro vice et zéro bénéfice
tu veux des diamants, bébé prend une pioche
et va chercher du taff, t’es pas daenerys
bi-turbo fils de timpe, là j’ai mis les gaz
dans la suite, deux métisses qui sortent de la douche
ouais, elles sortent de la douche
faire cauchemarder les stup fait rêver les chouf
pour dormir j’fume un gramme pioché dans l’kilo
la pute contre le mûr, la tête sous l’ventilo
bébé faut pas pousser j’vais pas t’épouser
quand on aime on n’compte pas, j’te rend tes bisous (mouah)
tu ralentis ma mission, même un bentley n’avance plus dans les bouchons (mouah)
ouais là j’ai des visions de banquettes pendant qu’ils font des provisions
j’compte en profiter, profiter, profiter
robert de niro, valentino rossi
j’ai dit profiter, profiter, profiter
loin des climats grimé tropi-tropicaux
j’ai l’hospitalité des grands chapiteaux, pas la mécanique ville de vos hopitaux
j’ai l’hospitalité des grands chapiteaux, pas la mécanique ville de vos hopitaux
concret concret mon gros pas d’askiparait
eh, nous on connait l’taro
pas carré finira sur l’carreau
j’suis en deux roues, c’est d’la faute à lebara
d’la faute à sima, chaque faute -ssumée
j’fais que charbonner, j’sors d’la cheminée
et dites aux minots qui veulent m’allumer, que j’use plus mon index que mon annulaire
marche arrière j’connais pas-pas-pas-pas-pas
mon avocat a beaucoup de vocabulaire
c’est paname fils de pute, c’est pas baltimore où toutes les poucaves finissent à gare du nord
ahn, ouais c’est toujours la même chose y’a qu’la peuf qui change, c’est toujours le même shl-ss (shl-ss)
les mêmes geuches prennent les même doses mais le pxx n’est plus à la même place-place

[couplet 2 : davodka (“new jack paris” & “mise a flow) ]
vu ma vision floue j’crois pas qu’l’avenir domine
fonc’-dé, coca sky, vodka pomme, gin, tonic
on est en bas de l’éch-lle, ils abusent de leur pouvoir donc quand l’état me jette la pierre, je jette la kryptonite
faut plus qu’un huissier pour saisir notre rime, j’écoute pas les “blabla” pour ver-‘squi l’ot-te
dans c’monde d’injustice certains s’exilent d’autres triment
mené en bateau j’fais du whisky-nautique
faudrait que j’me bouge mais j’reste immobile
hostile pour le prestige [?]
le fric et l’insolence c’est plus les flics et la violence sont depuis bien longtemps les choses qui régissent notre vie
j’essaie de faire du propre on m’fait des coups d’sse-cra
quand tu tends la main, l’amitié t’coupe le bras
les doutes te braquent
on est tous sous pression, normal que tu ressentes du stress lorsque t’écoutes ce track
dans l’enfer des corps, j’vois qu’tant d’frères déconnent, la hargne enterre des potes, j’vois qu’la haine éclore
marre qu’on m’ferme les portes, j’maîtrise le poids des mots et tout ça sans en faire des tonnes
j’écris pour les mecs dits paumés mais j’ai pas ma place dans les bacs sans en être diplômé
j’aime pas la trap mais si la prod’ est bonne, fais péter
là je débarque sur tout-terrain, j’ai le flow v.t.t
le doigt sur la détente, c’est tentant, c’est entêtant
sans détails le son t’étale, sans tes thunes et sans tes dents
c’est l’attentat qu’a retenti tant attendu qui met des tartes, ça t’étonne tout est à terre et là, ça détonne et tu détales
tout talent met des taules à ces têtards en tête d’affiche
tête à tête on t’fait ta fête, dans cet état on t’tétanise
on t’atomise, si t’es tenté, j’ai la patate qui t’enterre
c’est davodka, du tout au tout en un couplet qui rentre dans le cercle

[couplet 3 : busta flex]
eh yo j’arrive sur le beat, comme un métro sur le quai
negro voilà le fond busta flex qui s’empare du micro
back sur le mic, j’viens claquer tous mes rivaux
gars j’suis back sur le mic, j’viens remonter le niveau
arrêtez de faire les hypocrites, je vais allumer le feu p-sser à zippo vite
envie d’envoyer du flow comme envie d’p-sser
renvoyez ce gros mytho, mais dis moi qui c’est?
le game est limité, les dés son pipés
vingt ans que j’me balade sans pièce d’ident-té
j’suis un putain d’rappeur non identifié
j’aime kicker, j’aime vous niquer ça me fait kiffer
flex flex
même si t’es peper, t’es correct
un jour mon micro atteindra ta pommette
tu penses que j’suis pas sérieux, j’t’entend ricaner
a la fin tu n’aura que tes yeux pour pleurer
j’ai pimper le flow, mis des par-choc au carrosse
je vais les f-ck jusqu’à l’os, j’viens d’la meilleure époque
93 novice du vice, neuf-dix plaquettes dix
98 j’suis dans le disque et depuis c’est la merde
rêve ou cauchemars, y’a pas de rimes c’est la merde
t’as beau kicker comme xxx xxx xxx
si tu ne le sais pas, ne le fait pas dès le départ
je me prépare un gros pétard, un bon fé-ca
vous voulez pas de moi mais me voilà maintenant on fait quoi?
peace à ceux qui m’ont soutenu quand j’étais à la diet, t’étais invisible à mes défaites
viens pas à la fête gros j’oublie rien (j’oublie rien)
j’ai pimper le flow gros roupille bien
pas question de me mêler ou m’emmêler dans la mêlée
mal aimé je me sens mieux sur la mélo-die
vous êtes des paro-dies
du vrai mc, du vrai xx ouais j’ai la panoplie
ça fait pas un plis, prions le seigneur
j’rentre dans l’cercle, prions le seigneur

[couplet 4 : reda]
tu me connais pas mais tu vas me connaitre
ils étaient 25 j’étais seul j’étais al
ils reviennent, j’ai plus d’limite un peu comme gta
ils parlent, ils parlent, l’a ferme quand j’étais haut
xxx xxx xxx et j’reviens en moto comme gto
hier j’étais avec ta daronne j’t’ai aidé et
j’reviens le lendemain dans le clan gtt
oui gti, oh oui j’étais ivre
quand je t’ai dis que dans le pe-ra j’étais pété
ptdr c’est des pd déter’
on se péta dehors
ils seront pétés tout court
pépépépère et je compte le compte
la con de tes morts si t’es un putain de condé
hé! té-ma un peu le niveau
hé! ici j’ai aucun rivaux
binks! si tu joue un peu trop le héro
dans le bat’, t’inquiètes pas qu’on est sé-po
rien que leurs nez-nez est fariné
même l’opj personne dans ton cabinet
t’es pas cre tu te l’ai imaginé
sur ma vie t’y arrive pas même c-kainé
askip t’es max mais tu té-ma le tmax
t’as rêvé donc tes xx ont paniqués devant le casque intégral
donc je démarre et je démarre ce qui parlent derrière leur ke-ma
le parquet nous prends en photo ils veulent des posters
il y a le fils de l’opj à terre qui se prosterne
on a pas attendus le rap pour que la famille prospère
ils n’ont pas compris mes phrases c’est des grosses ternes
au max sans lean mais sur l’tel pas d’icone j’baise tout rentre dans le cercle pourtant on m’avais pas dit “cogne”
au max sans lean mais sur l’tel pas d’icone j’baise tout rentre dans le cercle pourtant on m’avais pas dit “cogne”
là, je suis devant l’opj et je dis fort mais
je sais que juste après j’baise jennifer dans, le pe-ra oui je suis mi-pété mi-fort
mais quand je rap tu crois que t’as sur la tempe le fer

[couplet 5 : veazy]
ghettophénomène boy (x4)
j’ai ouvert la porte, j’ai vu mon ami avec mon ennemi
pourtant bien j’me comporte, j’ai toujours été là si t’avais des ennuis
quoi quoi
c’est moi que tu provoques?
tu t’es cru dans un film, repense à nos actes
tout c’quon s’est dit quand on était p’t-t
oh noooooo
a cause de toi on pleure nos morts
trahison devenue à la mort
trop de sang qui coule pour un simple mort
noooo, no-no-no-no
j’men bat les couilles, jme répète
j’ai fais le tour de la terre
ouais j’ai fais l’tour de la terre, avec l’impression d’avoir tout donné
non ça va pas mais j’encaisse, trop de xx et j’en p-sse
derrière mon dos tu m’rabaisse, normal que de toi je me l-sse
t’as voulu m’prendre par les sentiments
mais j’m’en suis rendu compte
donc tu vas payer, xxx xxx xx
quand on veut me prendre pour un con

[couplet 6 : lacr-ps (“sayen”)]
j’répète : foutez-moi la paix
xx de base j’suis dans la voie lactée
viens à mes concerts si tu veux m’voir rapper
même pas 6 mois p-ssés cous’, me revoilà prêt
truc de malade, flow démarré
ça rapporte, j’pourrais m’en déchausser les molaires
j’suis à l’ancienne certains diront que c’est démodé
j’suis dans ma lancée je me fous bien de faire un cd moderne
dans l’enseignement on parle de bails équitables
c’est l’ère des tout puissants élus par des quidams
marianne c’est nikita, combien de pet-ts qui tapent, combien l’état liquida ?
faut déjà se dire un truc leur soif d’argent et leur besoin de pouvoir ne sera jamais rattrapé par l’éthique
pour rester poli je dirai que c’est pathétique
marre de se voir bernés par les politiques
balance un tas de phrases stylées, f-ck babylone, rien que ça pilone
donne je gratte ça, lance une phase sale, une trap sale, lacr-ps la pilote
j’connais ma cible j’vise un minimum
j’suis amoureux d’la ‘sique je l’aime infiniment
dans la cage thoracique, oui, j’ai mis les mots
j’me fous d’faire des cl-ssiques j’veux un mini-moi
et toute ma famille est là depuis tant d-mnés
mais si marine p-sse j’crois que j’vais devoir m’en aller
le doigt sur la détente, comment se détendre quand on vit des temps d’années ?
je rap ça, je rap ça, mais combien subissent la pression ?
être sous le seuil de pauvreté est la pire des agressions
on a grandi ent-ssés ou comment ne pas s’aimer
tu repenses au p-ssé, tu te demandes quand tu vas céder
nous on rêve de br-sser, pas de voir l’état saigner
au fond j’serais toujours blasé, même si j’vend des tas de cd
j’accomplis mes textes, j’écris ma part de nerfs
pour gratter mes seizes j’ai pas de partenaire
deux trois voyous fidèles pas besoin de plus, frérot
c’est nous qui faisons l’actu’ on a la plume, frérot
toujours pas la thune qui me motive, mec en cabine
j’ramène tout l’attirail nan y’aura pas de pet-t déballage
kicker ma life j’sais rien faire d’autre mais la prod’ je la kiffe c’est malade
je prends la place de ton rappeur quand il est pas là
vas-y, monte le son, ma rage est inégalable
la rue je l’ai vécue, j’ai vu, j’écris mes balafres
un soir d’été sur ma peau j’ai vu glisser la lame
plus confiance en personne, dis-moi, c’est qui ces gars-là ?
c’est lacr-ps gros, même loin des projo’
j’compte bien laisser ma trace gros
pour calmer mes nerfs j’fume de la frappe, gros
j’me répète, j’suis le même sur de la trap, gros
nos destins scellés
par la pauvreté, j’me sens menacé
vivre sans argent c’est laid
mais crois pas que t’es obligé de revendre de la c

- lirik lagu rentre dans le cercle

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